insolite ? La mer dans tous ses états !

Rappel du premier message :

Bonjour,

Si tu es amoureux de la mer, des couleurs changeantes sur l'Océan, des furies des vagues, des paysages de bord de mer, des plongées sous-marine, ou des bateaux... C'est ici que je t'invite à poster des photos, images, vidéos !
Je commence par un paysage que j'aime particulièrement, car tout près de chez moi... Larmor-Plage, en Bretagne Sud.    

La PME finistérienne Hénaff a été choisie pour concocter les plats des astronautes la station spatiale internationale. Après l’énorme succès mondial du film américain Gravity, dans lequel la comédienne Sandra Bullock se retrouve coincée dans l’espace, il fallait bien que les marques les plus réactives se saisissent de cette mode spatiale pour surfer sur le phénomène.


Hénaff a été choisi pour concocter les plats des astronautes. | Photo: Joël Le Gall

Hénaff le pâté du mataf qui a navigué sur toutes les mers du monde va maintenant s'envoler dans l'espace. Ce n'est pas la célèbre boîte bleue qui va s'envoyer en l'air, mais les plats cuisinés de la société de Pouldreuzic (dans le Pays Bigouden, Finistère Sud). Des plats conçus pour les astronautes par le chef Alain Ducasse et qui auront pour destination la station spatiale internationale.




Un agrément unique en France
Hénaff a été retenue car c'est la seule conserverie en France à disposer, depuis 2008, de l'agrément USDA, décerné par l'administration américaine, pour les produits à base de viande, précise le magazine Challenges, qui révèle cette information.Finis les plats déshydratés ou congelés, place à l'espadon façon Riviéra, au homard ou au filet mignon. Des plats festifs qui peuvent être cuisinés en apesanteur, car aussi surprenant que cela puisse paraître, la station spatiale possède un four pour réchauffer les plats Hénaff.En revanche, dans la station les miettes sont interdites pour ne pas boucher les conduits d'oxygène et d'aération. Exit donc la baguette "made in France" indissociable du pâté Hénaff.


http://www.ouest-france.fr/henaff-le-pate-du-mataf-senvole-dans-lespace-1761996
http://www.challenges.fr/entreprise/20131203.CHA7832/effet-gravity-assure-la-nasa-et-l-esa-mettent-le-pate-henaff-au-menu-de-l-iss.html

  


Six nouveaux produits pour le Pâté Hénaff en 2014

Les tests sont concluants. Depuis le 2 avril, les petites boîtes rouges gagneront les étals des grandes et moyennes surfaces de France, à côté des bleues. « Nous avons une marge de développement. 99 % des Bretons nous connaissent, mais 50 % n'achètent pas de pâté. Ceux qui n'en consomment pas le trouvent un peu fade ». Avec sa petite boîte rouge, Hénaff va donc tenter de les séduire. « Si nous faisons 5 % à 10 % des ventes de boîtes bleues, ce sera bien », explique Jildaz Colin.



Le pâté épicé n'est pas le seul produit qui sortira en 2014. Deux recettes de rillettes (au poulet rôti et au canard), que l'entreprise réalise déjà pour l'armée française, vont être diffusées en mars. Elles seront aussi présentées au Concours général agricole du Salon de l'agriculture à Paris pour tenter de décrocher une médaille. L'enjeu de ce lancement, c'est, là aussi, de tenter de gagner des parts de marché sur le segment des rillettes appertisées, là où Hénaff en détient déjà 60 %. Il y a de la marge : « en frais, les rillettes occupent 35 % à 40 % du rayon des pâtés, contre seulement 10 % en conserve », explique Jildaz Colin.

http://www.ouest-france.fr/henaff-vire-au-rouge-avec-le-nouveau-pate-epice-1954745

  

Deux décembre 1959. Une immense vague de trente mètres de haut se rue sur Fréjus (Var), racle la vallée, tournoie sur les arènes et finit dans la mer, après avoir fait plusieurs centaines de victimes... Les images déferlent encore comme un torrent cauchemardesque dans l’esprit de nombre de Fréjusiens. Une quinzaine d’entre eux s’est confiée à Corbeyran.
Le Marseillais aux 292 scénarios s’attelle d’ordinaire aux séries fantastiques et d’action qui cartonnent. Oui mais voilà, ses parents sont Fréjussiens depuis vingt-cinq ans, et il y passe ses vacances régulièrement.
Alors lorsque son éditeur lui tend la perche pour livrer un scénar’ sur les grandes catastrophes, il se mue en Tintin reporter et renoue avec la BD-témoignage de Paroles de taulards pour aller à la rencontre de Varois qui ont survécu à ce «tsunami qui venait de l’intérieur».




Après deux ans d’enquête, la BD qui vient de sortir le mois dernier donne l’occasion à Eric Corbeyran et son complice catalan Horne Perréard de renvoyer l’ascenseur et, à leur tour, de témoigner auprès des plus jeunes à Fréjus, accompagnés des protagonistes de ce récit vérité.

Interview des auteurs :

BBD : Malpasset est-il pour vous un sujet aussi universel que Pompéi ou le Titanic par exemple?
Corbeyran : Oui, mais contrairement aux catastrophes que vous citez, la particularité de Fréjus, c’est que ce n’est pas devenu un mythe. Ce drame demeure quelque chose de vivant, puisqu’encore ancré dans le quotidien des gens. Du coup, je n’ai pas voulu un récit romancé, mais une BD-reportage qui retranscrit la parole des témoins du drame.Avec le moins de fioritures possibles. Brut de décoffrage.
Horne : D’où l’utilisation du noir et blanc qui situe une époque et donne un appui au texte sans le parasiter.





Fallait-il représenter la rupture du barrage et l’horreur de la déferlante?
Corbeyran : Les lecteurs attendent cela. Mais nous avons voulu nous en débarrasser en ouvrant l’album dessus.
Horne : On s’est offert la rupture que personne n’a jamais vue ! C’était comme une reconstitution pour moi.

Avez-vous écarté des témoignages?
Corbeyran : Non. On ne peut pas demander à quelqu’un d’éponger sa peine et ensuite le gommer de l’histoire. J’avais un contrat moral avec ces gens qui m’ont beaucoup donné.

Parfois la BD déborde de son sujet initial, comme ce réquisitoire contre les constructions en zones à risque qui continuent dans le Var...
Corbeyran : Tant mieux si cela passe à travers les témoignages mais il n’y a pas de message politique.

Texte L. Amalric et photos DR A. Lebel pour Var-matin.
Contact : blogbd@nicematin.fr


http://leblogbd.nicematin.com/2014/03/malpasset.html
  


Et pour celles et ceux qui veulent acquérir ce super album :





Malpasset (causes et effets d'une catastrophe) de Corbeyran et Horne.
18,95 euros. Editions Delcourt / Mirages

Le Spi Ouest-France Intermarché s'ouvre, aujourd'hui, à La Trinité-sur-Mer. Pour cette 36e édition, pas moins de 400 équipages répartis sur 16 séries se sont donné rendez-vous en baie de Quiberon pour en découdre jusqu'à lundi.



La journée de jeudi est réservée aux inscriptions, sauf pour
les 10 équipages M34 qui devraient disputer une première course.
Photo : Ouest-France



Plus grande compétition de monocoques habitable d'Europe, le Spi rassemble chaque année du monde et du beau. Pour cette édition 2014, ils sont près de 400 équipages engagés dans l'épreuve. Pas moins de 16 classes sont représentées, du First 31.7 au Seascape 18 en passant le Grand Surprise, les IRC1, 2, 3, 4A et 4B, les J70, les J80, les Longtze, les M34, les Mach 6.50, les Open 5.70, les Open 7.50 et les Osiris Habitable. Ces derniers sont LA nouveauté de cette 36e édition. Les organisateurs voient, avec cette « jauge pour tous », une opportunité d'augmenter encore le nombre de bateaux au départ. Mais qu'est-ce que c'est exactement ? « C'est une évolution de la jauge Handicap National (HN). Elle est calculée différemment, selon l'expérience et les vitesses référencées du bateau. C'est une jauge qui s'affine à travers le temps, avec des paramètres initiaux qui évoluent avec un handicap qui devient de plus en plus exact avec le temps », précise Christophe Gaumont, le directeur de course, ajoutant qu'une vingtaine de bateaux sont inscrits dans cette catégorie.






Des amateurs et des stars de la voile
Reste qu'une nouvelle fois, ce sont les J80 qui sont les plus fortement représentés, avec 90 unités. « Pour nous, il s'agit de la première épreuve comptant pour la Coupe de France mais également du plus gros rassemblement de l'année », commente Damien Zucconi, le nouveau président de la classe en France, précisant par ailleurs qu'en plus des ténors du circuit tels que Luc Nadal, vice-champion du monde, Sylvain Pelissier, champion de France en titre, ou encore Simon Moriceau, de nouvelles têtes d'affiche vont faire leur apparition lors de ce week-end pascal, à l'image de Morgan Lagravière. Le jeune skipper du 60 pieds Imoca « Safran » ne sera pas la seule « star » de la voile présente en baie de Quiberon, ces quatre jours. Marc Guillemot régatera en Open 7,50, série sur laquelle on retrouvera aussi le local de l'étape Nicolas Groleau, tandis qu'en Mach 6.50, Yves Le Blévec ou encore Isabelle Joschke affronteront, entre autre, un certain Loïck Peyron. Des grands noms, on en trouve également au sein de la flotte des M34 qui a commencé les débats hier, avec, au menu, un parcours côtier de 16 milles remporté par « Courrier Dunkerque 3 » de Daniel Souben, devant « Groupama 34 » skippé par Fabien Henry et « Vox Sea » d'Alain Roig. Aujourd'hui, premières courses à partir de 11 h.






http://www.letelegramme.fr/voile/coup-d-envoi-aujourd-hui-18-04-2014-10130558.php
http://www.spi-ouestfrance.com/actu_desk_detailendirect_-Le-Spi-Ouest-France-Intermarche-en-direct_45461-2261150_actu.Htm
http://www.ouest-france.fr/le-spi-ouest-france-intermarche-en-direct-2197867
http://spi.snt-voile.org/resultats.html
http://www.spi-ouestfrance.com/design/pdf/conditions-port-spi-2014.pdf
http://www.spi-ouestfrance.com/programme.php
 

Hervé Balusson, le patron d'Olmix, défend une filière bretonne d'exploitation et de transformation des algues. Le risque de manquer le train en marche existe. Même si la Bretagne dispose de tous les atouts pour s'imposer dès aujourd'hui, sur le plan mondial.




Le patron d'Olmix intervenait mercredi à
France Business School, l'école de commerce de Brest.
Photo S.J.



Quel potentiel pour la Bretagne ?
Il est immense, tant au niveau de la ressource présente en abondance sur nos côtes que de la recherche et des connaissances fondamentales sur les algues en Bretagne.

Quels sont les principaux atouts à développer ?
Nous travaillons actuellement sur l'extraction des protéines pour des algues qui peuvent nourrir des populations dans le besoin. La demande en Afrique est manifeste. En plus de valoriser des algues comme les algues vertes qui nous enquiquinent sur le littoral, on est capable aujourd'hui de les valorise.

Le stock est-il aussi important que vous le dites ?
Il est gigantesque sur nos côtes bretonnes mais également partout dans le monde. Nous avons des contacts réguliers dans les pays arabes ou avec les Chinois de Qingdao. Ce sont des millions de tonnes d'algues vertes qui se développent chaque année sur leurs côtes. On est également aujourd'hui capable de replanter et de reconstituer les stocks.

Pourquoi la filière met-elle autant de temps à se développer en Bretagne ?
C'est toujours une question d'argent. Les grosses sociétés étrangères qui rachètent nos usines bretonnes de transformation des algues ne s'y trompent pas. Surtout celles qui travaillent pour les grands groupes pharmaceutiques. Investissent-elles en Bretagne pour s'emparer du marché ou pour le neutraliser ? C'est toute la question.

À force d'attendre, la poule aux œufs d'or peut-elle filer à l'étranger ?
Bien évidemment ! Cela pourrait faire comme avec le Minitel et les écrans plats qui ont été inventés en Bretagne mais qui ont été rapidement appropriés dans le monde entier.

Mais comment booster la filière ?
Il faut déjà commencer par changer l'image négative qui colle aux algues, surtout aux vertes qui ne sont vues que sous l'angle des nuisances. Ces algues ont des propriétés exceptionnelles et un potentiel d'exploitation que nous commençons seulement à explorer. Nous sommes à la préhistoire de cette grande aventure.

Comment changer l'image ?
Il faut commencer par s'appuyer sur les étudiants et la nouvelle génération de professionnels. C'est pourquoi je m'appuie sur les principales écoles de commerce de France pour délivrer mon message. En leur expliquant, qu'en plus, ce n'est pas l'emploi qui manque dans le domaine.


Spécialisée dans la santé et le bien-être animal, Olmix (créée à 3 en 1995) compte aujourd'hui 15 filiales dans le monde et 250 salariés.
http://www.letelegramme.fr/economie/olmix-le-monde-des-algues-a-saisir-25-04-2014-10139385.php
http://www.olmix.com/fr

  

Mais qu'on cale s'il y en a trop ^^

klinsley a écrit:Mais qu'on cale s'il y en a trop ^^

    Quand on aime on ne compte pas !    

On cale sec(he) ?

Gustavia (Saint-Barthélémy). Il aura fallu 22 jours 6 heures 17 minutes et 59 secondes à Gwénolé Gahinet et Paul Meilhat (Safran-Guy Cotten) pour rallier Concarneau (Finistère) à Gustavia (Saint-Barthélémy), remportant ainsi la 12e édition de la Transat AG2R-La Mondiale devant la petite foule réunie à l'occasion sur les pontons du port.


Gahinet et Meilhat sur le bateau Safran-Guy Cotten, le 28 avril. | Emmanuel Versace / Le Monde.fr


« C'était super sympa. Nous avons eu le temps de savourer. Nous avons eu des supers conditions les deux derniers jours, c'était de la glisse », a déclaré ému Paul Meilhat, qui décroche sa première victoire de l'épreuve après deux tentatives et une médaille en chocolat. « La première fois que j'ai fait la Transat AG2R-La Mondiale (2010, 17e), je suis arrivé de nuit, la deuxième fois (2012, 4e), nous avons fait un duel avec Banque Populaire, du coup je n'ai rien vu ! Là, j'ai pris le temps de regarder la côte, c'était magnifique ! »

« Ça s'est joué à pas grand-chose », rappelait justement Gwénolé Gahinet, content d'avoir choisi le bon équipier pour sa première transat. A chaque fois, ce sont des petits décalages, des petites différences de vitesse, mais nous nous sommes bien battus, je pense qu'on la mérite cette victoire.»

UNE NUIT DE TROP

Il faut dire qu'entre le 25 et le 27 avril, le scénario de la course s'est quelque peu emballé entre les deux leaders de la course. D'un côté Safran-Guy Cotten, de l'autre Skipper Macif conduit par Yoann Richomme et Fabien Delahaye, vainqueur en 2010 avec Armel Le Cléac'h et ancien coéquipier de… Paul Meilhat en 2012. A moins de deux jours de l'arrivée, rien ne semblait mettre en danger leur monocoque. Mais à 500 milles de l'arrivée, l'option nord décidée quelques jours plus tôt, s'est avérée être un mauvais choix. « Ils ont été meilleurs que nous sur des petits placements, et ils ont su toujours garder le Sud par rapport à nous, c'est ce qui a fait la différence, » expliquait Fabien Delahaye.

Vingt-quatre heures plus tard, dans la nuit du 26 avril, Richomme et Delahaye se réveillaient avec des oreilles qui sifflaient et un Safran-Guy Cotten en tête de la meute pour la deuxième fois de la course, le 7 avril, au passage du front au large de la Bretagne. Dimanche, à moins d'une nuit de l'arrivée, l'avance au dernier pointage était de cinq (mal)heureuses minutes. Un écart qui allait s'agrandir et devenir irrattrapable pour atteindre 1h 06 min 53 s à l'arrivée au port de Gustavia.

« On y croyait à être plus proche de la route directe, mais finalement nous avons été obligés de se recaler au sud, et là nous avons su que premiers ça allait être difficile, et donc qu'il fallait à tout prix conserver la deuxième place. Les circonstances de jeu on fait qu'on aurait pu à un moment prétendre à être devant, mais voilà, nous avons bien bagarré avec eux », relativisait le skipper.





PHOTO FINISH

Si l'affaire était pliée pour les deux premières places, l'issue pour la troisième restait des plus incertaines. Jusque dans les derniers instants de la course, 30 Corsaires de Alexia Barrier et Laurent Pellecuer (vainqueur en 2008), et la Cornouaille de Roland Jourdain (vainqueur en 1994) et Martin Le Pape, séparés d'un mille, se sont livrés une jolie bataille navale.

Au final, 1h 36 min et 57 s après les vainqueurs, les deux bateaux franchissaient, avec des airs de régate olympiques, la ligne d'arrivée avec 87 secondes d'écart. Soit une particule d'eau dans une baignoire après une traversée de plus de 7 200 km. Une performance qui rappelle l'arrivée de l'édition 1994 quand Jean Le Cam et Roland Jourdain coiffaient de 63 secondes le duo Bertrand De Broc - Marc Guillemot.

LA MAUVAISE OPÉRATION DES VIEUX BRISCARDS

Cette transat AG2R-La Mondial retiendra aussi l'histoire incroyable de ces trois anciens vainqueurs (Michel Desjoyeaux en 1992, Jean Le Cam en 1994 et Kito de Pavant en 2006) qui, sûrs de leur coup, prirent une option nord perdante à la sortie des îles Canaries. Alors que Gustavia festoient, les trois tontons flingueurs et leurs coéquipiers se retrouvent à batailler pour terminer au mieux 10e sur les 13 bateaux encore en course.

« Nous avons joué, nous avons perdu. Nous ne pouvons pas gagner à tous les coups. Nous sommes en train de nous bagarrer avec nos deux compères nordistes. Nous sommes contents de ce que nous avons fait depuis 24 heures. Maintenant il faut attendre de voir ce qu'il se passera sur la piste », expliquait Michel Desjoyeaux, dimanche 27 avril, 12e provisoire. Certes, on ne peut conclure que l'audace de la jeunesse a pris le pas sur l'expérience des vieux loups. Mais ce scénario commence à se répéter dans le monde merveilleux et impitoyable de la course au large.

http://www.lemonde.fr/sport/article/2014/04/28/transat-ag2r-victoire-de-gwenole-gahinet-et-paul-meilhat_4408716_3242.html
http://www.lemonde.fr/sport/article/2014/03/30/voile-deux-generations-se-croisent-sur-la-transat-ag2r-la-mondiale_4391821_3242.html

Magnifique les photos

klinsley a écrit:Magnifique les photos

Merci Klinsley !    

   

Paraît que c'est pas vrai pour le thon...

klinsley a écrit:Paraît que c'est pas vrai pour le thon...

Pour le thon rouge... si si ! Mais va savoir !   
Pour l'autre espèce citée après, par contre, elle prolifère de plus en plus en ce moment !   

Oui pour le rouge c'est plus évident mais l'autre non, enfin de toutes façons, si vraiment il n'y en avait pas sur les étalages on n'achèterait pas non ?

klinsley a écrit:Oui pour le rouge c'est plus évident mais l'autre non, enfin de toutes façons, si vraiment il n'y en avait pas sur les étalages on n'achèterait pas non ?

Là est tout le problème !   

Ce que je veux dire, c'est qu'on nous culpabilise alors que le problème est bien plus haut, quand il y a la fin dans le monde à ce niveau, je pense que boycotter un produit comme le thon une fois qu'il est sur l'étalage, c'est dommage, mais par contre je signe les pétitions pour sauvegarder les espèces comme le thon rouge par exemple, on peut manger autre chose c'est sûr

klinsley a écrit:Ce que je veux dire, c'est qu'on nous culpabilise alors que le problème est bien plus haut, quand il y a la fin dans le monde à ce niveau, je pense que boycotter un produit comme le thon une fois qu'il est sur l'étalage, c'est dommage, mais par contre je signe les pétitions pour sauvegarder les espèces comme le thon rouge par exemple, on peut manger autre chose c'est sûr

D'accord avec toi ! Il faut prendre le problème à la base !

  

Les professionnels des produits de la mer se retrouvent, à partir de mardi, à Bruxelles. L'occasion de développer leurs activités à l'international.



Du 6 au 8 mai, Bruxelles va avoir des allures de plateau de fruits de mer géant. Au sein de la capitale belge, le Seafood Expo Global rassemble, au niveau mondial, tous ceux qui comptent dans le secteur des produits de la mer. 30 000 visiteurs et près de 1 700 exposants sont attendus pour cette 22e édition. Parmi eux, FranceAgriMer attend « quarante entreprises françaises » sur son stand.

Jean-Luc Le Gall, ostréiculteur à Plougastel-Daoulas, dans le Finistère sera de la partie. « Notre première participation remonte à 2003, se souvient-il. Depuis, notre chiffre d'affaires à l'export représente 30 % de notre activité. Nous y allons pour entretenir les contacts avec nos clients et développer nos exportations. »

« Dans un contexte concurrentiel, la France, pays mineur en matière de production, se doit d'être présente à Bruxelles pour vanter ses savoir-faire et ses innovations », estime le professionnel breton.

En s'occupant de la logistique et en épaulant financièrement les entreprises, « FranceAgrimer remplit sa mission de promotion des produits de la mer et de l'aquaculture à l'international », souligne Hervé Jeantet, président du Conseil spécialisé de FranceAgrimer pour la filière pêche et aquaculture. Malgré cette aide, « le ticket d'entrée reste élevé », indique Jean-Luc Le Gall.

Cette année, Kermarée, mareyeur-transformateur de Blainville-sur-Mer (Basse-Normandie), est retenu pour participer au Seafood prix d'élite, récompensant les produits les plus innovants en restauration hors domicile.


  
http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/economie-mer-salon-seafood-plus-pour-lexport-02-05-2014-143654
http://www.eventseye.com/fairs/f-european-seafood-exposition-4358-0.html
http://www.seafoodexpo.com/global/

La trieuse sait reconnaître un merlan, un sabre, un lieu jaune, etc. Pour le port de pêche, ce nouvel équipement est un gain en fiabilité et en capacité à traiter plus de volumes.


Les poissons défilent sur le convoyeur et sont reconnus par caméra interposée.
Crédit photo : Ouest-France.

Unique en France
Plus de précision dans le tri du poisson. C'est la mission de la machine toute neuve dont le port de pêche vient de se doter. Un prototype unique en France conçu par Arbor Technologies, de Landévant. La période des tests s'achève. Coût de l'équipement complet (tapis, bascules, déglaceur, etc.) : 1,5 million d'euros, financés pour moitié par le port lui-même (la Sem Lorient Keroman) et pour moitié par des aides publiques (Europe et Région Bretagne).

250 poissons par minute
La machine identifie, grâce à des caméras, deux espèces de poisson en même temps, dans quatre tailles différentes. Soit huit choix possibles, qui permettent de trier 250 animaux par minute. Sur la base de 25 paramètres : la tête du poisson, sa queue, le dégradé de couleur, sa forme, plat ou rond, etc. « Cinq ans de recherche et deux ans de pratique », explique Gille Nignon, PDG d'Arbor. Un labo de l'Université de Bretagne Sud a participé à la mise au point.

« Plus de fiabilité »
Tendre vers le tri parfait, en poids, en taille, en qualité. Pour Maurice Benoish, président du port de pêche, c'est apporter « plus de fiabilité » aux acheteurs sous criée. Et, ajoute-t-il, « de la valeur ajoutée » pour les pêcheurs. La machine permettra aussi de faire face aux volumes importants certains jours. Et, ainsi, éviter de reporter une partie du tri au lendemain. « Un plus commercial », résume Maurice Benoish.

Et les dockers ?
Le port emploie une dizaine de dockers et presque autant de personnel intérimaire. « Il faut 35 personnes pour trier 200 tonnes », indique Yves Guirriec, directeur du port. L'automatisation limitera les effectifs, à terme. Elle est aussi une réponse aux départs à la retraite, parfois non remplacés « faute de candidats » : le métier est dur. Cinq personnes seront dédiées à la nouvelle machine.

Filmé à l'écran
Merlan, églefin, lieu jaune, lieu noir, sabre, julienne, etc., sont livrés en caisses de 25 kg ou conteneurs de 250 kg. Les bacs sont vidés sur le tapis roulant. Les poissons y cheminent jusqu'à un petit tunnel où ils sont filmés. L'espèce est reconnue et orientée vers la case correspondant à son calibre. Les autres poissons filent tout droit en bout de ligne, ils y sont triés à l'ancienne.

  
http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/lorient-cette-machine-intelligente-identifie-poissons-11-04-2013-93217
(avec une petite vidéo en bas de page   )

J’appartiens à cette génération qui a grandi bercée par Flipper le dauphin, par cette amitié entre un jeune garçon, Bud, et son dauphin domestiqué, Flipper. Et dans cette série dont les scènes se situent en Floride, où les eaux semblaient régulièrement fréquentées par des requins, agressifs bien entendu, Flipper arrivait toujours au bon moment pour empêcher le jeune garçon, et son frère ainé parfois, de se faire attaquer par un  requin.

Je ne pouvais donc pas rester insensible à l’aventure qu’a vécu Adam Walker, mardi dernier, alors qu’il participait à une course à la nage au large de la Nouvelle Zélande.





Selon le Daily Mail, alors qu’il était en pleine traversée du détroit de Cook, le nageur britannique fut approché de manière inquiétante par un requin, j’ai pu lire de 6 mètres dans certains sites, de 2 mètres sur d’autres…

Quoiqu’il en soit, alors que tous, athlète comme encadrement de la course se demandaient comment réagir, un banc d’une dizaine de dauphins ont fait bloc autour du nageur, dissuadant ainsi le requin de s’y attaquer. Une fois le requin éloigné, Les dauphins ont escorté Adam Walker pendant près d’une heure encore, permettant ainsi à l’athlète de boucler sa course en 8h 36 min.

Copyright 2014 “Des hauts & débats” by LadyMilonguera




http://deshauts-debats.ladymilonguera.fr/nageur-sauve-par-dauphins/
 

Tiwal, dériveur gonflable rigide vient d’être distingué par la prestigieuse revue nautique américaine Sailing world.



Le dériveur breton se vend même en Chine

Joli cadeau pour le couple Marion Excoffon et Emmanuel Bertrand. Leur « bébé », un petit voilier ludique et gonflable, vient de recevoir le prix de l’innovation décerné par Sailing World, dans le cadre de son concours annuel du bateau de l’année. Belle récompense pour un engin de 3,20 m qui n’est sur le marché que depuis un an.
Ouest-France vous l’avait présenté en avant première il y a un peu plus d'un an (en décembre 2012). Depuis, le « canote » a fait son chemin. Facile à transporter, deux gros sacs suffisent pour le trimbaler dans le coffre de la voiture. Tiwal (50 kg) se gonfle et s’équipe en une demi-heure. Outre le côté pratique du bateau, la coque rigide imaginée par Marion Excoffon le transforme en dériveur véloce.

Le succès a été foudroyant pour cette petite unité vendue 5 490 € TTC. « Nos bateaux naviguent déjà aux États-Unis, en Russie, en Chine, en Europe et jusqu’en Nouvelle-Calédonie », se réjouit la jeune designer installée à Baden dans le Sud Morbihan. En quelques mois, le réseau de distribution s’est même étoffé jusqu’en Chine. Le couple vise plusieurs centaines d’unités par an et vient de créer deux emplois.


http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/deriveur-breton-prix-innovation-usa-06-01-2014-125249