insolite ? La mer dans tous ses états !
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insolite ? La mer dans tous ses états !
Rappel du premier message :
Bonjour,
Si tu es amoureux de la mer, des couleurs changeantes sur l'Océan, des furies des vagues, des paysages de bord de mer, des plongées sous-marine, ou des bateaux... C'est ici que je t'invite à poster des photos, images, vidéos !
Je commence par un paysage que j'aime particulièrement, car tout près de chez moi... Larmor-Plage, en Bretagne Sud.
Bonjour,
Si tu es amoureux de la mer, des couleurs changeantes sur l'Océan, des furies des vagues, des paysages de bord de mer, des plongées sous-marine, ou des bateaux... C'est ici que je t'invite à poster des photos, images, vidéos !
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Dernière édition par Felipe56 le Mer 28 Fév - 15:41, édité 9 fois
Felipe56- Survivant de Folie
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Tara : le retour à Lorient après sa traque aux plastiques en Méditerranée
Le voilier d'expédition Tara est de retour ce samedi à Lorient, son port d'attache. Les prélèvements pratiqués en Méditerranée révèlent la présence de plastiques et de microplastiques sur toute la surface de la mer.
L. Benchiha La goélette Tara au large de Lorient ce samedi 22/11/2014
Lors de cette expédition, la dixième pour Tara depuis 2003, le voilier a parcouru de mai à novembre 2014, 15 000 km. Plus de 2 300 échantillons ont été prélevés lors de 350 traits de filets, tant au large que près des côtes, des embouchures de rivières ou des ports afin d’étudier l’influence exercée par le milieu terrestre sur la pollution marine.
Premiers constats
Selon le directeur scientifique de Tara Méditerranée, Gaby Gorsky (CNRS/UPMC) et la coordinatrice scientifique de Tara Méditerranée Maria Luiza Pedrotti (OOV CNRS/UPMC), “Des fragments de plastique ont été trouvés à chaque relevé de filet et cela de l’ouest à l’est de la Méditerranée. Avec une concentration de plastique plus importante observée devant les grandes villes mais également avec des concentrations non négligeables en haute mer.”
Les échantillons sont destinés à l’étude chimique du plastique ainsi qu’à l’étude de l’interaction entre le zooplancton, base de la chaîne alimentaire marine, et le plastique. Les analyses des échantillons débuteront le mois prochain et les premiers résultats sortiront au printemps 2015.
Tara arrivant à quai à Lorient ce samedi
Sensibilisation aux enjeux environnementaux
L'expédition comportait également un volet de sensibilisation du public aux enjeux environnementaux. Ainsi, quelque 10 000 personnes et scolaires ont été accueillies à bord de la goélette à l'occasion des 20 escales dans 13 pays du littoral méditerranéen.
A partir des résultats de cette mission en Méditerranée, les scientifiques espèrent tirer des enseignements pour avancer vers des solutions sur l’assainissement des eaux, la gestion des déchets, l’innovation pour un plastique biodégradable, la promotion du tourisme durable ou encore l’éducation ou la création d’Aires Marines Protégées.
L’expédition Tara Méditerranée en chiffres :
- 13 pays
- 20 escales
- 7 mois d’expédition
- 2300 échantillons afin d’évaluer la distribution des microplastiques, du zooplancton, l’identification chimique des microplastiques, l’étude des communautés microbiennes attachées au plastique, l’analyse des POPs (Polluants Organiques Persistants) liés au plastique, l’analyse d’image, la température, la salinité, la turbidité et les pigments
- 14 laboratoires impliqués
- 359 traits de filet (filet traîné à la surface de la mer pendant une meure soit 4,5 km)
- 15 000 kilomètres parcourus
- 3 forts coups de vent entre Force 7 et 9
- 10 000 personnes et scolaires accueillis à bord
- 11 artistes en résidence se sont succédés
- 9 nationalités représentées à bord (algérienne, américaine, brésilienne, française, israélienne, italienne, libanaise, marocaine, tunisienne)
- Température de l’air la plus élevée : 34°
- Température de l’eau la plus élevée : 31°
- Température la plus élevée dans la salle des machines : 60°
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/11/22/tara-le-retour-lorient-apres-sa-traque-aux-plastiques-en-mediterranee-597870.html
L. Benchiha La goélette Tara au large de Lorient ce samedi 22/11/2014
Lors de cette expédition, la dixième pour Tara depuis 2003, le voilier a parcouru de mai à novembre 2014, 15 000 km. Plus de 2 300 échantillons ont été prélevés lors de 350 traits de filets, tant au large que près des côtes, des embouchures de rivières ou des ports afin d’étudier l’influence exercée par le milieu terrestre sur la pollution marine.
Premiers constats
Selon le directeur scientifique de Tara Méditerranée, Gaby Gorsky (CNRS/UPMC) et la coordinatrice scientifique de Tara Méditerranée Maria Luiza Pedrotti (OOV CNRS/UPMC), “Des fragments de plastique ont été trouvés à chaque relevé de filet et cela de l’ouest à l’est de la Méditerranée. Avec une concentration de plastique plus importante observée devant les grandes villes mais également avec des concentrations non négligeables en haute mer.”
Les échantillons sont destinés à l’étude chimique du plastique ainsi qu’à l’étude de l’interaction entre le zooplancton, base de la chaîne alimentaire marine, et le plastique. Les analyses des échantillons débuteront le mois prochain et les premiers résultats sortiront au printemps 2015.
Tara arrivant à quai à Lorient ce samedi
Sensibilisation aux enjeux environnementaux
L'expédition comportait également un volet de sensibilisation du public aux enjeux environnementaux. Ainsi, quelque 10 000 personnes et scolaires ont été accueillies à bord de la goélette à l'occasion des 20 escales dans 13 pays du littoral méditerranéen.
A partir des résultats de cette mission en Méditerranée, les scientifiques espèrent tirer des enseignements pour avancer vers des solutions sur l’assainissement des eaux, la gestion des déchets, l’innovation pour un plastique biodégradable, la promotion du tourisme durable ou encore l’éducation ou la création d’Aires Marines Protégées.
L’expédition Tara Méditerranée en chiffres :
- 13 pays
- 20 escales
- 7 mois d’expédition
- 2300 échantillons afin d’évaluer la distribution des microplastiques, du zooplancton, l’identification chimique des microplastiques, l’étude des communautés microbiennes attachées au plastique, l’analyse des POPs (Polluants Organiques Persistants) liés au plastique, l’analyse d’image, la température, la salinité, la turbidité et les pigments
- 14 laboratoires impliqués
- 359 traits de filet (filet traîné à la surface de la mer pendant une meure soit 4,5 km)
- 15 000 kilomètres parcourus
- 3 forts coups de vent entre Force 7 et 9
- 10 000 personnes et scolaires accueillis à bord
- 11 artistes en résidence se sont succédés
- 9 nationalités représentées à bord (algérienne, américaine, brésilienne, française, israélienne, italienne, libanaise, marocaine, tunisienne)
- Température de l’air la plus élevée : 34°
- Température de l’eau la plus élevée : 31°
- Température la plus élevée dans la salle des machines : 60°
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/11/22/tara-le-retour-lorient-apres-sa-traque-aux-plastiques-en-mediterranee-597870.html
Felipe56- Survivant de Folie
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Prix du pétrole. Quel impact sur les énergies marines ?
Et si la chute du cours du pétrole venait parasiter le développement des énergies marines renouvelables ? Les investisseurs observent de près le repositionnement mondial des énergies fossiles.
Avec plus de 220 M€ de travaux programmés, le port de Brest se prépare
aux énergies marines.. Image DR
La baisse du prix du baril de brut, entretenue par la morosité des économies occidentales et l'exploitation massive du gaz de schiste par les Américains, pourrait avoir une incidence sur le développement des énergies marines renouvelables (EMR), déjà confrontées à des coûts de développement et d'exploitation importants. Au-delà de la volonté éthique et politique de développer des énergies propres, à la place des énergies fossiles polluantes, le prix bas de l'or noir pourrait semer le trouble du côté des investisseurs déjà peu rassurés quant à l'inflation des projets et des coûts de production d'énergies marines. Quatre spécialistes de l'énergie, de l'environnement et de la politique régionale nous éclairent.
1. Yann-Hervé de Roeck, directeur de France Energies marines.
« La baisse du prix du pétrole n'aura pas d'incidence évidente sur le coût de l'électricité en France qui dépend surtout du nucléaire. L'impact ne sera en revanche pas le même chez les leaders européens des EMR, nos voisins des îles britanniques plus dépendants des hydrocarbures. Un pétrole bas pourrait en effet freiner le développement de ces technologies à l'international, mais tout dépendra au final de la volonté politique des pays. On peut penser que le gaz de schiste va freiner la dynamique de développement des EMR aux Etats-Unis. Ailleurs dans le monde, certaines zones isolées qui dépendent toujours d'un prix important d'acheminement des hydrocarbures (plus que du prix d'achat) restent pleinement dans la cohérence de ces énergies marines. »
2. Jacky Bonnemains, association Robin des Bois.
« Évidemment que cette baisse du cours du pétrole aura une incidence sur les investisseurs déjà confrontés à des projets plus coûteux que prévu. C'est un facteur de complication dans le processus économique et la notion de rentabilité et de coût de production de ces engins en mer. La différence était déjà importante avec le mégawatt produit à terre. La baisse du prix du pétrole ne facilite pas la lecture de ces univers en devenir. Des gros opérateurs potentiels comme Areva ont aujourd'hui à l'évidence d'autres priorités que de se lancer dans des programmes à risque financier. »
3. Jean-Pierre Le Gorgeu, collectif Sauvons le climat.
« Les réserves de gaz de schiste ne sont pas sans fin, la production américaine devrait baisser d'ici 20 ans. Mais comment réussira-t-on à justifier un coût de production de l'électricité jusqu'à 10 fois plus élevé en mer ? Qui payera la différence ?
On ne sait toujours pas aujourd'hui précisément combien coûtera la production d'électricité en et sous la mer mais on sait que cela reviendra très cher. Alors, avec un prix du gaz et du pétrole en chute libre, les investisseurs vont y regarder à deux fois avant de se lancer. »
4. Gérard Lahellec, vice-président du Conseil régional.
« Ne nous emballons pas sur le prix du baril qui descend. Ces prix sont très fluctuants et jamais très durables. Le projet des énergies marines s'étend à bien plus long terme. Et puis il ne faut pas oublier le but principal de cette production en mer qui est bien de contrer l'émission de gaz à effet de serre et d'éléments polluants issus des énergies fossiles. Quel que soit le prix du baril, il faudra bien développer ces énergies vertes. »
http://www.letelegramme.fr/economie/prix-du-petrole-quel-impact-sur-les-energies-marines-21-11-2014-10432255.php
Avec plus de 220 M€ de travaux programmés, le port de Brest se prépare
aux énergies marines.. Image DR
La baisse du prix du baril de brut, entretenue par la morosité des économies occidentales et l'exploitation massive du gaz de schiste par les Américains, pourrait avoir une incidence sur le développement des énergies marines renouvelables (EMR), déjà confrontées à des coûts de développement et d'exploitation importants. Au-delà de la volonté éthique et politique de développer des énergies propres, à la place des énergies fossiles polluantes, le prix bas de l'or noir pourrait semer le trouble du côté des investisseurs déjà peu rassurés quant à l'inflation des projets et des coûts de production d'énergies marines. Quatre spécialistes de l'énergie, de l'environnement et de la politique régionale nous éclairent.
1. Yann-Hervé de Roeck, directeur de France Energies marines.
« La baisse du prix du pétrole n'aura pas d'incidence évidente sur le coût de l'électricité en France qui dépend surtout du nucléaire. L'impact ne sera en revanche pas le même chez les leaders européens des EMR, nos voisins des îles britanniques plus dépendants des hydrocarbures. Un pétrole bas pourrait en effet freiner le développement de ces technologies à l'international, mais tout dépendra au final de la volonté politique des pays. On peut penser que le gaz de schiste va freiner la dynamique de développement des EMR aux Etats-Unis. Ailleurs dans le monde, certaines zones isolées qui dépendent toujours d'un prix important d'acheminement des hydrocarbures (plus que du prix d'achat) restent pleinement dans la cohérence de ces énergies marines. »
2. Jacky Bonnemains, association Robin des Bois.
« Évidemment que cette baisse du cours du pétrole aura une incidence sur les investisseurs déjà confrontés à des projets plus coûteux que prévu. C'est un facteur de complication dans le processus économique et la notion de rentabilité et de coût de production de ces engins en mer. La différence était déjà importante avec le mégawatt produit à terre. La baisse du prix du pétrole ne facilite pas la lecture de ces univers en devenir. Des gros opérateurs potentiels comme Areva ont aujourd'hui à l'évidence d'autres priorités que de se lancer dans des programmes à risque financier. »
3. Jean-Pierre Le Gorgeu, collectif Sauvons le climat.
« Les réserves de gaz de schiste ne sont pas sans fin, la production américaine devrait baisser d'ici 20 ans. Mais comment réussira-t-on à justifier un coût de production de l'électricité jusqu'à 10 fois plus élevé en mer ? Qui payera la différence ?
On ne sait toujours pas aujourd'hui précisément combien coûtera la production d'électricité en et sous la mer mais on sait que cela reviendra très cher. Alors, avec un prix du gaz et du pétrole en chute libre, les investisseurs vont y regarder à deux fois avant de se lancer. »
4. Gérard Lahellec, vice-président du Conseil régional.
« Ne nous emballons pas sur le prix du baril qui descend. Ces prix sont très fluctuants et jamais très durables. Le projet des énergies marines s'étend à bien plus long terme. Et puis il ne faut pas oublier le but principal de cette production en mer qui est bien de contrer l'émission de gaz à effet de serre et d'éléments polluants issus des énergies fossiles. Quel que soit le prix du baril, il faudra bien développer ces énergies vertes. »
http://www.letelegramme.fr/economie/prix-du-petrole-quel-impact-sur-les-energies-marines-21-11-2014-10432255.php
Felipe56- Survivant de Folie
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Insolite. Sa bouteille à la mer parcourt 7.000 kms en 16 mois !
Vijay Lyengar a jeté une bouteille en Floride, en novembre 2012. Rose Coheleac l'a trouvée en vacances dans le Morbihan, en février 2014.
L'histoire
Combien d'enfants ou même d'adultes, à travers le monde, se sont déjà amusés, un jour, à jeter une bouteille à la mer en y glissant un petit mot à l'intérieur ?
Le 23 février dernier, Rose Coheleach, en vacances à Sarzeau (Morbihan), avec ses parents dans la maison familiale de Trévenaste, découvrait sur la plage de Saint-Jacques, une bouteille couverte de coquillages jetée dans l'océan, en Floride, en novembre 2012. Elle a parcouru plus de 7 000 km en 16 mois !
« Contenu en parfait état »
« Nous l'avons rapportée à la maison pour l'ouvrir. Son contenu était en parfait état », explique la Parisienne, âgée de 14 ans. Elle a découvert, sur l'écrit en forme de parchemin, qu'étaient inscrits un nom, une adresse et un mail. Il était aussi précisé que quiconque trouvait la bouteille, pouvait répondre par lettre ou par courriel.
Le message était signé d'un jeune Américain prénommé Vijay Lyengar. L'histoire aurait pu en rester là !
Rose envoie courant mars 2014 un courrier et reçoit en retour une lettre signée par Kerri Kerber Dieffenwierth, ancienne journaliste, écrivain et enseignante.
C'est à ce titre qu'elle a conduit un projet avec des enfants atteints du syndrome d'Asperger, une forme d'autisme. Elle a créé un atelier d'écriture à Lakewood ranch, en Floride, en août 2012, et a demandé à huit scolaires âgés de 8 à 14 ans, atteints du syndrome d'Asperger, d'exprimer leurs sentiments, leur ressenti, leurs émotions.
Chaque adolescent, dont Vijay, a écrit une lettre qu'il a mise dans une bouteille. Chacune a ensuite été jetée dans le Golfe du Mexique, en novembre 2012.
À ce jour, deux bouteilles ont été retrouvées très peu de temps après dans le Golfe du Mexique ; la troisième est découverte par Rose à Sarzeau, en février 2014.
Kerri a informé Vijay à son école, la Pinnacle Academy de Saratossa, de la découverte de sa bouteille. Un article de presse sur l'incroyable trajet dans la mer de la bouteille a été publié dans un journal de Floride, L'East County Observer, le 27 mars dernier.
La belle histoire se poursuit actuellement par courrier et mail entre Rose, Vijay et Kerri. « C'est fantastique d'avoir trouvé cette bouteille. D'habitude, ces histoires-là dont on entend parler, ça n'arrive qu'aux autres. Mais cette fois, c'est nous », a-t-elle écrit à son nouveau correspondant américain.
L'un et l'autre songent désormais à traverser un jour l'océan pour se rencontrer !
http://www.ouest-france.fr/insolite-sa-bouteille-la-mer-parcourt-7000km-en-16-mois-2950444
L'histoire
Combien d'enfants ou même d'adultes, à travers le monde, se sont déjà amusés, un jour, à jeter une bouteille à la mer en y glissant un petit mot à l'intérieur ?
Le 23 février dernier, Rose Coheleach, en vacances à Sarzeau (Morbihan), avec ses parents dans la maison familiale de Trévenaste, découvrait sur la plage de Saint-Jacques, une bouteille couverte de coquillages jetée dans l'océan, en Floride, en novembre 2012. Elle a parcouru plus de 7 000 km en 16 mois !
« Contenu en parfait état »
« Nous l'avons rapportée à la maison pour l'ouvrir. Son contenu était en parfait état », explique la Parisienne, âgée de 14 ans. Elle a découvert, sur l'écrit en forme de parchemin, qu'étaient inscrits un nom, une adresse et un mail. Il était aussi précisé que quiconque trouvait la bouteille, pouvait répondre par lettre ou par courriel.
Le message était signé d'un jeune Américain prénommé Vijay Lyengar. L'histoire aurait pu en rester là !
Rose envoie courant mars 2014 un courrier et reçoit en retour une lettre signée par Kerri Kerber Dieffenwierth, ancienne journaliste, écrivain et enseignante.
C'est à ce titre qu'elle a conduit un projet avec des enfants atteints du syndrome d'Asperger, une forme d'autisme. Elle a créé un atelier d'écriture à Lakewood ranch, en Floride, en août 2012, et a demandé à huit scolaires âgés de 8 à 14 ans, atteints du syndrome d'Asperger, d'exprimer leurs sentiments, leur ressenti, leurs émotions.
Chaque adolescent, dont Vijay, a écrit une lettre qu'il a mise dans une bouteille. Chacune a ensuite été jetée dans le Golfe du Mexique, en novembre 2012.
À ce jour, deux bouteilles ont été retrouvées très peu de temps après dans le Golfe du Mexique ; la troisième est découverte par Rose à Sarzeau, en février 2014.
Kerri a informé Vijay à son école, la Pinnacle Academy de Saratossa, de la découverte de sa bouteille. Un article de presse sur l'incroyable trajet dans la mer de la bouteille a été publié dans un journal de Floride, L'East County Observer, le 27 mars dernier.
La belle histoire se poursuit actuellement par courrier et mail entre Rose, Vijay et Kerri. « C'est fantastique d'avoir trouvé cette bouteille. D'habitude, ces histoires-là dont on entend parler, ça n'arrive qu'aux autres. Mais cette fois, c'est nous », a-t-elle écrit à son nouveau correspondant américain.
L'un et l'autre songent désormais à traverser un jour l'océan pour se rencontrer !
http://www.ouest-france.fr/insolite-sa-bouteille-la-mer-parcourt-7000km-en-16-mois-2950444
Felipe56- Survivant de Folie
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Route du Rhum : Paul Hignard au bout de l'exploit !
P. Hignard Paul Hignard a toujours gardé le moral malgré ses déboires !
Le contournement de la Guadeloupe entamé mercredi n'en finissait plus !! Le Class40 de Paul Hignard avait dû faire une escale technique à 5h du matin après avoir pointé à la bouée de la Basse Terre. Le voilier avait de nouvelles avaries : 2 poulies cassées en haut du mât, une réparation très périlleuse. Après avoir prévenu le PC Course, le jeune malouin avait demandé à son préparateur technique de monter à bord. Il a repris sa course vers 9h ce jeudi matin direction le Canal des Saintes.
Ce jeudi soir à 21h35, 27 novembre 2014, Paul Hignard, le benjamin de la 10e édition de la Route du Rhum a franchi la ligne d'arrivée à Pointe-à-Pître. 25 jours 21 heures 35 minutes pour la première transatlantique du jeune malouin qui a forcé l'admiration par sa tenacité et son courage.
Bruneau Paul Hignard accompagné sur son bateau après avoir franchi la ligne d'arrivée
de la Route du Rhum à Pointe-à-Pître
Paul Hignard a bouclé son premier Rhum à la 31e place en Class40 malgré son gréement de fortune. Une arrivée de champion saluée par la foule sur les pontons de Pointe-à-Pître. Il est vrai que la détermination dont a fait preuve le jeune skipper de 19 ans lors de la dernière semaine de course force le respect.
Aux micros à l'arrivée, le skipper a déclaré : "J'ai vu toutes mes péripéties comme un gros challenge".
Depuis le démâtage de son voilier vendredi dernier, le jeune marin a surmonté de multiples incidents tels les soucis techniques, une allure au ralenti dû au gréement de fortune bricolé par ses soins et un manque de vivres qui l'ont poussé à se rationner. Des épreuves qu'il a affrontées sans jamais baisser les bras tel un aventurier.
Ce jeudi soir, il ne reste plus que 4 concurrents en course, un Class40 et 3 Class Rhum.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/11/27/route-du-rhum-paul-hignard-au-bout-de-l-exploit-601920.html
Felipe56- Survivant de Folie
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les fermes perlières de Polynésie
et voici Fred & Jamy, toujours très pédagogues !
Felipe56- Survivant de Folie
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Un nouveau dauphin albinos capturé dans l’infâme baie de Taiji
Cet albinos fait partie du 15e groupe de dauphins de Risso capturés à Taiji cette saison. Les dauphins qui l’accompagnaient ont été sauvagement massacrés dans la baie de la mort, sauf les petits qui ont été rejetés en mer avec peu de chances de survie.
Attendant leur sort, cernés par les filets dans la baie, le groupe de dauphins et l’albinos de Risso se tiennent serrés les uns contre les autres.
Photo: Sea Shepherd
Dix mois après que le monde fut tombé sous le charme d’un joli petit dauphin tursiops albinos capturé au sein d’un grand groupe de dauphins piégé dans la baie de Taiji, un dauphin de Risso albinos a été capturé hier dans cette même baie (le 23 novembre, heure locale), selon le rapport des Gardiens de la Baie. Cet albinos fait partie du 15e groupe de dauphins capturés cette saison. Les Gardiens de la Baie l’ont nommé "Shiro", qui signifie blanc en japonais.
Tandis que les bateaux de chasse rentraient au port dimanche matin (heure locale) après une première sortie infructueuse, les Gardiens de la Baie relatent que les tueurs ont croisé la route d’environ 16 dauphins de Risso dans les eaux de Taiji. Remarquant parmi eux l’albinos, spécimen rare, les chasseurs ont tout de suite su qu’ils allaient en tirer un très bon prix. Ils n’ont pas tardé à rediriger le groupe sans ménagement vers la baie où la famille, stressée et effrayée, a fini entourée de filet, sans issue possible.
Il y avait plusieurs petits et jeunes dans cette famille, dont un albinos. Les tueurs ont conduit toute la famille vers la côte sous des bâches, où 11 membres ont été sauvagement massacrés. Deux dauphins ont été pris en captivité, dont l’unique albinos qui, à n’en pas douter, rapportera gros aux tueurs.
De la fumée noire flotte au-dessus des bateaux qui poursuivent la famille de dauphins paniquée. Photo: Sea Shepherd
Alors que les membres du groupe se retrouvaient dépourvus de la protection de leur groupe et massacrés dans la baie, trois bébés ont été transférés sur un bateau à l'aide d'élingues. Ils ont ensuite été ramenés à la mer pour y être jetés, perdus et effrayés. Ils ont peu de chance de survivre sans la protection de leur famille.
La norvégienne Karen Hagen, désormais responsable des Gardiens de la Baie sur le terrain, était parmi les Gardiens de la Baie à Taiji en janvier dernier, quand le groupe géant de tursiops a été pris dans la baie. Par une chance malheureuse, elle a assisté à la capture de deux rares dauphins albinos.
"C’est très triste de voir un nouvel albinos capturé par les tueurs ici à Taiji. Ces animaux rares, beaux et uniques vont passer le reste de leur courte vie confinés dans des bassins étroits, où ils devront exécuter des tours pour gagner leur pitance", a confié Hagen.
C’est le 15e groupe de dauphins de Risso massacrés dans la baie cette saison, portant le total de tués à environ 170 pour cette espèce.
Hormis les dauphins de Risso, seules deux espèces ont été prises dans la baie cette saison: un groupe de tursiops et un autre de globicéphales.
"Au même moment l’année dernière, les tueurs avaient capturé et tué de multiples espèces de dauphins: des globicéphales aux dauphins tachetés pantropicaux, des dauphins bleus et blancs aux dauphins de Risso, et bien d’autres. Cette année, ils ont capturé 15 groupes de Risso, un groupe de tursiops et un groupe de globicéphales. Je suis très heureuse pour les dauphins qui ne sont pas repérés mais je suis aussi préoccupée parce que cela signifie qu’ils sont au bord de l’extinction et devenus introuvables dans les eaux de Taiji", s’inquiète Melissa Seghal, Chef de campagne senior des Gardiens de la Baie.
Le dauphin de Risso albinos, choisi pour finir en captivité, est transféré à l’aide d’un drap. Photo: Sea Shepherd
Chaque année, pendant six mois surréalistes, de septembre à octobre, des familles entières de dauphins et de petites baleines sont conduites dans la baie de la mort de Taiji. Les chasseurs frappent les coques de leurs bateaux avec des barres pour créer dans l’eau un « mur de son » qui désoriente ces mammifères à l’ouïe fine. Il leur est alors impossible de s’échapper. Une fois encerclés dans la baie par les filets, les dauphins et les baleines n’auront d’autre choix que d’être massacrés ou de finir leur vie en captivité. Les individus restants, habituellement des jeunes ou des petits, sont reconduits au large d’une manière aussi brutale qu’à leur entrée dans la baie. Leurs chances de survie sont alors très minces.
Les Gardiens de la baie de Sea Shepherd sont les seuls à être présents tous les jours à Taiji pendant les six mois de chasse, rendant compte et filmant chaque capture et chaque massacre pour les livrer aux yeux du monde. La saison 2014-2015 marque la cinquième année de l’Opération Patience Infinie et les Gardiens de la baie garderont leur projecteur braqué sur cette atrocité jusqu’à ce qu’elle prenne fin.
http://www.seashepherd.fr/news-and-media/sea-shepherd-news.html
Attendant leur sort, cernés par les filets dans la baie, le groupe de dauphins et l’albinos de Risso se tiennent serrés les uns contre les autres.
Photo: Sea Shepherd
Dix mois après que le monde fut tombé sous le charme d’un joli petit dauphin tursiops albinos capturé au sein d’un grand groupe de dauphins piégé dans la baie de Taiji, un dauphin de Risso albinos a été capturé hier dans cette même baie (le 23 novembre, heure locale), selon le rapport des Gardiens de la Baie. Cet albinos fait partie du 15e groupe de dauphins capturés cette saison. Les Gardiens de la Baie l’ont nommé "Shiro", qui signifie blanc en japonais.
Tandis que les bateaux de chasse rentraient au port dimanche matin (heure locale) après une première sortie infructueuse, les Gardiens de la Baie relatent que les tueurs ont croisé la route d’environ 16 dauphins de Risso dans les eaux de Taiji. Remarquant parmi eux l’albinos, spécimen rare, les chasseurs ont tout de suite su qu’ils allaient en tirer un très bon prix. Ils n’ont pas tardé à rediriger le groupe sans ménagement vers la baie où la famille, stressée et effrayée, a fini entourée de filet, sans issue possible.
Il y avait plusieurs petits et jeunes dans cette famille, dont un albinos. Les tueurs ont conduit toute la famille vers la côte sous des bâches, où 11 membres ont été sauvagement massacrés. Deux dauphins ont été pris en captivité, dont l’unique albinos qui, à n’en pas douter, rapportera gros aux tueurs.
De la fumée noire flotte au-dessus des bateaux qui poursuivent la famille de dauphins paniquée. Photo: Sea Shepherd
Alors que les membres du groupe se retrouvaient dépourvus de la protection de leur groupe et massacrés dans la baie, trois bébés ont été transférés sur un bateau à l'aide d'élingues. Ils ont ensuite été ramenés à la mer pour y être jetés, perdus et effrayés. Ils ont peu de chance de survivre sans la protection de leur famille.
La norvégienne Karen Hagen, désormais responsable des Gardiens de la Baie sur le terrain, était parmi les Gardiens de la Baie à Taiji en janvier dernier, quand le groupe géant de tursiops a été pris dans la baie. Par une chance malheureuse, elle a assisté à la capture de deux rares dauphins albinos.
"C’est très triste de voir un nouvel albinos capturé par les tueurs ici à Taiji. Ces animaux rares, beaux et uniques vont passer le reste de leur courte vie confinés dans des bassins étroits, où ils devront exécuter des tours pour gagner leur pitance", a confié Hagen.
C’est le 15e groupe de dauphins de Risso massacrés dans la baie cette saison, portant le total de tués à environ 170 pour cette espèce.
Hormis les dauphins de Risso, seules deux espèces ont été prises dans la baie cette saison: un groupe de tursiops et un autre de globicéphales.
"Au même moment l’année dernière, les tueurs avaient capturé et tué de multiples espèces de dauphins: des globicéphales aux dauphins tachetés pantropicaux, des dauphins bleus et blancs aux dauphins de Risso, et bien d’autres. Cette année, ils ont capturé 15 groupes de Risso, un groupe de tursiops et un groupe de globicéphales. Je suis très heureuse pour les dauphins qui ne sont pas repérés mais je suis aussi préoccupée parce que cela signifie qu’ils sont au bord de l’extinction et devenus introuvables dans les eaux de Taiji", s’inquiète Melissa Seghal, Chef de campagne senior des Gardiens de la Baie.
Le dauphin de Risso albinos, choisi pour finir en captivité, est transféré à l’aide d’un drap. Photo: Sea Shepherd
Chaque année, pendant six mois surréalistes, de septembre à octobre, des familles entières de dauphins et de petites baleines sont conduites dans la baie de la mort de Taiji. Les chasseurs frappent les coques de leurs bateaux avec des barres pour créer dans l’eau un « mur de son » qui désoriente ces mammifères à l’ouïe fine. Il leur est alors impossible de s’échapper. Une fois encerclés dans la baie par les filets, les dauphins et les baleines n’auront d’autre choix que d’être massacrés ou de finir leur vie en captivité. Les individus restants, habituellement des jeunes ou des petits, sont reconduits au large d’une manière aussi brutale qu’à leur entrée dans la baie. Leurs chances de survie sont alors très minces.
Les Gardiens de la baie de Sea Shepherd sont les seuls à être présents tous les jours à Taiji pendant les six mois de chasse, rendant compte et filmant chaque capture et chaque massacre pour les livrer aux yeux du monde. La saison 2014-2015 marque la cinquième année de l’Opération Patience Infinie et les Gardiens de la baie garderont leur projecteur braqué sur cette atrocité jusqu’à ce qu’elle prenne fin.
http://www.seashepherd.fr/news-and-media/sea-shepherd-news.html
Felipe56- Survivant de Folie
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Ils se marient sous l'eau à Bora Bora
C’est la première fois qu’un mariage sous-marin a lieu à Bora Bora, en Polynésie française. Une expérience pour le moins originale vécue par un couple de touristes espagnols.
Un grand-prêtre polynésien brandit un sceptre constitué de nacres pour accueillir Alexandra et Nicolas. Ces deux touristes madrilènes sont en voyage de noces à Bora Bora, et ils ont décidé de sceller leur union à quatre mètres sous l'eau. C'est le premier mariage sous-marin dans ce lagon de Polynésie française. A Bora Bora, les organisateurs de mariages ont l'habitude des demandes extravagantes. Certains mariés font dessiner "Veux-tu m'épouser ?" dans le ciel par un avion, devant la fenêtre de leur bungalow. D'autres privatisent un motu (îlot polynésien) pour y amener une centaine d'invités depuis l'autre bout du monde.
Des mariés en habit de cosmonaute
Cette fois, c'est un peu différent : le patron des treize clubs de plongée Top Dive en Polynésie, Paul Ramos, a voulu "reproduire sous l'eau les codes du mariage terrestre", pour des couples qui n'ont parfois jamais mis la tête sous l'eau.
Alexandra et Nicolas enfilent leur blanche combinaison de mariage. Ils quittent leur pirogue nuptiale pour s'immerger dans le lagon. "J'imagine que c'est comme marcher pour la première fois sur la lune", s'enthousiasme Nicolas. Sa tenue rappelle d'ailleurs celle d'un cosmonaute : on lui place un casque blanc sur la tête. Il est alimenté en air depuis la surface. Pas question de se marier avec des palmes et des bouteilles de plongée.
Les cheveux de la mariée au sec
Avantage non négligeable pour la mariée : ses cheveux restent au sec, elle peut même garder sa couronne de fleurs, et les visages ne sont pas déformés par des masques. Grâce à leurs écouteurs, le prêtre et les époux suivent ensemble le déroulé de la cérémonie.
Une voix suave les invite à rejoindre l'autel. D'un pas lunaire, par quatre mètres de fond, ils s'avancent sur une allée bordée de coraux, de coeurs et de fleurs blanches. La chapelle est matérialisée par un rideau de bulles, autour de deux fauteuils Pomare, ces sièges royaux polynésiens.
Des poissons-clown pour témoins
Ils expriment leurs consentements mutuels par un pouce levé, avec quelques poissons-clowns et un poisson-picasso pour témoins. A l'instant où ils se passent les alliances en nacre, une raie grise ondoie élégamment autour du couple. Demain, ce sera peut-être un inoffensif requin pointe noire du lagon, ou une raie manta, la reine des lagons polynésiens.
Bora Bora, le paradis des jeunes mariés
La cérémonie coûte 2.700 euros, un peu plus si on ajoute le déjeuner traditionnel sur le motu. Pas rédhibitoire pour les touristes du Four Seasons ou du Saint Régis, les deux hôtels les plus luxueux de l'île, où la nuit peut encore coûter beaucoup plus cher.
Bora Bora compte moins de 10.000 habitants, mais 826 chambres d'hôtel dans onze hôtels, le plus souvent des bungalows sur pilotis ou face à la plage, et les jeunes mariés en lune de miel sont l'une des cibles prioritaires des hôteliers. L'île attire les stars hollywoodiennes, mais aussi les couples américains ou japonais fortunés, avec cinq hôtels 5 étoiles et trois hôtels 4 étoiles.
La moitié des touristes de Polynésie séjournent à Bora Bora
Bora Bora, surnommée "la perle du Pacifique", a accueilli l'an passé plus de la moitié des 173.000 touristes venus visiter la Polynésie française, pourtant riche de 121 îles et atolls. Trente-cinq pour cent d'entre eux étaient en voyage de noces.
http://polynesie.la1ere.fr/2014/11/03/ils-se-marient-sous-l-eau-bora-bora-202986.html
Un grand-prêtre polynésien brandit un sceptre constitué de nacres pour accueillir Alexandra et Nicolas. Ces deux touristes madrilènes sont en voyage de noces à Bora Bora, et ils ont décidé de sceller leur union à quatre mètres sous l'eau. C'est le premier mariage sous-marin dans ce lagon de Polynésie française. A Bora Bora, les organisateurs de mariages ont l'habitude des demandes extravagantes. Certains mariés font dessiner "Veux-tu m'épouser ?" dans le ciel par un avion, devant la fenêtre de leur bungalow. D'autres privatisent un motu (îlot polynésien) pour y amener une centaine d'invités depuis l'autre bout du monde.
Des mariés en habit de cosmonaute
Cette fois, c'est un peu différent : le patron des treize clubs de plongée Top Dive en Polynésie, Paul Ramos, a voulu "reproduire sous l'eau les codes du mariage terrestre", pour des couples qui n'ont parfois jamais mis la tête sous l'eau.
Alexandra et Nicolas enfilent leur blanche combinaison de mariage. Ils quittent leur pirogue nuptiale pour s'immerger dans le lagon. "J'imagine que c'est comme marcher pour la première fois sur la lune", s'enthousiasme Nicolas. Sa tenue rappelle d'ailleurs celle d'un cosmonaute : on lui place un casque blanc sur la tête. Il est alimenté en air depuis la surface. Pas question de se marier avec des palmes et des bouteilles de plongée.
Les cheveux de la mariée au sec
Avantage non négligeable pour la mariée : ses cheveux restent au sec, elle peut même garder sa couronne de fleurs, et les visages ne sont pas déformés par des masques. Grâce à leurs écouteurs, le prêtre et les époux suivent ensemble le déroulé de la cérémonie.
Une voix suave les invite à rejoindre l'autel. D'un pas lunaire, par quatre mètres de fond, ils s'avancent sur une allée bordée de coraux, de coeurs et de fleurs blanches. La chapelle est matérialisée par un rideau de bulles, autour de deux fauteuils Pomare, ces sièges royaux polynésiens.
Des poissons-clown pour témoins
Ils expriment leurs consentements mutuels par un pouce levé, avec quelques poissons-clowns et un poisson-picasso pour témoins. A l'instant où ils se passent les alliances en nacre, une raie grise ondoie élégamment autour du couple. Demain, ce sera peut-être un inoffensif requin pointe noire du lagon, ou une raie manta, la reine des lagons polynésiens.
Bora Bora, le paradis des jeunes mariés
La cérémonie coûte 2.700 euros, un peu plus si on ajoute le déjeuner traditionnel sur le motu. Pas rédhibitoire pour les touristes du Four Seasons ou du Saint Régis, les deux hôtels les plus luxueux de l'île, où la nuit peut encore coûter beaucoup plus cher.
Bora Bora compte moins de 10.000 habitants, mais 826 chambres d'hôtel dans onze hôtels, le plus souvent des bungalows sur pilotis ou face à la plage, et les jeunes mariés en lune de miel sont l'une des cibles prioritaires des hôteliers. L'île attire les stars hollywoodiennes, mais aussi les couples américains ou japonais fortunés, avec cinq hôtels 5 étoiles et trois hôtels 4 étoiles.
La moitié des touristes de Polynésie séjournent à Bora Bora
Bora Bora, surnommée "la perle du Pacifique", a accueilli l'an passé plus de la moitié des 173.000 touristes venus visiter la Polynésie française, pourtant riche de 121 îles et atolls. Trente-cinq pour cent d'entre eux étaient en voyage de noces.
http://polynesie.la1ere.fr/2014/11/03/ils-se-marient-sous-l-eau-bora-bora-202986.html
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Philippines : une tête humaine retrouvée dans le ventre d'un requin !!
Ils étaient partis pour pêcher le poisson et ont attrapé un requin. Jusque là, rien d'exceptionnel. Sauf qu'à l'intérieur du squale, ils sont tombés nez à nez avec ... une tête humaine. C'est la semaine dernière au large des Philippines qu'a eu lieu cette macabre découverte, comme le rapporte le journal Minda News.
C'est en découpant le ventre du requin-tigre qu'ils venaient de sortir de l'eau que les pêcheurs ont aperçu d'abord une jambe, puis une tête.
«C'était tellement écoeurant. On arrivait à peine à respirer tellement l'odeur était pestilentielle», raconte un pêcheur. Pris de dégoût, ce dernier et ses compagnons ont jeté les restes humains par dessus bord. Le cadavre pourrait être une des victimes du naufrage d'un ferry qui a eu lieu dans la région en septembre dernier. Deux des passagers n'avaient jamais été retrouvés.
D'après des spécialistes, le requin en question pourrait peser près de 600 kg. Bien que menacés et protégés, les requins sont régulièrement péchés par les Philippins qui en apprécient la viande.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/philippines-une-tete-humaine-retrouvee-dans-le-ventre-d-un-requin-13-11-2014-4289397.php
Felipe56- Survivant de Folie
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Deux nouveaux paquebots à construire pour les chantiers de Saint-Nazaire
La nouvelle est tombée jeudi soir : Celebrity Cruises (groupe RCCL) et le chantier naval STX France ont signé une lettre d’intention de commande pour deux navires d’une nouvelle classe haut de gamme (nommé projet Edge), livrables à l’automne 2018 et début 2020.
Le "Celebrity Reflection", le plus récent navire de la flotte de Celebrity Cruises. (Photo DR)
Ces navires de 300 mètres de long et 38 mètres de large (117 000 UMS) seront dotés de 1 450 cabines pour accueillir jusqu’à 2900 passagers. Comme pour les commandes Oasis 3 et 4 pour Royal Caribbean International, STX France proposera des innovations encore gardées secrètes.
"STX France conçoit et construit parmi les plus innovants et somptueux navires au monde, a expliqué Michael Bayley, président de Celebrity Cruises. Sur ce navire emblématique, nos passagers pourront accéder aux destinations les plus incontournables au monde tout en vivant une expérience unique de luxe à bord."
De son côté, Laurent Castaing, directeur général de STX France, a déclaré que le chantier naval était "extrêmement fier que (son) offre ait été sélectionnée par Celebrity Cruises face à celles de (ses) concurrents".
STX France engrange aujourd’hui 11 millions d’heures de travail supplémentaires. Ces deux nouvelles commandes s'ajoutent au plus gros paquebot du monde (Oasis 3) en cours de construction, l’Oasis 4 dont Le Marin révélait la semaine dernière que le chantier allait commencer dès 2015, puis les deux navires MSC pour la nouvelle classe Vista livrables en 2017 et 2019. L'horizon est dégagé jusqu'en 2020 pour les chantiers de Saint-Nazaire. Peut-être même 2022 si MSC confirme dans trois ans ses deux options Vista.
http://www.lemarin.fr/secteurs-activites/chantiers-navals/20326-deux-nouveaux-paquebots-construire-pour-les-chantiers-de
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La France condamnée à indemniser des pirates somaliens !!
La France vient d’être condamnée à indemniser des pirates somaliens pour des gardes à vue jugées injustifiées. La Cour européenne des droits de l’homme a accordé des dédommagements allant de 2 000 euros à 5 000 euros aux pirates interpellés pour les prises d’otages du Ponant et du Carré d’As, en avril et septembre 2008, dans un arrêt rendu public jeudi 4 décembre.
Le navire de croisière « Le Ponant » après sa libération avec, en arrière-plan, l’aviso français « Commandant Bouan ».
(Photo ECPAD)
La Cour européenne des droits de l’homme a estimé que « rien ne justifiait » leur placement en garde à vue pour 48 heures supplémentaires après les jours passés en mer aux mains de la Marine nationale. Dans les deux affaires, les pirates somaliens avaient été rapatriés en France en vue d’être poursuivis pour actes de piraterie après leur arrestation.
Dans le cas du Ponant, en avril 2008, leur transfert avait duré quatre jours et une vingtaine d’heures, tandis que dans l’affaire du Carré d’As, en septembre 2008, ils avaient passé six jours et seize heures avant d’arriver en France après un passage par la base militaire de Djibouti.
Circonstances exceptionnelles
La Cour de Strasbourg n’a pas remis en cause le fait que des circonstances tout à fait exceptionnelles puissent justifier de tels délais : en l’occurrence le fait que la France intervenait « à plus de 6 000 kilomètres de son territoire » et que les autorités somaliennes « étaient dans l’incapacité de lutter » contre le fléau de la piraterie.
En revanche, elle a jugé qu’à leur arrivée en France, les pirates n’auraient pas dû être placés en garde à vue durant 48 heures supplémentaires avant de se voir signifier leur mise en examen par un juge d’instruction. Le temps du transfert aurait pu être mis à profit « pour préparer la traduction des requérants « sans délai » devant une autorité judiciaire », a estimé la Cour.
Selon cet arrêt encore susceptible de renvoi devant son instance suprême, la Grande Chambre, la France a ainsi violé « le droit à la liberté et à la sûreté » des pirates interpellés.
Les auteurs de la prise d’otages d’un couple de Français à bord du voilier Carré d'As ont été condamnés en février 2013 en appel à des peines de quatre à huit ans de prison. Un cinquième a été acquitté.
Quant au détournement du navire de croisière Le Ponant, il a valu en juin 2012 à quatre pirates des peines de quatre à dix ans de prison. Deux autres ont été acquittés par la cour d’assises de Paris.
Dans le cas du Ponant, en avril 2008, leur transfert avait duré quatre jours et une vingtaine d’heures, tandis que dans l’affaire du Carré d’As, en septembre 2008, ils avaient passé six jours et seize heures avant d’arriver en France après un passage par la base militaire de Djibouti.
Circonstances exceptionnelles
La Cour de Strasbourg n’a pas remis en cause le fait que des circonstances tout à fait exceptionnelles puissent justifier de tels délais : en l’occurrence le fait que la France intervenait « à plus de 6 000 kilomètres de son territoire » et que les autorités somaliennes « étaient dans l’incapacité de lutter » contre le fléau de la piraterie.
En revanche, elle a jugé qu’à leur arrivée en France, les pirates n’auraient pas dû être placés en garde à vue durant 48 heures supplémentaires avant de se voir signifier leur mise en examen par un juge d’instruction. Le temps du transfert aurait pu être mis à profit « pour préparer la traduction des requérants « sans délai » devant une autorité judiciaire », a estimé la Cour.
Selon cet arrêt encore susceptible de renvoi devant son instance suprême, la Grande Chambre, la France a ainsi violé « le droit à la liberté et à la sûreté » des pirates interpellés.
Les auteurs de la prise d’otages d’un couple de Français à bord du voilier Carré d'As ont été condamnés en février 2013 en appel à des peines de quatre à huit ans de prison. Un cinquième a été acquitté.
Quant au détournement du navire de croisière Le Ponant, il a valu en juin 2012 à quatre pirates des peines de quatre à dix ans de prison. Deux autres ont été acquittés par la cour d’assises de Paris.
http://www.lemarin.fr/secteurs-activites/defense/20329-la-france-condamnee-indemniser-des-pirates-somaliens
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CORNOUAILLE
Retour sur un long métrage tourné dans le Finistère en 2011 et sorti sur les écrans en 2012 : Cornouaille, le troisième film d’Anne Le Ny.
Les accessoiristes ... descendant la plage de Gwendrez ... (photo production du film "Cornouaille")
Tournage sur la plage de Gwendrez à Plouhinec - (photo production du film "Cornouaille")
Vanessa Paradis s'est aimablement prêtée au jeu des autographes pour le grand plaisir des
spectateurs sur les quais d'Audierne.
Scène sur les quais d'Audierne
De nombreux capistes ont participé à la réalisation du film
Anne Le Ny, réalisatrice, d'origine bretonne passe ses vacances régulièrement
à Plouhinec depuis 40 ans. Elle connaît très bien la région Breatagne et a souhaité
tourner son film dans cet endroit magnifique.
http://www.audierne.info/pagesphp/actualites/articles/2011/film_cornouaille_2011.php
Felipe56- Survivant de Folie
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Mafalda
En français: "Papa, tu crois que si on jetait tous les politiques à la mer, l'océan supporterait un aussi haut niveau de pollution ?"
Felipe56- Survivant de Folie
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Aquarium de La Rochelle: Il fait sa demande en mariage depuis le bassin des tortues
Une demande qui a fait son effet. La semaine dernière, le plongeur de l'Aquarium de La Rochelle a contribué à «une demande en mariage très touchante, unique et exceptionnelle», relate l'établissement sur sa page Facebook.
«La tortue aux premières loges»
En effet, pour déclarer sa flamme, l'homme n'a pas hésité à plonger et installer une grande pancarte sous l'eau avec cette inscription: «Nadine, j'ai l'honneur de te demander ta main» dans le bassin des tortues, rapporte ce lundi nos confrères de Sud Ouest.
L'établissement s'est réjoui dans la foulée de cet événement sur les réseaux sociaux. «Ils se sont dit oui à l’#Aquarium [...] La tortue aux premières loges s’est imposée en témoin de ce bel événement !!! Nous souhaitons beaucoup de bonheur à Nadine et Jean-Charles».
http://www.20minutes.fr/insolite/1501743-20141215-aquarium-rochelle-fait-demande-mariage-depuis-bassin-tortues
http://www.sudouest.fr/2014/12/15/aquarium-de-la-rochelle-il-fait-sa-demande-en-mariage-dans-le-bassin-des-tortues-1769176-1391.php
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Aliağa en Turquie...
Le ferry MS Osten Sprit qui a fait la traversée entre le Royaume UNi et la France est arrivé sur les chantiers de démolition d'Aliaga en Turquie... Regarde la vidéo, c'est impressionnant !
http://sploid.gizmodo.com/big-ferry-being-beached-full-speed-onto-demolishing-yar-1669207756?utm_campaign=socialflow_gizmodo_facebook&utm_source=gizmodo_facebook&utm_medium=socialflow
http://www.minutouno.com/notas/346885-el-momento-que-un-barco-se-estrella-contra-el-muelle-otras-dos-naves
Felipe56- Survivant de Folie
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Re: insolite ? La mer dans tous ses états !
Joyeuses Fêtes de Noël !!
Felipe56- Survivant de Folie
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Blead Mat ! Bonne Année !
Je vous souhaite une bonne année ! Et une pile de réponses sur ce forum !
Felipe56- Survivant de Folie
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Un héro sort de l'eau !
Sortie prévue le 18 février prochain !
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Vers le Pot au noir. Deux potes en jaune
Le duo Stamm - Le Cam sur la Barcelona World Race, vu par Nico Cado.
Partis en tout début d'année de Barcelone, bien avant les événements tragiques de la semaine dernière, les co-skippers Bernard Stamm et Jean Le Cam poursuivent leur beau début de course autour du monde sans escale. Toujours dans le trio de tête de la Barcelona World Race depuis le départ, le 60-pieds brestois Cheminées Poujoulat s'est payé le luxe d'endosser le maillot jaune à l'Équateur, dans un mouchoir de poche avec les deux autres favoris de la course. Pas vraiment le temps de faire la causette sous un alizé plutôt musclé. Le rythme va se calmer à l'approche du Pot au noir, alors que les deux Finistériens se préparent à faire le grand tour de l'anticyclone de Saint-Hélène, le long de la côte est du Brésil. « Le moral est bon », assure Bernard Stamm, qui ne relâche aucunement son effort aux côtés d'un Jean Le Cam aussi mordant. « Nous sommes rivés à la barre, non-stop. Quand les manœuvres sont finies, on est occis ; l'un se colle à la barre et l'autre va à la bannette pour deux ou trois heures ».
http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/vers-le-pot-au-noir-deux-potes-en-jaune-14-01-2015-10491309.php
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Livre & Mer. La sélection du prix Henri-Queffélec
Six ouvrages sont en lice pour le prix Henri-Queffélec du festival Livre & Mer. La sélection a été présentée vendredi soir, au Marinarium, en présence d'Alain Jaubert, président d'honneur de cette 31e édition.
Éliane Gastellier, présidente du comité du festival ; Alain Jaubert, président d'honneur de
l'édition 2015 et président du jury du prix Henri-Queffélec et Christelle Capo-Chichi, en charge
de la programmation, lors de la présentation de la sélection, vendredi soir, au Marinarium.
Un président touché par le drame de Charlie Hebdo.
Lauréat en 2005 pour son roman « Val Paradis » (Goncourt du premier roman la même année), Alain Jaubert est le président du jury du prix Henri-Queffélec. Il a été marin, chroniqueur, journaliste, réalisateur? Éliane Gastellier, la présidente du festival, a brossé le portrait d'un homme ayant touché à tout. « J'ai été vers plein de choses mais, ce que je préfère, c'est ce que je fais maintenant », résumait un peu plus tard l'intéressé au micro de notre confrère de Radio-Harmonie Cornouaille. Lors de cet entretien avec la presse, Alain Jaubert a fait part de son émotion suite à l'attentat contre la rédaction de Charlie Hebdo dont il connaissait plusieurs membres, Wolinski et Cabu notamment.
Six livres, pour le moment, dans la sélection.
Six ouvrages sont pour l'instant en lice pour le prix Queffélec. « Il n'est pas impossible que cette sélection s'enrichisse d'un septième titre d'ici la fin du mois de mars », a précisé Christelle Capo-Chichi, chargée de la programmation du festival. Les livres retenus sont : « Nous étions le sel de la mer », de Roxanne Bouchard, publié aux éditions VLB ; « Valse barbare », de Daniel Cario, Éditions du Palémon ; « Nord-Nord Ouest », de Sylvain Coher, Éditions Actes Sud ; « La Grande Nageuse », d'Olivier Frébourg, Mercure de France ; « Plus rien que les vagues et le vent », de Christine Montalbetti, éditions POL ; « Une femme simple », de Cédric Morgan, éditions Grasset. Ces ouvrages sont, depuis vendredi soir, entre les mains du président et des autres membres du jury, six personnes retenues parmi une vingtaine de candidats. Ils se retrouveront au printemps pour délibérer. Le prix sera décerné lors de l'inauguration du festival, le 3 avril, au Cac.
Financement participatif pour le « Voilier des contes ».
Pour permettre de donner vie au projet « Voilier des contes » - un espace en forme d'éléments de bateau que le festival souhaite réserver aux 3-12 ans pour leur donner le goût de la lecture - un appel au financement participatif a été lancé sur la plateforme Ulule. Le projet est consultable sur la page : http://fr.ulule.com/voguez-moussaillons. Contre des participations (de 5 à 100 €), les donateurs recevront des pass d'entrée, des invitations aux temps forts de la prochaine édition, un roman dédicacé?
Pratique :
Festival Livre & Mer, du 3 au 5 avril.
Contact : http://www.livremer.org
http://www.letelegramme.fr/finistere/concarneau/livre-mer-la-selection-du-prix-henri-queffelec-18-01-2015-10495994.php
Éliane Gastellier, présidente du comité du festival ; Alain Jaubert, président d'honneur de
l'édition 2015 et président du jury du prix Henri-Queffélec et Christelle Capo-Chichi, en charge
de la programmation, lors de la présentation de la sélection, vendredi soir, au Marinarium.
Un président touché par le drame de Charlie Hebdo.
Lauréat en 2005 pour son roman « Val Paradis » (Goncourt du premier roman la même année), Alain Jaubert est le président du jury du prix Henri-Queffélec. Il a été marin, chroniqueur, journaliste, réalisateur? Éliane Gastellier, la présidente du festival, a brossé le portrait d'un homme ayant touché à tout. « J'ai été vers plein de choses mais, ce que je préfère, c'est ce que je fais maintenant », résumait un peu plus tard l'intéressé au micro de notre confrère de Radio-Harmonie Cornouaille. Lors de cet entretien avec la presse, Alain Jaubert a fait part de son émotion suite à l'attentat contre la rédaction de Charlie Hebdo dont il connaissait plusieurs membres, Wolinski et Cabu notamment.
Six livres, pour le moment, dans la sélection.
Six ouvrages sont pour l'instant en lice pour le prix Queffélec. « Il n'est pas impossible que cette sélection s'enrichisse d'un septième titre d'ici la fin du mois de mars », a précisé Christelle Capo-Chichi, chargée de la programmation du festival. Les livres retenus sont : « Nous étions le sel de la mer », de Roxanne Bouchard, publié aux éditions VLB ; « Valse barbare », de Daniel Cario, Éditions du Palémon ; « Nord-Nord Ouest », de Sylvain Coher, Éditions Actes Sud ; « La Grande Nageuse », d'Olivier Frébourg, Mercure de France ; « Plus rien que les vagues et le vent », de Christine Montalbetti, éditions POL ; « Une femme simple », de Cédric Morgan, éditions Grasset. Ces ouvrages sont, depuis vendredi soir, entre les mains du président et des autres membres du jury, six personnes retenues parmi une vingtaine de candidats. Ils se retrouveront au printemps pour délibérer. Le prix sera décerné lors de l'inauguration du festival, le 3 avril, au Cac.
Financement participatif pour le « Voilier des contes ».
Pour permettre de donner vie au projet « Voilier des contes » - un espace en forme d'éléments de bateau que le festival souhaite réserver aux 3-12 ans pour leur donner le goût de la lecture - un appel au financement participatif a été lancé sur la plateforme Ulule. Le projet est consultable sur la page : http://fr.ulule.com/voguez-moussaillons. Contre des participations (de 5 à 100 €), les donateurs recevront des pass d'entrée, des invitations aux temps forts de la prochaine édition, un roman dédicacé?
Pratique :
Festival Livre & Mer, du 3 au 5 avril.
Contact : http://www.livremer.org
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Felipe56- Survivant de Folie
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Autoroute de la mer. La ligne Montoir-Gijon refait surface
Quatre mois après sa suspension, la ligne Montoir-Gijón pourrait reprendre du service. Diagnostic et expertise en cours.
L'autoroute de la mer Montoir-Gijón, suspendue depuis le 18 septembre, a refait surface, hier mardi, au détour d'une table ronde en préfecture à Nantes. Dans un communiqué de presse, les participants (1) annoncent que « l'accent a été mis sur la coopération franco-espagnole qui soutient le projet ». Leurs échanges ont également révélé le soutien des partenaires à cette autoroute « au caractère innovant et à son exemplarité écologique », et les transporteurs routiers se sont exprimés sur l'intérêt de cette liaison maritime. « La table ronde a permis de partager le diagnostic sur les causes de la suspension de la ligne », souligne ce communiqué en annonçant qu'« une expertise complémentaire sera réalisée afin de consolider ce diagnostic. »
Trois groupes de travail
Un travail s'engage également sur l'amélioration des conditions d'exploitation de la ligne afin de définir les modalités d'une reprise éventuelle du service. Trois groupes plancheront sur l'analyse du marché et de la demande, sur le passage portuaire et sur la coopération entre l'Union européenne, les États espagnol et français et les collectivités. Copie à rendre au préfet fin mars.
(1) Table ronde en présence de Mme Rodriguez Carbajal, représentante du gouvernement des Asturies auprès de la Commission européenne, de Christophe Clergeau, de représentants du conseil général, de Nantes Métropole, de la Carene, des autorités portuaires espagnoles, du port de Nantes Saint-Nazaire, des transporteurs routiers et de l'armateur.
Pour rappel :
La ligne a été suspendue par l'armateur LD Lines en raison d'un déficit d'exploitation et la suspension annoncée des subventions européennes et des deux États. Avec un taux de remplissage moyen de 75 %, la ligne a permis pendant quatre ans le report vers la voie maritime de plus de 20 000 poids lourds par an. Christophe Clergeau, vice-président à la Région a regretté « la perte de temps sur ce dossier stratégique », tout en voyant « dans cette réunion, un premier pas pour une réouverture prochaine ».
(Lire aussi : http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/autoroute-mer-ligne-montoir-gijon-suspendue-beaucoup-clients-decus-12-09-2014-158932)
http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/autoroute-mer-ligne-montoir-gijon-refait-surface-14-01-2015-185171
L'autoroute de la mer Montoir-Gijón, suspendue depuis le 18 septembre, a refait surface, hier mardi, au détour d'une table ronde en préfecture à Nantes. Dans un communiqué de presse, les participants (1) annoncent que « l'accent a été mis sur la coopération franco-espagnole qui soutient le projet ». Leurs échanges ont également révélé le soutien des partenaires à cette autoroute « au caractère innovant et à son exemplarité écologique », et les transporteurs routiers se sont exprimés sur l'intérêt de cette liaison maritime. « La table ronde a permis de partager le diagnostic sur les causes de la suspension de la ligne », souligne ce communiqué en annonçant qu'« une expertise complémentaire sera réalisée afin de consolider ce diagnostic. »
Trois groupes de travail
Un travail s'engage également sur l'amélioration des conditions d'exploitation de la ligne afin de définir les modalités d'une reprise éventuelle du service. Trois groupes plancheront sur l'analyse du marché et de la demande, sur le passage portuaire et sur la coopération entre l'Union européenne, les États espagnol et français et les collectivités. Copie à rendre au préfet fin mars.
(1) Table ronde en présence de Mme Rodriguez Carbajal, représentante du gouvernement des Asturies auprès de la Commission européenne, de Christophe Clergeau, de représentants du conseil général, de Nantes Métropole, de la Carene, des autorités portuaires espagnoles, du port de Nantes Saint-Nazaire, des transporteurs routiers et de l'armateur.
Pour rappel :
La ligne a été suspendue par l'armateur LD Lines en raison d'un déficit d'exploitation et la suspension annoncée des subventions européennes et des deux États. Avec un taux de remplissage moyen de 75 %, la ligne a permis pendant quatre ans le report vers la voie maritime de plus de 20 000 poids lourds par an. Christophe Clergeau, vice-président à la Région a regretté « la perte de temps sur ce dossier stratégique », tout en voyant « dans cette réunion, un premier pas pour une réouverture prochaine ».
(Lire aussi : http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/autoroute-mer-ligne-montoir-gijon-suspendue-beaucoup-clients-decus-12-09-2014-158932)
http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/autoroute-mer-ligne-montoir-gijon-refait-surface-14-01-2015-185171
Felipe56- Survivant de Folie
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la pensée du jour
« La mer est un espace de rigueur et de liberté. »
Victor Hugo
Felipe56- Survivant de Folie
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Au cœur de la mer !
L’île Louët est un îlot rocheux emblématique de la Baie de Morlaix, situé à 350m des côtes de Carantec et à proximité du célèbre Château du Taureau.
Ayant pour objectif de sécuriser l’accès des navires au port de Morlaix par son éclairage permanent, l’île fut habitée par plusieurs gardiens de phare et leur famille, qui se sont succédées jusque dans les années 1960, époque de l’automatisation du phare.
Après rénovation de l’ancienne maison du gardien par la municipalité de Carantec, il est désormais possible d’y séjourner pour une ou deux nuits, chaque année entre avril et octobre. La maison peut accueillir jusqu’à dix personnes, dans un confort simple, mais complet, en adéquation avec l’esprit du lieu.
En avril 2013, pour la première fois, l’eau courante alimente l’île où l’électricité est désormais fournie par des panneaux photovoltaïques. À noter cependant que l’ampérage électrique y reste faible et que l’eau est froide dans les sanitaires. Les toilettes sont situées dans l’ancienne soue à cochon, les sanitaires (douche et lavabo) sont dans la remise du pêcheur. Ces bâtiments annexes sont situés à proximité de la maison.
La maison, ses dépendances et sa terrasse sont louées. Malgré tout, l’île a toujours été et reste un espace public accessible à tous, et ce, même en période de location. Le phare est toujours en activité. Pour des raisons de sécurité, son accès est interdit.
Bon à savoir :
Tarif pour 2016 : 288 euros pour une nuit, 477 euros pour deux nuits pour dix personnes maximum !
L’ouverture des réservations pour 2016 était fixée au lundi 19 janvier 2015, à partir de 10h... et tout est complet ! Rendez-vous bientôt sur le site pour les réservations pour 2017... Vous pouvez toujours vous inscrire car en cas de désistement, on vous envoie un mail et on vous propose une date !
http://www.tourisme-morlaix.fr/l-ile-louet-reservations-2016.html
Voir aussi :
http://www.tourisme-morlaix.fr/L-Ile-Louet-en-image.html
http://www.tourisme-morlaix.fr/ile-louet.html
Et ce reportage d'il y a quelques années :
http://videos.tf1.fr/jt-20h/2013/bretagne-louer-une-ile-pour-des-vacances-a-la-robinson-8228157.html
Felipe56- Survivant de Folie
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Le métro new-yorkais finit dans l'océan... pour le bien de la nature !?!
Et si larguer des rames de métro dans l'océan contribuait à l'écosytème des fonds marins? C'est un projet écologique de la ville de New-York que le photographe Stephen Mallon a suivi durant trois ans. Avec son appareil, il a pu immortaliser la chute de ces carcasses métalliques au fond de l'Atlantique dans une série de photos insolites baptisée Next Stop, Atlantic (Prochain arrêt, l'Atlantique).
Balancée par dessus bord le long de la côté américaine, entre le Delaware et la Caroline du Sud, ces wagons entiers sont voués à devenir l'habitat artificiel de millions de poissons, afin de les protéger des prédateurs et de leur fournir une source de nourriture. L'objectif final est d'aider à reconstruire les récifs du fond marin de la côte Est américaine.
2500 rames pour plus d'attractivité
Selon le DailyMail, la Metropolitan Transit Authority (gestion des transports publics de New York) est derrière ce programme qui a rassemblé à peu près 2500 métros. Toujours selon le site, environ 95% des fonds marins au large des côtes atlantiques américaines sont composés de sable nu, peu attractif pour le poisson.
Les responsables du projet espèrent voir le retour d'espèces marines telles que le bar noir ou le tautoga. Celles-ci devraient, à leur tour, attirer des prédateurs comme le marlin, le thon ou encore le dauphin.
D'après le Hufington Post Québec, le travail de Stephen Mallon sera représenté par une de ses photographies à l'exposition Patterns of Interest entre le 6 février et le 15 mars aux Kimmel Galleries de l'université de New York.
http://www.huffingtonpost.fr/2015/01/22/photo-metro-new-york-ocean-atlantique-recif-nature_n_6521422.html?utm_hp_ref=fr-insolite
Balancée par dessus bord le long de la côté américaine, entre le Delaware et la Caroline du Sud, ces wagons entiers sont voués à devenir l'habitat artificiel de millions de poissons, afin de les protéger des prédateurs et de leur fournir une source de nourriture. L'objectif final est d'aider à reconstruire les récifs du fond marin de la côte Est américaine.
2500 rames pour plus d'attractivité
Selon le DailyMail, la Metropolitan Transit Authority (gestion des transports publics de New York) est derrière ce programme qui a rassemblé à peu près 2500 métros. Toujours selon le site, environ 95% des fonds marins au large des côtes atlantiques américaines sont composés de sable nu, peu attractif pour le poisson.
Les responsables du projet espèrent voir le retour d'espèces marines telles que le bar noir ou le tautoga. Celles-ci devraient, à leur tour, attirer des prédateurs comme le marlin, le thon ou encore le dauphin.
D'après le Hufington Post Québec, le travail de Stephen Mallon sera représenté par une de ses photographies à l'exposition Patterns of Interest entre le 6 février et le 15 mars aux Kimmel Galleries de l'université de New York.
http://www.huffingtonpost.fr/2015/01/22/photo-metro-new-york-ocean-atlantique-recif-nature_n_6521422.html?utm_hp_ref=fr-insolite
Felipe56- Survivant de Folie
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