insolite ? La mer dans tous ses états !
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insolite ? La mer dans tous ses états !
Rappel du premier message :
Bonjour,
Si tu es amoureux de la mer, des couleurs changeantes sur l'Océan, des furies des vagues, des paysages de bord de mer, des plongées sous-marine, ou des bateaux... C'est ici que je t'invite à poster des photos, images, vidéos !
Je commence par un paysage que j'aime particulièrement, car tout près de chez moi... Larmor-Plage, en Bretagne Sud.
Bonjour,
Si tu es amoureux de la mer, des couleurs changeantes sur l'Océan, des furies des vagues, des paysages de bord de mer, des plongées sous-marine, ou des bateaux... C'est ici que je t'invite à poster des photos, images, vidéos !
Je commence par un paysage que j'aime particulièrement, car tout près de chez moi... Larmor-Plage, en Bretagne Sud.
Dernière édition par Felipe56 le Mer 28 Fév - 15:41, édité 9 fois
Felipe56- Survivant de Folie
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Sebastião Salgado - Genesis
Genesis est la grande exposition de Sebastião Salgado, un hommage photographique sans précédent à notre planète. Les 245 photographies exposées, au terme de huit ans de travail et d’une trentaine de voyages à travers le monde, sont présentées selon un parcours en cinq chapitres géographiques ("Aux confins du Sud", "Sanctuaires naturels", "Afrique", "Terres du Nord", "Amazonie et Pantanal"), qui sont autant de régions du monde explorées par Sebastião Salgago pour nous révéler la nature de notre planète dans toute sa splendeur.
« Genesis est la quête du monde des origines, celui qui a évolué pendant des millénaires avant d’être confronté au rythme de la vie actuelle, avant d’oublier ce qui fait de nous des êtres humains. Cette exposition nous présente des paysages, des animaux et des peuples qui ont su échapper au monde contemporain. Elle met à l’honneur ces régions vastes et lointaines où, intacte et silencieuse, la nature règne encore dans toute sa majesté.
On peut s’abreuver à la splendeur des régions polaires, des forêts tropicales, des savanes, des déserts torrides, des montagnes dominées par des glaciers et des îles solitaires. Si certains climats sont trop froids ou arides pour la plupart des formes de vie, on trouvera dans d’autres régions des animaux et des peuples qui ne pourraient survivre sans cet isolement. Ils forment ensemble une incroyable mosaïque où la nature peut s’exprimer dans toute sa grandeur.
Les photographies de Genesis aspirent à révéler cette beauté.
L’exposition constitue un hommage à la fragilité d’une planète que nous avons tous le devoir de protéger. » Lélia Wanick Salgado
Deux livres, conçus et réalisés par Lélia Wanick Salgado, accompagnent l’exposition : Sebastião Salgado. Genesis, TASCHEN, 2013
Deux expositions sont à découvrir, en parallèle à l’exposition de la MEP:
Sebastião Salgado, un regard engagé, Collection de la Maison Européenne de la Photographie, Paris, du 5 octobre au 1er décembre 2013, à la Vieille Église Saint-Vincent de Mérignac (près de Bordeaux).
Sebastião Salgado, Genesis, du 9 novembre 2013 au 18 janvier 2014 à la Galerie Polka, Paris.
http://www.mep-fr.org/evenement/sebastiao-salgado-2/
Felipe56- Survivant de Folie
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Re: insolite ? La mer dans tous ses états !
A l’heure où se déroule le Quiksilver Pro France sur la côte Basque et en attendant les résultats (c'est pour bientôt ! Kelly Slater est en quarts de finale à 41 ans !!), revenons sur une autre compétition ayant fait parler d’elle en juin dernier. Compétition certes moins prestigieuse mais qui n’a pas manqué de faire la Une des médias à l’époque ! Originalité et revendications au programme. Le Surf en talons aiguilles, vous vous rappelez ?
Bali, plage de Kuta, nous sommes le 18 juin, unique jour d’une originale mais non moins relevée compétition regroupant les « aficionadas » du surf. Ni combinaison en latex, ni chausson anti dérapant, à la place, des robes de soirées et des stilettos sur les planches. Vous en avez rêvé ? Elles l’ont fait ! Alors le surf un sport d’hommes uniquement ?
Ce jour-là, des surfeuses russes se lancent le défi de prendre les vagues et les rouleaux avec des hauts talons. Défi timbré ? Sûrement, mais cela marche. Les sportives perchées sur leurs 12cm offrent aux spectateurs amusés et ébahis une performance époustouflante de technicité en réalisant des runs dans la joie et le style.
La revanche féminine
Un happening amusant mais pas dénué de revendications. En effet, début 2013 lors de la compétition Mavericks International sur la côte Californienne, Jeff Clarks, le directeur de la compétition, expliquait avec des propos machos que ce rendez-vous n’était « pas prêt d’accueillir des femmes » car elles n’auraient pas les capacités pour affronter de très grosses vagues… La riposte n’a pas tardé et c’est l’américaine Savannah Shaughnessy, une des pointures du surf, qui répondit du tac au tac « Seulement 1 % des hommes sont capables de rider de très gros pipes. On ne voit jamais de femmes le faire. Mais c’est peut-être parce que ces grandes compétitions leur sont fermées. C’est mathématique. ».
Les surfeuses russes ont ainsi prouvé que les femmes pouvaient, elles aussi, être à la hauteur de défis hors normes. Une compétition en guise de pied de nez aux hommes qui pratiquent cette discipline. On attend toujours de voir ces Messieurs en talons aiguilles pour répondre à ce défi lancé.
Au-delà de cette mini-compétition, ce sont peut-être les mentalités qui évolueront enfin... La passion du Surf avant tout !
http://www.seamigo.com/blog/insoliteseamigo/surf-en-talons-aiguilles-664/
Bali, plage de Kuta, nous sommes le 18 juin, unique jour d’une originale mais non moins relevée compétition regroupant les « aficionadas » du surf. Ni combinaison en latex, ni chausson anti dérapant, à la place, des robes de soirées et des stilettos sur les planches. Vous en avez rêvé ? Elles l’ont fait ! Alors le surf un sport d’hommes uniquement ?
Ce jour-là, des surfeuses russes se lancent le défi de prendre les vagues et les rouleaux avec des hauts talons. Défi timbré ? Sûrement, mais cela marche. Les sportives perchées sur leurs 12cm offrent aux spectateurs amusés et ébahis une performance époustouflante de technicité en réalisant des runs dans la joie et le style.
La revanche féminine
Un happening amusant mais pas dénué de revendications. En effet, début 2013 lors de la compétition Mavericks International sur la côte Californienne, Jeff Clarks, le directeur de la compétition, expliquait avec des propos machos que ce rendez-vous n’était « pas prêt d’accueillir des femmes » car elles n’auraient pas les capacités pour affronter de très grosses vagues… La riposte n’a pas tardé et c’est l’américaine Savannah Shaughnessy, une des pointures du surf, qui répondit du tac au tac « Seulement 1 % des hommes sont capables de rider de très gros pipes. On ne voit jamais de femmes le faire. Mais c’est peut-être parce que ces grandes compétitions leur sont fermées. C’est mathématique. ».
Les surfeuses russes ont ainsi prouvé que les femmes pouvaient, elles aussi, être à la hauteur de défis hors normes. Une compétition en guise de pied de nez aux hommes qui pratiquent cette discipline. On attend toujours de voir ces Messieurs en talons aiguilles pour répondre à ce défi lancé.
Au-delà de cette mini-compétition, ce sont peut-être les mentalités qui évolueront enfin... La passion du Surf avant tout !
http://www.seamigo.com/blog/insoliteseamigo/surf-en-talons-aiguilles-664/
Felipe56- Survivant de Folie
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Re: insolite ? La mer dans tous ses états !
La mer dans tous ses etats :
Agitée :
Calme :
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Lucametz- Survivant de Folie
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Départ aujourd'hui des Sables d'Olonne !
Merci Luca !
Eh bien, puisque la mer inspire, voici l'incroyable défi que se lance Yvan Bourgnon...
Des cartes, un compas et un sextant mais pas de GPS. Le navigateur suisse Yvan Bourgnon, grand spécialiste du multicoque, et son coéquipier français Vincent Beauvarlet se lancent samedi dans un défi hors-normes : un tour du monde à la voile sur un catamaran de sport de 6,3 m de long et large de quatre. Le navigateur compte au travers de 20 escales (dont la première à La Corogne) retrouver les sensations de la navigation à l'ancienne.
Le périple de 50 000 km partira des Sables-d'Olonne pour un retour au port vendéen 11 mois plus tard.
«Fort de ma longue expérience du large avec les plus grands multicoques (NDLR: notamment avec les trimarans de 60 pieds Orma) et de la régate en catamaran de sport, j'ai souhaité conjuguer les deux dans un défi unique, assure Bourgnon, 42 ans. C'est en franchissant le cap Horn par 100km/h de vent que j'ai compris que cette folie pouvait être possible».
L'histoire raconte que Vincent Beauvarlet, 39 ans, n'aurait pas mis plus de 15 secondes avant d'accepter ce défi inédit lancé par son ami de longue date.
De l'amitié, il en faudra assurément pour vivre pendant près d'un an dans des conditions d'inconfort assez incroyables, les deux hommes dormant à tour de rôle sur des bancs aménagés de chaque côté sur les "ailes" du petit catamaran, couverts d'embruns dès qu'il y aura du clapot.
Bourgon abonné aux exploits
En septembre 2010, Yvan Bourgnon avait traversé la Méditerranée avec le Français Jérémie Lagarrigue, reliant Marseille à Carthage (Tunisie) en 53 heures et 52 minutes sur un catamaran conçu pour régater dans des eaux abritées. Et en janvier 2012, le Suisse et un autre Français, Sébastien Roubinet, avaient fait le tour du cap Horn, d'Ushuaïa à Ushuaïa (Argentine), en une soixantaine d'heures à bord d'un Nacra F20 de 6 mètres de long, un autre catamaran de sport.
http://yvan-bourgnon.fr/
http://www.leparisien.fr/sports/autres/voile-l-incroyable-defi-de-yvan-bourgnon-sur-un-catamaran-de-sport-04-10-2013-3196057.php
Eh bien, puisque la mer inspire, voici l'incroyable défi que se lance Yvan Bourgnon...
Des cartes, un compas et un sextant mais pas de GPS. Le navigateur suisse Yvan Bourgnon, grand spécialiste du multicoque, et son coéquipier français Vincent Beauvarlet se lancent samedi dans un défi hors-normes : un tour du monde à la voile sur un catamaran de sport de 6,3 m de long et large de quatre. Le navigateur compte au travers de 20 escales (dont la première à La Corogne) retrouver les sensations de la navigation à l'ancienne.
Le périple de 50 000 km partira des Sables-d'Olonne pour un retour au port vendéen 11 mois plus tard.
«Fort de ma longue expérience du large avec les plus grands multicoques (NDLR: notamment avec les trimarans de 60 pieds Orma) et de la régate en catamaran de sport, j'ai souhaité conjuguer les deux dans un défi unique, assure Bourgnon, 42 ans. C'est en franchissant le cap Horn par 100km/h de vent que j'ai compris que cette folie pouvait être possible».
L'histoire raconte que Vincent Beauvarlet, 39 ans, n'aurait pas mis plus de 15 secondes avant d'accepter ce défi inédit lancé par son ami de longue date.
De l'amitié, il en faudra assurément pour vivre pendant près d'un an dans des conditions d'inconfort assez incroyables, les deux hommes dormant à tour de rôle sur des bancs aménagés de chaque côté sur les "ailes" du petit catamaran, couverts d'embruns dès qu'il y aura du clapot.
Bourgon abonné aux exploits
En septembre 2010, Yvan Bourgnon avait traversé la Méditerranée avec le Français Jérémie Lagarrigue, reliant Marseille à Carthage (Tunisie) en 53 heures et 52 minutes sur un catamaran conçu pour régater dans des eaux abritées. Et en janvier 2012, le Suisse et un autre Français, Sébastien Roubinet, avaient fait le tour du cap Horn, d'Ushuaïa à Ushuaïa (Argentine), en une soixantaine d'heures à bord d'un Nacra F20 de 6 mètres de long, un autre catamaran de sport.
http://yvan-bourgnon.fr/
http://www.leparisien.fr/sports/autres/voile-l-incroyable-defi-de-yvan-bourgnon-sur-un-catamaran-de-sport-04-10-2013-3196057.php
Felipe56- Survivant de Folie
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La Mini Transat 2013 : c'est reparti !!
La Mini-Transat repart du port cornouaillais 22 ans après l’édition de 1991.
Depuis 1999, la Mini-Transat avait quitté les rives de la Cornouaille pour d’autres horizons. Le retour de l’épreuve en Bretagne marque en quelque sorte un retour aux origines, proches des fondamentaux qu’avait imaginés Bob Salmon, le créateur de l’épreuve.
Au départ de Douarnenez la traversée du golfe de Gascogne va demander un sens marin évident, quand on connaît la difficulté qu’il peut y avoir à négocier la pointe de l’Espagne, une escale aux Canaries, à Lanzarote, une des îles de l’archipel les plus préservées, puis une traversée express dans les alizés où les qualités de glisse risquent de remettre au goût du jour les carènes planantes, pour une arrivée toute en couleurs à Pointe à Pitre, capitale de la Guadeloupe.
Les acteurs du Nautisme mobilisés
Pour cette édition 2013, ce sont toutes les associations de Douarnenez qui se sont mobilisées sous l’égide de Douarnenez Courses : les clubs nautiques, Douarnenez Voiles et la Société des Régates de Douarnenez, le Winches club qui organise depuis de nombreuses années les courses de mini avec le Mini Fastnet et le trophée Marie-Agnès Péron en porteurs de flambeau, mais aussi l’association des Fêtes Maritimes de Douarnenez, et d’autres encore qui se préparent à faire des quinze jours précédant le départ, une fête de la mer et des marins. Les concurrents seront accueillis au sein du Port-Rhu, véritable écrin au cœur de la ville. D’ailleurs, Le Port-Musée proposera une exposition sur l’évolution de la course au Large avec l’histoire des Minis. Grace à un soutien sans faille de la municipalité, c’est bien toute la ville de Douarnenez qui est mobilisée autour de ce projet.
Les dates de la Mini Transat 2013
Prologue le 6 octobre 2013 (c'était hier !) et départ de Douarnenez le 13 octobre 2013 à 13h.
Arrivée aux Canaries entre le 23 et le 26 octobre 2013.
Départ des Canaries le 9 novembre 2013.
Arrivée en Guadeloupe entre le 23 et le 30 novembre 2013.
Plus de renseignements sur : http://www.minitransat.fr/presentation-0
et sur : http://www.classemini.com/?titre=&mode=actualites-une&id=7524&fiche=7524
Depuis 1999, la Mini-Transat avait quitté les rives de la Cornouaille pour d’autres horizons. Le retour de l’épreuve en Bretagne marque en quelque sorte un retour aux origines, proches des fondamentaux qu’avait imaginés Bob Salmon, le créateur de l’épreuve.
Au départ de Douarnenez la traversée du golfe de Gascogne va demander un sens marin évident, quand on connaît la difficulté qu’il peut y avoir à négocier la pointe de l’Espagne, une escale aux Canaries, à Lanzarote, une des îles de l’archipel les plus préservées, puis une traversée express dans les alizés où les qualités de glisse risquent de remettre au goût du jour les carènes planantes, pour une arrivée toute en couleurs à Pointe à Pitre, capitale de la Guadeloupe.
Les acteurs du Nautisme mobilisés
Pour cette édition 2013, ce sont toutes les associations de Douarnenez qui se sont mobilisées sous l’égide de Douarnenez Courses : les clubs nautiques, Douarnenez Voiles et la Société des Régates de Douarnenez, le Winches club qui organise depuis de nombreuses années les courses de mini avec le Mini Fastnet et le trophée Marie-Agnès Péron en porteurs de flambeau, mais aussi l’association des Fêtes Maritimes de Douarnenez, et d’autres encore qui se préparent à faire des quinze jours précédant le départ, une fête de la mer et des marins. Les concurrents seront accueillis au sein du Port-Rhu, véritable écrin au cœur de la ville. D’ailleurs, Le Port-Musée proposera une exposition sur l’évolution de la course au Large avec l’histoire des Minis. Grace à un soutien sans faille de la municipalité, c’est bien toute la ville de Douarnenez qui est mobilisée autour de ce projet.
Les dates de la Mini Transat 2013
Prologue le 6 octobre 2013 (c'était hier !) et départ de Douarnenez le 13 octobre 2013 à 13h.
Arrivée aux Canaries entre le 23 et le 26 octobre 2013.
Départ des Canaries le 9 novembre 2013.
Arrivée en Guadeloupe entre le 23 et le 30 novembre 2013.
Plus de renseignements sur : http://www.minitransat.fr/presentation-0
et sur : http://www.classemini.com/?titre=&mode=actualites-une&id=7524&fiche=7524
Felipe56- Survivant de Folie
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La Mer de Debussy
La couverture de l'édition originale de 1905 de La Mer reproduisait La Grande Vague de Hokusai.
La Mer, trois esquisses symphoniques pour orchestre, CD 111 est une œuvre orchestrale du compositeur français Claude Debussy créée le 15 octobre 1905 à Paris par l'orchestre Lamoureux sous la direction de Camille Chevillard.
Entreprise en 1903 dans un petit village du nord de la Bourgogne (Villeneuve-la-Guyard), la composition de La Mer est achevée en 1905 pendant le séjour de Debussy sur la côte de la Manche à Eastbourne. La pièce n'est pas très bien reçue (en raison surtout d'une mauvaise exécution)[réf. nécessaire], mais est devenue au fil du temps une des compositions orchestrales de Debussy les plus jouées.
Le billet de banque 20 francs Debussy montre le buste de Debussy et une mer houleuse en arrière-plan en référence à La Mer.
Ce billet a été créé par la Banque de France le 9 août 1980 et mis en circulation à partir du 6 octobre 1981 ; il a été retiré de la circulation au moment de l'arrivée de l'euro le 1er janvier 2002...
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Mer_%28Debussy%29
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L'Askoy de retour en Belgique !
Le 9 octobre 1978 disparaît Jacques Brel, à l'âge de 49 ans. Il y a tout juste 35 ans. Une part de lui, l'Askoy II, son voilier, est en restauration à 100 km de Dunkerque.
Le président des Marins de la Citadelle, Yvon Quintin, fait partie de l'aventure L'Askoy II a été le sloop de la liberté pour Jacques Brel. En 1974, en apprenant qu'il était atteint d'un cancer des poumons, il plaque tout pour naviguer sur ce voilier de 1958. Sur ce bateau, avec Maddly Bamy, sa dernière compagne, rencontrée sur le tournage d'un film de Lelouch, il atteint Hiva Oa, aux Marquises, où il est enterré.
L'Askoy II, considéré comme l'un des 20 plus beaux bateaux du monde, change quatre fois de propriétaire après la mort de Brel. En 1994, il s'échoue, en Nouvelle-Zélande. Depuis cette date et 10 ans durant, le sloop sera livré aux pilleurs, aux vagues, sur l'estran de Bayles Beach. Jusqu'à ce que les frères Wittevrongel, Staf et Piet, retrouvent le bateau. Ils le connaissent bien puisqu'ils ont fourni des voiles au chanteur. Ils décident de sauver l'Askoy et de le ramener en Belgique ! « C'est deux-là sont complètement fous !, sourit Yvon Quintin, président des Marins de la Citadelle, mais on est encore plus fous qu'eux » !
« Parce que c'est Brel ! »
En 2004, les deux Belges créent l'association Save Askoy II. En 2007, ils extirpent le bateau de son piège de sable. L'Oriental Overseas Containers Lines ramène, à titre gracieux, le voilier à Ostende. Yvon Quintin voit le reportage à la télé et est touché par la pugnacité des Wittevrongel. Il s'investit dans le projet.
Pourquoi ? « Parce que c'est Brel... », répond-il, l'oeil étincelant. « Il est clair qu'en reconstruire un à l'identique aurait été moins cher. » Mais toucher les 19 mètres et les 40 tonnes de ce bateau, c'est atteindre l'âme du Grand Jacques. « Avec le comité d'entreprise des gaziers et électriciens dont je fais partie, nous sommes allés, dès 2008, à plusieurs reprises sur le chantier de l'Askoy II à Rupelmonde, sur les bords de l'Escaut, non loin d'Anvers. C'est juste à côté de l'endroit où a été construit le bateau. C'est une belle histoire... » Mais pour continuer à l'écrire, il faut des sous. Ce à quoi s'attellent Yvon Quintin, le premier Français de l'aventure, les gaziers et les Marins de la Citadelle. L'acharnement des frères Wittevrongel et des passionnés de Brel paye.
En avril 2010, la coque pourtant sévèrement atteinte est complètement restaurée. Le bateau a retrouvé les couleurs du temps de Jacques et Maddly (soeur d'Erick Bamy du trio Vigon Bamy Jay, ndlr). De fil en aiguille, l'association dunkerquoise qui participe à la Route de l'Amitié fait connaître l'histoire du voilier de Jacques Brel jusqu'en Bretagne.
En 2011, Belges et Dunkerquois s'y retrouvent d'ailleurs. Des amitiés et complicités naissent à Audierne. Dans la foulée, les Bretons adhèrent, à leur tour, à cette vaste entreprise. Et collectent eux aussi des fonds. Un lycée de charpente maritime de Plouhinec s'occupera des aménagements intérieurs.
Naissance et renaissance
« Rêver un impossible rêve, chantait Brel. Cette part d'utopie, on a su en faire une force. Ce qu'on croyait impossible s'est réalisé. » Tous les bénévoles ont partagé ce rêve. Celui de (re) voir voguer le voilier de Brel l'immortel. Ce jour approche. Le but est de le faire naviguer lors de la Route de l'Amitié en 2015. Mais l'Askoy II retrouvera la mer bien plus tôt. « La mise à l'eau aura lieu le 8 avril 2014 », annonce Yvon Quintin. Le jour anniversaire de la naissance de Jacques Brel. Qui sera celui de la renaissance de son voilier.
Suzanne URGACZ
www.saveakoyii.be Un reportage sur ce bateau sera diffusé dans l'émission Thalassa du 29 novembre prochain.
http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20131003_005
Clique sur ce lien pour visionner une petite vidéo (archives de l'INA)
http://www.ina.fr/video/I00008457
Felipe56- Survivant de Folie
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« En solitaire » un travail d'équipe au large de l'île de Groix
L'avant-première lorientaise d'« En solitaire » avait une saveur particulière, hier soir (et j'y étais ! ). Une partie du film a, en effet, été tournée au large de Groix, dans la rade de Lorient, à Larmor-Plage... il y a déjà un an ! Et cette histoire de course au large résonne dans le port d'attache de nombreux navigateurs.
Le tournage
C'est une première dans le genre : l'intégralité des scènes de mer - autant dire la quasi-totalité du film - a été tournée en conditions réelles, à bord du 60 pieds DCNS. Vingt jours à Lorient, autant aux Canaries, pendant lesquels seize à 18 personnes ont dû s'accommoder d'un studio minuscule et mobile, et de conditions réelles.
« Nous voulions faire un tournage en mer, sur un vrai bateau, notamment pour respecter la force de cette course au large en solitaire et les skippers qui font le Vendée Globe », explique Jean Cottin, coscénariste et producteur du film. Le budget s'est adapté en conséquence : de l'ordre de 16,9 M€. « C'était un tournage dans des conditions de fou », sourit le jeune Samy Seghir, qui partage le rôle principal avec François Cluzet. Pour ce dernier, « ça a ajouté à la dimension humaine de l'aventure. Ce type de contraintes vous permet de vous surpasser. Ce qui tombe très bien pour jouer le rôle d'un skipper ».
Le réalisateur
« En solitaire » est le premier film de Christophe Offenstein en tant que réalisateur. Pour avoir déjà travaillé ensemble sur différents films, Christophe Offenstein et François Cluzet se connaissent bien. « J'ai été honoré qu'il me choisisse pour son premier film », explique l'acteur.
L'histoire
Le rêve de Yann Kermadec (François Cluzet) se réalise : il remplace au pied levé un skipper vedette au départ du Vendée Globe. Après quelques jours de course, il est en tête mais doit s'arrêter aux Canaries pour réparer un safran endommagé. C'est alors qu'un jeune clandestin (Samy Seghir) embarque sur son bateau, compromettant cette course en solitaire autour du monde...
Le bateau
C'est le seul Vendée Globe que le monocoque DCNS aura bouclé... Lors de sa tentative en 2008, Marc Thiercelin avait dû abandonner. En 2012, le 60 pieds a été racheté par la production du film. Le bateau n'a été que peu modifié pour les besoins du tournage.
France 3 Bretagne François Cluzet, en plein tournage du film "En Solitaire"
Les hommes et la mer
Samy Seghir reconnaît avoir été malade. « Et je n'étais pas le seul... ». François Cluzet assure, lui, n'avoir jamais eu le mal de mer. « Est-ce parce que j'ai le pied marin ou est-ce la concentration permanente nécessaire pour le rôle ? », s'interroge l'acteur qui avoue que « la mer n'est pas mon élément. Le bord de mer, à la rigueur... ». L'équipe technique et les acteurs se sont préparés avec des skippers pour le film. Des navigateurs étaient aussi présents pendant tout le tournage en qualité de conseillers techniques notamment. « Nous voulions être au plus vrai », explique Jean Cottin. Si « En solitaire » risque fort d'attirer un nouveau public vers le Vendée Globe, reste à savoir comment ceux qui ont navigué en solitaire autour du monde recevront ce film.
SORTIE DU FILM LE 06 NOVEMBRE 2013
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/morbihan/cinema-en-solitaire-un-travail-d-equipe-16-10-2013-2269565.php
http://bretagne.france3.fr/2012/11/09/en-solitaire-un-film-sur-le-vendee-globe-tournee-lorient-140896.html
Le tournage
C'est une première dans le genre : l'intégralité des scènes de mer - autant dire la quasi-totalité du film - a été tournée en conditions réelles, à bord du 60 pieds DCNS. Vingt jours à Lorient, autant aux Canaries, pendant lesquels seize à 18 personnes ont dû s'accommoder d'un studio minuscule et mobile, et de conditions réelles.
« Nous voulions faire un tournage en mer, sur un vrai bateau, notamment pour respecter la force de cette course au large en solitaire et les skippers qui font le Vendée Globe », explique Jean Cottin, coscénariste et producteur du film. Le budget s'est adapté en conséquence : de l'ordre de 16,9 M€. « C'était un tournage dans des conditions de fou », sourit le jeune Samy Seghir, qui partage le rôle principal avec François Cluzet. Pour ce dernier, « ça a ajouté à la dimension humaine de l'aventure. Ce type de contraintes vous permet de vous surpasser. Ce qui tombe très bien pour jouer le rôle d'un skipper ».
Le réalisateur
« En solitaire » est le premier film de Christophe Offenstein en tant que réalisateur. Pour avoir déjà travaillé ensemble sur différents films, Christophe Offenstein et François Cluzet se connaissent bien. « J'ai été honoré qu'il me choisisse pour son premier film », explique l'acteur.
L'histoire
Le rêve de Yann Kermadec (François Cluzet) se réalise : il remplace au pied levé un skipper vedette au départ du Vendée Globe. Après quelques jours de course, il est en tête mais doit s'arrêter aux Canaries pour réparer un safran endommagé. C'est alors qu'un jeune clandestin (Samy Seghir) embarque sur son bateau, compromettant cette course en solitaire autour du monde...
Le bateau
C'est le seul Vendée Globe que le monocoque DCNS aura bouclé... Lors de sa tentative en 2008, Marc Thiercelin avait dû abandonner. En 2012, le 60 pieds a été racheté par la production du film. Le bateau n'a été que peu modifié pour les besoins du tournage.
France 3 Bretagne François Cluzet, en plein tournage du film "En Solitaire"
Les hommes et la mer
Samy Seghir reconnaît avoir été malade. « Et je n'étais pas le seul... ». François Cluzet assure, lui, n'avoir jamais eu le mal de mer. « Est-ce parce que j'ai le pied marin ou est-ce la concentration permanente nécessaire pour le rôle ? », s'interroge l'acteur qui avoue que « la mer n'est pas mon élément. Le bord de mer, à la rigueur... ». L'équipe technique et les acteurs se sont préparés avec des skippers pour le film. Des navigateurs étaient aussi présents pendant tout le tournage en qualité de conseillers techniques notamment. « Nous voulions être au plus vrai », explique Jean Cottin. Si « En solitaire » risque fort d'attirer un nouveau public vers le Vendée Globe, reste à savoir comment ceux qui ont navigué en solitaire autour du monde recevront ce film.
SORTIE DU FILM LE 06 NOVEMBRE 2013
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/morbihan/cinema-en-solitaire-un-travail-d-equipe-16-10-2013-2269565.php
http://bretagne.france3.fr/2012/11/09/en-solitaire-un-film-sur-le-vendee-globe-tournee-lorient-140896.html
Felipe56- Survivant de Folie
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Le vin d'Anjou vieillit parmi les huîtres en Baie de Quiberon !
C'est une pêche "miraculeuse" à laquelle se sont adonnés samedi Philippe Socheleau, vigneron, et Dominique Madec, ostréiculteur. Une plongée en baie de Quiberon (Sud Morbihan) pour récupérer une partie des 1000 bouteilles immergées depuis le 24 novembre dernier dans des parcs à huîtres.
L'histoire commence un soir de 2001
Les deux hommes se connaissent pour travailler ensemble sur le plan commercial. Devenus amis ils ont pris l'habitude de partager autour d'une bonne bouteille leurs passions pour leurs métiers mais aussi leurs difficultés. Pour l'ostréiculteurs, les préoccupations tournent essentiellement autour de la très forte mortalité de ses huîtres. Son ami, pour rire, lui rétorque : "Le jour où tu n'en auras plus assez, tu pourras toujours élever du vin dans tes parcs !". Il n'en fallait pas plus pour se lancer dans l'aventure.
Une idée qui fait son chemin...
Pris au mot le viticulteur est invité par son ami à venir immerger 1000 bouteilles d'Anjou blanc en Baie de Quiberon. Là où son élevées ses huîtres. L'opération à lieu le 24 novembre 2012. Les deux amis ont pris leur temps...
Et ce matin, après dix mois passées sous l'eau, une partie d'entre elles ont été repêchées et visiblement appréciées.
Bien plus qu'une simple blague, l'objectif d'une telle opération est double :
"Scientifique..."
Mesurer la vitesse de vieillissement du vin en mer. Entre la température constante, le milieu sans oxygène et le manque de lumière, mais avec un roulis permanent dû aux marées, quelles conséquences pourront avoir tous ces paramètres sur la qualité du produit ? Quelle influence sur son goût ? Soyons franc : Philippe Socheleau ne s'attend pas à une grande révolution. "En toute objectivité dit-il, la perception devrait être très faible."
Des "oeuvres" uniques
Après dix mois passées sous l'eau, au milieux des coquillages, chaque bouteille en est ressortie remodelée. Des pièces uniques, d'un vin blanc sec issue de la mer que l'on conseille bien sûr de déguster avec des huîtres ! Toutes seront exposées dans les caves du viticulteurs avant d'être vendues et leur histoire fera l'objet d'un reportage photo. Un bon coup de com en sorte, mais qui ne sera pas renouvelée. Et personne ne sait encore quelle sera la prochaine boutade qui sortira de la bouche d'un des deux amis...
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Crac-h.-Ils-font-vieillir-du-vin-en-mer-parmi-les-huitres_40771-2231165-pere-bre_filDMA.Htm
http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Ils-font-vieillir-des-bouteilles-de-vin-en-mer-parmi-les-huitres-_56046-avd-20130922-65987816_actuLocale.Htm
http://bretagne.france3.fr/2013/09/20/vin-une-cuvee-tres-speciale-en-baie-de-quiberon-322355.html
L'histoire commence un soir de 2001
Les deux hommes se connaissent pour travailler ensemble sur le plan commercial. Devenus amis ils ont pris l'habitude de partager autour d'une bonne bouteille leurs passions pour leurs métiers mais aussi leurs difficultés. Pour l'ostréiculteurs, les préoccupations tournent essentiellement autour de la très forte mortalité de ses huîtres. Son ami, pour rire, lui rétorque : "Le jour où tu n'en auras plus assez, tu pourras toujours élever du vin dans tes parcs !". Il n'en fallait pas plus pour se lancer dans l'aventure.
Une idée qui fait son chemin...
Pris au mot le viticulteur est invité par son ami à venir immerger 1000 bouteilles d'Anjou blanc en Baie de Quiberon. Là où son élevées ses huîtres. L'opération à lieu le 24 novembre 2012. Les deux amis ont pris leur temps...
Et ce matin, après dix mois passées sous l'eau, une partie d'entre elles ont été repêchées et visiblement appréciées.
Bien plus qu'une simple blague, l'objectif d'une telle opération est double :
"Scientifique..."
Mesurer la vitesse de vieillissement du vin en mer. Entre la température constante, le milieu sans oxygène et le manque de lumière, mais avec un roulis permanent dû aux marées, quelles conséquences pourront avoir tous ces paramètres sur la qualité du produit ? Quelle influence sur son goût ? Soyons franc : Philippe Socheleau ne s'attend pas à une grande révolution. "En toute objectivité dit-il, la perception devrait être très faible."
Des "oeuvres" uniques
Après dix mois passées sous l'eau, au milieux des coquillages, chaque bouteille en est ressortie remodelée. Des pièces uniques, d'un vin blanc sec issue de la mer que l'on conseille bien sûr de déguster avec des huîtres ! Toutes seront exposées dans les caves du viticulteurs avant d'être vendues et leur histoire fera l'objet d'un reportage photo. Un bon coup de com en sorte, mais qui ne sera pas renouvelée. Et personne ne sait encore quelle sera la prochaine boutade qui sortira de la bouche d'un des deux amis...
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Crac-h.-Ils-font-vieillir-du-vin-en-mer-parmi-les-huitres_40771-2231165-pere-bre_filDMA.Htm
http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Ils-font-vieillir-des-bouteilles-de-vin-en-mer-parmi-les-huitres-_56046-avd-20130922-65987816_actuLocale.Htm
http://bretagne.france3.fr/2013/09/20/vin-une-cuvee-tres-speciale-en-baie-de-quiberon-322355.html
Felipe56- Survivant de Folie
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Tour du monde en solitaire en multicoque: Thomas Coville prêt à s'élancer
Thomas Coville a amarré son Maxi-Catamaran Sodebo au Port du Château à Brest, il va s’attaquer au record de tour du monde en solitaire détenu par Francis Joyon depuis 2008. Le record est établi en 57 jours 13 heures 34’’6’.
C’est la quatrième tentative de Thomas Coville pour battre le record du tour du monde en solitaire.
La première tentative s’est soldée par un abandon après un collision avec un growler (morceaux de glace) au large de l’Afrique du Sud.
Thomas Coville a ensuite réussi deux tours du monde par les trois Caps, seul et sans escale, Le premier en 59 jours c’était en 2009 et le second en 61 jours en 2011.
Deux tours du monde bouclés mais sans toutefois battre le record établi par Francis Joyon en 57 jours.
Thomas Coville navigue sur le Maxi-Catamaran Sodebo depuis maintenant sept ans, la solitude et l’endurance en mer ont fait de lui un navigateur expérimenté , un atout supplémentaire avant de s’élancer à nouveau à la poursuite du record.
Le navigateur et son géant de 31 mètres de long vont s’attaquer aux 25.000 Milles nautiques (40.000 km) du tour du monde dès qu’une fenêtre météo favorable se présentera, mais ce ne sera pas avant plusieurs jours.
http://bretagne.france3.fr/2013/10/18/tour-du-monde-en-solitaire-en-multicoque-thomas-coville-pret-s-elancer-341243.html
C’est la quatrième tentative de Thomas Coville pour battre le record du tour du monde en solitaire.
La première tentative s’est soldée par un abandon après un collision avec un growler (morceaux de glace) au large de l’Afrique du Sud.
Thomas Coville a ensuite réussi deux tours du monde par les trois Caps, seul et sans escale, Le premier en 59 jours c’était en 2009 et le second en 61 jours en 2011.
Deux tours du monde bouclés mais sans toutefois battre le record établi par Francis Joyon en 57 jours.
Thomas Coville navigue sur le Maxi-Catamaran Sodebo depuis maintenant sept ans, la solitude et l’endurance en mer ont fait de lui un navigateur expérimenté , un atout supplémentaire avant de s’élancer à nouveau à la poursuite du record.
Le navigateur et son géant de 31 mètres de long vont s’attaquer aux 25.000 Milles nautiques (40.000 km) du tour du monde dès qu’une fenêtre météo favorable se présentera, mais ce ne sera pas avant plusieurs jours.
http://bretagne.france3.fr/2013/10/18/tour-du-monde-en-solitaire-en-multicoque-thomas-coville-pret-s-elancer-341243.html
Felipe56- Survivant de Folie
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La mini transat est toujours à quai depuis le 13 octobre !!!
Depuis hier matin, plusieurs coureurs sont revenus sur le village de la Mini Transat pour veiller sur leur bateau, se renseigner sur l’humeur générale de la course… Une petite minorité a pris le parti de rester sur place, partageant son temps entre visites de la région et activités physiques pour s’entretenir.
Ce temps d’attente a été mis à profit par Douarnenez Courses pour faire un point sur les dix jours précédant la date de départ théorique du 13 octobre. Plus de 25 000 visiteurs estimés, des éloges tant des coureurs que des partenaires ou de la Classe Mini, plus de trente exposants sur 3000 m2 de village, l’installation de la Mini Transat dans le Port Rhu s’est révélée un succès. A cela, il faut rajouter l’intérêt qu’a suscité l’exposition organisée dans le cadre du Port Musée, la forte mobilisation des bénévoles ainsi que la quarantaine de classes qui s’est déplacée sur le site pour rendre visite aux navigateurs dans le cadre de l’opération Label Bleue.
Tuer le temps
Cela fait maintenant une semaine que la flotte des Minis patiente au pied des quais du Port Rhu. Dans l’ensemble, les coureurs font contre mauvaise fortune bon cœur face à cette situation météorologique exceptionnelle. Pour rester dans le match, plusieurs concurrents n’hésitent pas à s’entretenir physiquement : jogging, exercices divers, étirements, tout est bon pour garder la forme. D’autres en profitent pour terminer quelques bricoles. A bord de Pas de Futur sans Numérique, Ian Lipinski a profité d’une livraison complémentaire de matériel électronique qu’il n’attendait plus pour parfaire son installation de bord. C’est aussi le temps des carénages : on partage des bouteilles d’air comprimé, on se prête du papier de verre, l’objectif étant de rester mobilisé sans consumer trop d’énergie.
Porte fermée au cap Finisterre
Les jours se suivent et se ressemblent sur le golfe de Gascogne. Toute la flotte est dans l’attente d’une bascule des vents à l’ouest puis au nord-ouest. Mais les centres dépressionnaires restent sur des positions désespérément sud et génèrent à la pointe de l’Espagne des vents très forts de sud-ouest à la pointe de la Galice. Hier au soir, les fichiers laissaient entrevoir une éventuelle porte de sortie pour le week-end prochain, mais les dernières prévisions météo n’incitent guère à l’optimisme. Les concurrents encore présents sur Douarnenez peuvent heureusement compter sur la solidarité des habitants et des commerçants cornouaillais. Tel coureur qui ne savait plus où se loger, s’est vu proposer spontanément un hébergement gratuit chez l’habitant, quand ceux qui passent le matin peuvent apprécier les croissants fournis gracieusement par un boulanger de la ville au PC Course. Plusieurs entreprises ont aussi proposé des visites et dégustations des produits locaux. Ce sont ces petites attentions qui participent de la séduction de l’escale douarneniste. Il ne reste plus qu’à attendre les prochains fichiers météo, sachant que la situation peut encore évoluer rapidement, compte tenu de l’instabilité des phénomènes. Pour l’heure, c’est toujours le code rouge qui prévaut.
http://www.minitransat.fr/actualites/attendus-au-tournant
Ce temps d’attente a été mis à profit par Douarnenez Courses pour faire un point sur les dix jours précédant la date de départ théorique du 13 octobre. Plus de 25 000 visiteurs estimés, des éloges tant des coureurs que des partenaires ou de la Classe Mini, plus de trente exposants sur 3000 m2 de village, l’installation de la Mini Transat dans le Port Rhu s’est révélée un succès. A cela, il faut rajouter l’intérêt qu’a suscité l’exposition organisée dans le cadre du Port Musée, la forte mobilisation des bénévoles ainsi que la quarantaine de classes qui s’est déplacée sur le site pour rendre visite aux navigateurs dans le cadre de l’opération Label Bleue.
Tuer le temps
Cela fait maintenant une semaine que la flotte des Minis patiente au pied des quais du Port Rhu. Dans l’ensemble, les coureurs font contre mauvaise fortune bon cœur face à cette situation météorologique exceptionnelle. Pour rester dans le match, plusieurs concurrents n’hésitent pas à s’entretenir physiquement : jogging, exercices divers, étirements, tout est bon pour garder la forme. D’autres en profitent pour terminer quelques bricoles. A bord de Pas de Futur sans Numérique, Ian Lipinski a profité d’une livraison complémentaire de matériel électronique qu’il n’attendait plus pour parfaire son installation de bord. C’est aussi le temps des carénages : on partage des bouteilles d’air comprimé, on se prête du papier de verre, l’objectif étant de rester mobilisé sans consumer trop d’énergie.
Porte fermée au cap Finisterre
Les jours se suivent et se ressemblent sur le golfe de Gascogne. Toute la flotte est dans l’attente d’une bascule des vents à l’ouest puis au nord-ouest. Mais les centres dépressionnaires restent sur des positions désespérément sud et génèrent à la pointe de l’Espagne des vents très forts de sud-ouest à la pointe de la Galice. Hier au soir, les fichiers laissaient entrevoir une éventuelle porte de sortie pour le week-end prochain, mais les dernières prévisions météo n’incitent guère à l’optimisme. Les concurrents encore présents sur Douarnenez peuvent heureusement compter sur la solidarité des habitants et des commerçants cornouaillais. Tel coureur qui ne savait plus où se loger, s’est vu proposer spontanément un hébergement gratuit chez l’habitant, quand ceux qui passent le matin peuvent apprécier les croissants fournis gracieusement par un boulanger de la ville au PC Course. Plusieurs entreprises ont aussi proposé des visites et dégustations des produits locaux. Ce sont ces petites attentions qui participent de la séduction de l’escale douarneniste. Il ne reste plus qu’à attendre les prochains fichiers météo, sachant que la situation peut encore évoluer rapidement, compte tenu de l’instabilité des phénomènes. Pour l’heure, c’est toujours le code rouge qui prévaut.
http://www.minitransat.fr/actualites/attendus-au-tournant
Felipe56- Survivant de Folie
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Cap sur la Transat Jacques Vabre
Ils ont largué les amarres hier de La Trinité-sur-Mer, direction Itajai, au Brésil, via Le Havre, point de départ de la Transat Jacques Vabre. Dimanche 3 novembre, Erwan Le Roux et Yann Eliès s'élanceront pour gagner.
C'est enfin l'entraînement dans la brise qu'ils attendaient. Erwan Le Roux, skipper du multicoque de 50 pieds « FenêtreA-Cardinal » et son compère Yann Eliès ont peaufiné leur préparation pour s'élancer le 3 novembre du Havre, en direction d'Itajai au Brésil, sur la ligne de départ de la Transat Jacques Vabre. Dix jours avant, tout est prêt. Ne manquait qu'une chose à leur préparation minutieuse : « la navigation dans la brise ». Traduisez : la navigation avec suffisamment de vent pour tester la machine. La météo très calme de ce début d'automne les en a empêchés. Le convoyage d'Auray à La Trinité va justement leur servir à cela, même s'il convient d'être prudent. Depuis deux semaines, les trains de dépression se succèdent sur l'Atlantique Nord, générant des vents forts à très forts de sud-ouest et soulevant une houle estimée à plus de sept mètres au large du plateau continental. Hors de question, dans ces conditions d'aller tenter le diable. Le premier objectif des deux skippers était hier de rallier Le Havre en toute sécurité. La journée de mercredi avec des vents de sud-ouest à ouest modéré a offert une fenêtre météo un peu plus calme. Il s'agissait d'en profiter pour rejoindre le Havre, car la semaine prochaine promet d'être agitée avec notamment lundi, une très profonde dépression qui pourrait amener en Manche des vents supérieurs à 60 noeuds (110 km/h). « Nos partenaires nous ont donné les moyens de nous préparer correctement », soulignait à l'heure du départ Erwan Le Roux. « Nous avons eu une phase de connaissance du bateau, puis une phase d'entraînement en septembre, avec un stage à Port-la-Forêt ».
« Une Porsche »
Erwan Le Roux est le skipper de « FenêtreA-Cardinal », un bateau qu'il connaît bien. En 2009, à son bord et avec son coéquipier Franck-Yves Escoffier, il a gagné la Transat Jacques Vabre, quand il s'appelait « Crêpes Waouh ». Il avait auparavant suivi sa construction. « C'est mon deuxième bateau avec FenêtreA », souligne Erwan. « Je voulais celui-là et pas un autre pour participer à la transat ». « L'ancien bateau, c'était une coccinelle. Maintenant on a une Porsche », ajoute en riant Yann Eliès. Le double vainqueur de la course du Figaro originaire de Saint-Brieuc est Alréen depuis peu. « C'est un choix de vie », précise-t-il. « Les Figaro s'entraînent à Port-La-Forêt. Je suis souvent à La Trinité, ou à Lorient. C'est ici que ça se passe. J'ai emménagé il y a deux mois ». Les deux équipiers ont commencé par faire du VTT ensemble. Alors quand Erwan a décidé de s'engager sur la Jacques Vabre, transat en double, il s'est naturellement tourné vers Yann. « J'avais dans l'idée de faire du multicoque, après les monocoques du Figaro et du Vendée Globe. Envie de changer, avant de m'engager sur un projet de plus grande envergure, avec mon sponsor Groupe Quéguiner ».
Départ le 3 novembre
Les deux coéquipiers ont fait jonction en août. Depuis, ils se sont réparti les rôles. À Erwan, qui connaît bien le bateau, les réglages, la production d'énergie à bord. À Yann, qui a l'habitude des gros projets, la prise en charge de la navigation, la nourriture, la vie à bord. « La répartition s'est faite naturellement. On ne s'est pas trop posé de questions », confie Erwan. « FenêtreA-Cardinal » a gagné cet été les trophées de Fécamp et de Saint-Quay-Portrieux réservés aux multicoques. Dimanche 3 novembre, au Havre, les deux skippers alréens (= d'Auray dans le Morbihan) partiront pour la gagne.
http://www.letelegramme.fr/sports/voile/cote-mer-cap-sur-la-transat-jacques-vabre-24-10-2013-2280223.php
C'est enfin l'entraînement dans la brise qu'ils attendaient. Erwan Le Roux, skipper du multicoque de 50 pieds « FenêtreA-Cardinal » et son compère Yann Eliès ont peaufiné leur préparation pour s'élancer le 3 novembre du Havre, en direction d'Itajai au Brésil, sur la ligne de départ de la Transat Jacques Vabre. Dix jours avant, tout est prêt. Ne manquait qu'une chose à leur préparation minutieuse : « la navigation dans la brise ». Traduisez : la navigation avec suffisamment de vent pour tester la machine. La météo très calme de ce début d'automne les en a empêchés. Le convoyage d'Auray à La Trinité va justement leur servir à cela, même s'il convient d'être prudent. Depuis deux semaines, les trains de dépression se succèdent sur l'Atlantique Nord, générant des vents forts à très forts de sud-ouest et soulevant une houle estimée à plus de sept mètres au large du plateau continental. Hors de question, dans ces conditions d'aller tenter le diable. Le premier objectif des deux skippers était hier de rallier Le Havre en toute sécurité. La journée de mercredi avec des vents de sud-ouest à ouest modéré a offert une fenêtre météo un peu plus calme. Il s'agissait d'en profiter pour rejoindre le Havre, car la semaine prochaine promet d'être agitée avec notamment lundi, une très profonde dépression qui pourrait amener en Manche des vents supérieurs à 60 noeuds (110 km/h). « Nos partenaires nous ont donné les moyens de nous préparer correctement », soulignait à l'heure du départ Erwan Le Roux. « Nous avons eu une phase de connaissance du bateau, puis une phase d'entraînement en septembre, avec un stage à Port-la-Forêt ».
« Une Porsche »
Erwan Le Roux est le skipper de « FenêtreA-Cardinal », un bateau qu'il connaît bien. En 2009, à son bord et avec son coéquipier Franck-Yves Escoffier, il a gagné la Transat Jacques Vabre, quand il s'appelait « Crêpes Waouh ». Il avait auparavant suivi sa construction. « C'est mon deuxième bateau avec FenêtreA », souligne Erwan. « Je voulais celui-là et pas un autre pour participer à la transat ». « L'ancien bateau, c'était une coccinelle. Maintenant on a une Porsche », ajoute en riant Yann Eliès. Le double vainqueur de la course du Figaro originaire de Saint-Brieuc est Alréen depuis peu. « C'est un choix de vie », précise-t-il. « Les Figaro s'entraînent à Port-La-Forêt. Je suis souvent à La Trinité, ou à Lorient. C'est ici que ça se passe. J'ai emménagé il y a deux mois ». Les deux équipiers ont commencé par faire du VTT ensemble. Alors quand Erwan a décidé de s'engager sur la Jacques Vabre, transat en double, il s'est naturellement tourné vers Yann. « J'avais dans l'idée de faire du multicoque, après les monocoques du Figaro et du Vendée Globe. Envie de changer, avant de m'engager sur un projet de plus grande envergure, avec mon sponsor Groupe Quéguiner ».
Départ le 3 novembre
Les deux coéquipiers ont fait jonction en août. Depuis, ils se sont réparti les rôles. À Erwan, qui connaît bien le bateau, les réglages, la production d'énergie à bord. À Yann, qui a l'habitude des gros projets, la prise en charge de la navigation, la nourriture, la vie à bord. « La répartition s'est faite naturellement. On ne s'est pas trop posé de questions », confie Erwan. « FenêtreA-Cardinal » a gagné cet été les trophées de Fécamp et de Saint-Quay-Portrieux réservés aux multicoques. Dimanche 3 novembre, au Havre, les deux skippers alréens (= d'Auray dans le Morbihan) partiront pour la gagne.
http://www.letelegramme.fr/sports/voile/cote-mer-cap-sur-la-transat-jacques-vabre-24-10-2013-2280223.php
Felipe56- Survivant de Folie
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Port d'intérêt patrimonial
L’association « Port d’intérêt patrimonial » a été créée le 16 novembre 2011, à l’initiative d’une vingtaine de maires de communes littorales du Finistère, dans le but de protéger et de valoriser le patrimoine historique bâti de leur port.
Les maires, de plus en plus conscients de l’intérêt de ce patrimoine et des risques qu’il encourt (face à la pression urbaine et touristique actuelle souvent mal maîtrisée) ont décidé de se réunir pour joindre leurs forces et échanger de façon concrète sur leurs difficultés, leurs expériences et leurs projets d’avenir en matière d’identification, de protection et de valorisation de leurs patrimoines portuaires.
Le réseau ainsi créé travaillera dans le dialogue avec l’ensemble des acteurs du littoral œuvrant dans le domaine de l’aménagement, du développement économique, touristique et culturel local.
Cette association est aussi l’aboutissement d’une démarche de connaissance et de sensibilisation effectuée par l’OPMC (laboratoire de recherche et d’action émanant de l’Université de Bretagne Occidentale), en partenariat avec le Conseil général du Finistère dans le cadre de son Agenda 21.
Les maires souhaitent s’unir pour :
Construire et promouvoir une charte de mise en valeur des ports d’intérêt patrimonial dont les recommandations seront intégrées aux documents d’urbanisme de chaque commune adhérente.
Trouver des solutions adaptées à la mise en valeur de chaque espace portuaire, ne figeant pas l’avenir, tout en affirmant leur identité maritime.
Aller au-devant des bonnes façons de faire dans le domaine spécifique de l’aménagement terre-mer dans sa continuité historique et sa mémoire.
Développer des actions communes de communication.
http://associationportdinteretpatrimonial.over-blog.com/
Felipe56- Survivant de Folie
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Coquille Saint-Jacques. La pêche ouvre lundi en baie de Quiberon
L'année dernière c'était le 29 octobre. Cette année, ce sera le 28. Lundi prochain, la pêche à la coquille Saint-Jacques va ouvrir en baie de Quiberon. Tous les voyants sont au vert. Les deux prélèvements obligatoires (pour un négatif) pour mesurer le taux de bactéries ont été effectués et sont bons. Les titulaires des 74 licences qui permettent aux coquilliers de pêcher en baie de Quiberon vont pouvoir commencer à travailler dès lundi. 300 tonnes devraient être prélevées sur le gisement pendant cette campagne.
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/morbihan/coquille-saint-jacques-la-peche-ouvre-lundi-en-baie-de-quiberon-25-10-2013-2280569.php
http://bretagne.france3.fr/2012/10/29/morbihan-reouverture-de-la-peche-la-coquille-132013.html
Felipe56- Survivant de Folie
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Traque en eaux froides
Un DVD à voir ou revoir, sorti cette année : Les marins pêcheurs font l'un des métiers les plus dangereux du monde, et pourtant, malgré les risques, la plupart d’entre eux sont viscéralement attachés à leur mode de vie. Afin de mieux comprendre les motivations de ces hommes de mer nous avons embarqué avec deux équipages qui traquent les bancs de harengs dans les eaux froides de l’hémisphère nord avec des techniques de pêche bien différentes... En Alaska, Les marins du Shadow Fax participent à une véritable course contre la montre... ils doivent prendre dans leur filet un maximum de poisson dans un minimum de temps. cette pêche est la plus spectaculaire et la plus lucrative de toute la côte pacifique des États-Unis.... Les hommes du Sandettie, eux, sillonnent la Mer du nord et la Manche à bord d’un énorme navire usine. Ses marins travaillent en mer pendant des semaines avant de remplir les cales de harengs et doivent souvent affronter les éléments qui se déchainent...
Un extrait ici :
http://www.viadecouvertes.fr/pages/fr/reference.php?id=144
Felipe56- Survivant de Folie
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Première tempête de l'automne !
Le vent souffle fort en ce moment !
Meteo France a placé douze départements du nord-ouest de la France en vigilance orange. Des vents forts de 120-140 km/h sont prévus sur les côtes. Retour à la normale prévu dans la matinée de ce lundi....
Les vagues se fracassaient déjà contre les falaises de la Côte d'Opale, dimanche matin.
Meteo France a placé douze départements du nord-ouest de la France en vigilance orange. Des vents forts de 120-140 km/h sont prévus sur les côtes. Retour à la normale prévu dans la matinée de ce lundi....
Les vagues se fracassaient déjà contre les falaises de la Côte d'Opale, dimanche matin.
Felipe56- Survivant de Folie
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Re: insolite ? La mer dans tous ses états !
Felipe as-tu déjà vu la vague Belharra sur la Côte Basque ? Elle a été filmée aujourd'hui. Je l'ai loupée de peu, j'y étais samedi.
papelure- Survivant le Terrible
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Belharra et Papelure !
Je connais Belharra, un vrai bonheur pour les surfeurs ! Dommage que tu n'aies pas pu la voir ! Tu nous aurais posté des photos fabuleuses !
Voici un complément que je viens de lire, et cela a été aussi l'objet d'un reportage sur Thalassa en juin dernier...
Quel bouillon! A la faveur de conditions météorolgiques favorables, une vague mythique était attendue ce lundi au large de Socoa, à proximité de Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques). Au rendez-vous: la vague de Belharra, soit la vague géante basque, rapporte Sud Ouest.
Pour l'atteindre, il faut d'abord se faire tracter par un jetski jusqu'à environ 3km de la plage. Et éviter de boire la tasse quand s'abat le mur d'eau qui peut arriver à plus de 60km/h.
Ce lundi, ils sont des dizaines à s'être approchés pour tenter de surfer la vague géante, que l'on peut apercevoir -derrière le brouillard- avec cette webcam.
Belharra est le nom d'un haut-fond situé à une quinzaine de mètres de profondeur et qui présente un éperon rocheux. C'est ce dernier qui permet, à l'automne et en hiver, la formation des très hautes vagues, responsables de nombreux dégâts dans le port de Saint-Jean-de-Luz avant la construction de sa digue. C'est en 2002 qu'elles ont été surfées pour la première fois.
http://www.bfmtv.com/planete/connaissez-vous-belharra-vague-geante-basque-633454.html
http://www.france3.fr/emissions/thalassa
Au Portugal aussi
Au Portugal, les surfeurs de vagues géantes se sont retrouvés à Nazaré, dans le centre du pays pour les mêmes raisons. Le spot, très connu des chasseurs de vagues géantes, a vu débarquer de nombreux riders qui ont tenté de battre le record de la plus haute vague jamais surfée au monde. Parmi eux, le détenteur du titre: l'Américain Garrett McNamara qui a dompté une vague de 78 pieds (23,77m) en novembre 2011 précisément à Nazaré.
Une surfeuse brésilienne de 26 ans a frôlé la noyade et a dû être hospitalisée après avoir été emportée par une vague, rapporte Surf Session. Mais le record n'est semble-t-il pas tombé ce lundi. Rendez-vous au prochain épisode...
Voici un complément que je viens de lire, et cela a été aussi l'objet d'un reportage sur Thalassa en juin dernier...
Quel bouillon! A la faveur de conditions météorolgiques favorables, une vague mythique était attendue ce lundi au large de Socoa, à proximité de Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques). Au rendez-vous: la vague de Belharra, soit la vague géante basque, rapporte Sud Ouest.
Pour l'atteindre, il faut d'abord se faire tracter par un jetski jusqu'à environ 3km de la plage. Et éviter de boire la tasse quand s'abat le mur d'eau qui peut arriver à plus de 60km/h.
Ce lundi, ils sont des dizaines à s'être approchés pour tenter de surfer la vague géante, que l'on peut apercevoir -derrière le brouillard- avec cette webcam.
Belharra est le nom d'un haut-fond situé à une quinzaine de mètres de profondeur et qui présente un éperon rocheux. C'est ce dernier qui permet, à l'automne et en hiver, la formation des très hautes vagues, responsables de nombreux dégâts dans le port de Saint-Jean-de-Luz avant la construction de sa digue. C'est en 2002 qu'elles ont été surfées pour la première fois.
http://www.bfmtv.com/planete/connaissez-vous-belharra-vague-geante-basque-633454.html
http://www.france3.fr/emissions/thalassa
Au Portugal aussi
Au Portugal, les surfeurs de vagues géantes se sont retrouvés à Nazaré, dans le centre du pays pour les mêmes raisons. Le spot, très connu des chasseurs de vagues géantes, a vu débarquer de nombreux riders qui ont tenté de battre le record de la plus haute vague jamais surfée au monde. Parmi eux, le détenteur du titre: l'Américain Garrett McNamara qui a dompté une vague de 78 pieds (23,77m) en novembre 2011 précisément à Nazaré.
Une surfeuse brésilienne de 26 ans a frôlé la noyade et a dû être hospitalisée après avoir été emportée par une vague, rapporte Surf Session. Mais le record n'est semble-t-il pas tombé ce lundi. Rendez-vous au prochain épisode...
Felipe56- Survivant de Folie
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Localisation : Breizh Izel
Re: insolite ? La mer dans tous ses états !
Merci beaucoup Felipe pour ta réponse !
papelure- Survivant le Terrible
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Date d'inscription : 21/05/2012
16 jours de retard ! Ils sont enfin partis !
Les 84 concurrents de la Mini-Transat ont quitté Douarnenez (Finistère) mardi matin en direction de Lanzarote (Canaries), avec seize jours de retard sur la date originellement prévue en raison des mauvaises conditions météo qui ont sévi au nord-ouest de l’Espagne.
Le départ a été donné dans des vents de secteur ouest d’une trentaine de nœuds. Tous les concurrents avaient réduit leur voilure (grand-voile à un ou deux ris) en prévision des conditions musclées qui les attendent dans le golfe de Gascogne.
Le départ de la Mini-Transat 2013 devait être donné le 13 octobre mais a été reporté de jour en jour en raison du mauvais temps sévissant à la hauteur du cap Finisterre (nord-ouest de l’Espagne), où des vents de 30 à 35 nœuds accompagnés de creux de 4 à 5 mètres étaient annoncés.
Les 84 voiliers sont répartis en deux classes, prototypes et série. La course se déroule en deux étapes: la première, longue de 1.257 milles (2.328 km) de Douarnenez à Lanzarote, et la seconde de Lanzarote à Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe (2.764 milles/5.119 km).
La Mini-Transat est née en 1977 et a lieu tous les deux ans. Plusieurs grands noms de la course au large -les Français Yves Parlier, Michel Desjoyeaux, Thomas Coville, Isabelle Autissier, le Suisse Yvan Bourgnon et la Britannique Ellen MacArthur notamment- s’y sont illustrés.
En 2011, la Mini-Transat avait été remportée en catégorie «protos» par le Français David Raison avec un atypique voilier à l’étrave ronde.
L’épreuve a pris depuis sa naissance une forte connotation internationale et cette année 27 étrangers seront au départ.
http://www.minitransat.fr/galerie-photo/depart-de-douarnenez-29102013#
http://www.liberation.fr/sports/2013/10/29/mini-transat-depart-de-la-1ere-manche-douarnenez-lanzarote_943093
Le départ a été donné dans des vents de secteur ouest d’une trentaine de nœuds. Tous les concurrents avaient réduit leur voilure (grand-voile à un ou deux ris) en prévision des conditions musclées qui les attendent dans le golfe de Gascogne.
Le départ de la Mini-Transat 2013 devait être donné le 13 octobre mais a été reporté de jour en jour en raison du mauvais temps sévissant à la hauteur du cap Finisterre (nord-ouest de l’Espagne), où des vents de 30 à 35 nœuds accompagnés de creux de 4 à 5 mètres étaient annoncés.
Les 84 voiliers sont répartis en deux classes, prototypes et série. La course se déroule en deux étapes: la première, longue de 1.257 milles (2.328 km) de Douarnenez à Lanzarote, et la seconde de Lanzarote à Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe (2.764 milles/5.119 km).
La Mini-Transat est née en 1977 et a lieu tous les deux ans. Plusieurs grands noms de la course au large -les Français Yves Parlier, Michel Desjoyeaux, Thomas Coville, Isabelle Autissier, le Suisse Yvan Bourgnon et la Britannique Ellen MacArthur notamment- s’y sont illustrés.
En 2011, la Mini-Transat avait été remportée en catégorie «protos» par le Français David Raison avec un atypique voilier à l’étrave ronde.
L’épreuve a pris depuis sa naissance une forte connotation internationale et cette année 27 étrangers seront au départ.
http://www.minitransat.fr/galerie-photo/depart-de-douarnenez-29102013#
http://www.liberation.fr/sports/2013/10/29/mini-transat-depart-de-la-1ere-manche-douarnenez-lanzarote_943093
Felipe56- Survivant de Folie
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Localisation : Breizh Izel
Le Bocuse de la mer s'en va...
Jacques Le Divellec vient de vendre son célèbre restaurant de l'esplanade des Invalides, considéré comme l'une des meilleures tables à poissons de Paris (une étoile au Michelin). À 81 ans, le chef emblématique, qui n'a jamais voulu suivre les modes, n'a pas, pour autant, décidé de raccrocher son tablier.
Le chef est régulièrement surnommé le Bocuse de la mer. «Ça me flatte, j'ai beaucoup de respect pour Paul (Bocuse)», affirme Jacques Le Divellec, un colosse réputé pour son franc-parler. Il revendique haut et fort la «défense de la cuisine française et de ses bases» contre, notamment, la cuisine moléculaire dont il ne pense pas grand-chose, et contre les chefs qui plagient l'Espagnol Ferran Adrià, son créateur, chez qui il a cependant dîné. Jacques Le Divellec se targue d'être encore «un apprenti permanent», tout en avouant un regret, celui de ne pas avoir vu grandir ses quatre enfants : «Mon métier m'a pris à ma famille». Un de ses fils, Yann, a pourtant suivi ses traces puisqu'il tient, à Noyal-Muzillac (56), le Manoir de Bodrevan.
L'histoire de Jacques Le Divellec est liée à la mer : un grand-père marin au long cours, qui a quitté l'île aux Moines (56) au XIXe siècle, une enfance au bord de la mer en Charente-Maritime, terre à laquelle il est toujours resté profondément lié, ou encore un service militaire dans la Marine. Sa grand-mère lui a transmis l'amour de la bonne cuisine, ses parents ont tenu un petit bistrot à Paris. Après l'école hôtelière de Clermont-Ferrand, Jacques prend en gérance son premier restaurant à Paris, mais l'aventure s'arrête vite. En 1958, il s'installe à La Rochelle. Le Yachtman obtiendra, quatre ans plus tard, sa première étoile au Michelin.
Le rendez-vous des politiques
Dès le début des années 70, à l'image des Bocuse, Guérard ou Troisgros, le chef parcourt le monde, grâce à son rôle de conseiller culinaire pour la chaîne hôtelière Hilton International. Ses voyages lui ouvrent de nouveaux horizons.
En 1983, il décide d'ouvrir un restaurant à Paris. Ce sera le «Jacques Le Divellec», une façade bleue comme la mer sur l'esplanade des Invalides. Une table dédiée au poisson et aux crustacés - comme le homard à la presse - qui va devenir un des rendez-vous du monde politique. C'est devant son restaurant que sera prise la fameuse photo de François Mitterrand avec sa fille Mazarine, dévoilant son existence à la France entière. «Ce n'est pas moi qui ai vendu la mèche», s'insurge-t-il encore.
Toujours très actif, Jacques Le Divellec oeuvre aujourd'hui pour la création d'une grande école hôtelière à Paris, pestant contre ceux qui lui mettent des bâtons dans les roues.
Son dernier service mardi
Se défendant d'être écologiste, le chef, qui a cuisiné au cours de sa vie beaucoup de bêtes à poil et à plumes, «pas toujours autorisées», trouve «affreux» les navires usines chinois, japonais ou russes qui vident les océans avec leurs filets. En revanche, il voudrait que les petits pêcheurs de thon rouge de Méditerranée puissent travailler en paix. Il a sorti, en octobre, un nouveau livre de recettes rapportées de ses voyages et glisse un conseil à ceux qui veulent préparer du poisson chez eux : «Faire le plus simple possible. Le poisson, moins on l'embête, plus il est bon».
Après avoir vendu son restaurant au groupe Costes (mais tout le personnel sera gardé), il a passé sa dernière soirée de chef au "Jacques Le Divellec" mardi dernier. Un dernier repas a été servi mais «rien de particulier» n'avait été prévu, a assuré le chef, désormais consultant dans le milieu de la gastronomie.
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/bretagne/jacques-le-divellec-le-bocuse-de-la-mer-26-10-2013-2281784.php
http://www.le-divellec.com/
Le chef est régulièrement surnommé le Bocuse de la mer. «Ça me flatte, j'ai beaucoup de respect pour Paul (Bocuse)», affirme Jacques Le Divellec, un colosse réputé pour son franc-parler. Il revendique haut et fort la «défense de la cuisine française et de ses bases» contre, notamment, la cuisine moléculaire dont il ne pense pas grand-chose, et contre les chefs qui plagient l'Espagnol Ferran Adrià, son créateur, chez qui il a cependant dîné. Jacques Le Divellec se targue d'être encore «un apprenti permanent», tout en avouant un regret, celui de ne pas avoir vu grandir ses quatre enfants : «Mon métier m'a pris à ma famille». Un de ses fils, Yann, a pourtant suivi ses traces puisqu'il tient, à Noyal-Muzillac (56), le Manoir de Bodrevan.
L'histoire de Jacques Le Divellec est liée à la mer : un grand-père marin au long cours, qui a quitté l'île aux Moines (56) au XIXe siècle, une enfance au bord de la mer en Charente-Maritime, terre à laquelle il est toujours resté profondément lié, ou encore un service militaire dans la Marine. Sa grand-mère lui a transmis l'amour de la bonne cuisine, ses parents ont tenu un petit bistrot à Paris. Après l'école hôtelière de Clermont-Ferrand, Jacques prend en gérance son premier restaurant à Paris, mais l'aventure s'arrête vite. En 1958, il s'installe à La Rochelle. Le Yachtman obtiendra, quatre ans plus tard, sa première étoile au Michelin.
Le rendez-vous des politiques
Dès le début des années 70, à l'image des Bocuse, Guérard ou Troisgros, le chef parcourt le monde, grâce à son rôle de conseiller culinaire pour la chaîne hôtelière Hilton International. Ses voyages lui ouvrent de nouveaux horizons.
En 1983, il décide d'ouvrir un restaurant à Paris. Ce sera le «Jacques Le Divellec», une façade bleue comme la mer sur l'esplanade des Invalides. Une table dédiée au poisson et aux crustacés - comme le homard à la presse - qui va devenir un des rendez-vous du monde politique. C'est devant son restaurant que sera prise la fameuse photo de François Mitterrand avec sa fille Mazarine, dévoilant son existence à la France entière. «Ce n'est pas moi qui ai vendu la mèche», s'insurge-t-il encore.
Toujours très actif, Jacques Le Divellec oeuvre aujourd'hui pour la création d'une grande école hôtelière à Paris, pestant contre ceux qui lui mettent des bâtons dans les roues.
Son dernier service mardi
Se défendant d'être écologiste, le chef, qui a cuisiné au cours de sa vie beaucoup de bêtes à poil et à plumes, «pas toujours autorisées», trouve «affreux» les navires usines chinois, japonais ou russes qui vident les océans avec leurs filets. En revanche, il voudrait que les petits pêcheurs de thon rouge de Méditerranée puissent travailler en paix. Il a sorti, en octobre, un nouveau livre de recettes rapportées de ses voyages et glisse un conseil à ceux qui veulent préparer du poisson chez eux : «Faire le plus simple possible. Le poisson, moins on l'embête, plus il est bon».
Après avoir vendu son restaurant au groupe Costes (mais tout le personnel sera gardé), il a passé sa dernière soirée de chef au "Jacques Le Divellec" mardi dernier. Un dernier repas a été servi mais «rien de particulier» n'avait été prévu, a assuré le chef, désormais consultant dans le milieu de la gastronomie.
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/bretagne/jacques-le-divellec-le-bocuse-de-la-mer-26-10-2013-2281784.php
http://www.le-divellec.com/
Felipe56- Survivant de Folie
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Date d'inscription : 19/09/2012
Localisation : Breizh Izel
la mini transat Douarnenez - Lanzarote - Pointe-à-Pitre
Décidément, le golfe de Gascogne se mérite cette année. Alors que la flotte de la Mini Transat avait déjà avalé près des deux tiers du golfe de Gascogne, les fichiers météo ont montré une nouvelle aggravation des conditions par rapport à ce qui était prévu au moment de lancer le départ. La direction de course a pris hier soir à 19h la décision d’annuler cette première manche pour permettre aux concurrents de regagner un port en toute sécurité.
Plusieurs paramètres sont intervenus dans la décision finale. Tout d’abord, soucieuse de préserver la sécurité des concurrents les plus attardés (qui sont aussi souvent les moins expérimentés), la direction de course, lors de la vacation du matin, a conseillé à ceux d’entre eux qui se trouvaient encore trop éloignés de l’arrivée de faire route plein sud en direction de la côte cantabrique et de Gijon où les conditions devraient être beaucoup plus maniables.
Ce faisant, près de quarante concurrents ont immédiatement décidé de faire route vers le port asturien. Dans ces conditions, l’équité sportive de l’épreuve risquait d’être mise à mal. Par ailleurs, si les premiers protos étaient quasiment assurés de pouvoir parvenir à Sada avant l’arrivée du mauvais temps, la situation était beaucoup plus critique pour le groupe de tête des bateaux de série, situés à 16h à 90 milles environ de l’entrée de la ria de Sada.
Une fois que tous les bateaux seront en sécurité dans les ports cantabriques, l’organisation prendra les mesures les plus appropriées pour donner au plus vite un nouveau départ à destination de Lanzarote.
http://www.minitransat.fr/actualites/letape-douarnenez-sada-annulee
http://www.lavoixdunord.fr/sports/voilemini-transat-annulation-de-l-etape-douarnenez-sada-ia0b0n1662256
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Mini-transat.-L-etape-Douarnenez-%E2%80%93-Sada-annulee_44096-2244822-fils-tous_filDMA.Htm
http://www.la1ere.fr/2013/10/30/la-mini-transat-va-faire-une-escale-forcee-en-espagne-pour-eviter-un-gros-coup-de-vent-81539.html
http://www.abc.es/vela/noticia/mini-transat-elucubrando-alternativas-para-salir-de-douarnenez/
Plusieurs paramètres sont intervenus dans la décision finale. Tout d’abord, soucieuse de préserver la sécurité des concurrents les plus attardés (qui sont aussi souvent les moins expérimentés), la direction de course, lors de la vacation du matin, a conseillé à ceux d’entre eux qui se trouvaient encore trop éloignés de l’arrivée de faire route plein sud en direction de la côte cantabrique et de Gijon où les conditions devraient être beaucoup plus maniables.
Ce faisant, près de quarante concurrents ont immédiatement décidé de faire route vers le port asturien. Dans ces conditions, l’équité sportive de l’épreuve risquait d’être mise à mal. Par ailleurs, si les premiers protos étaient quasiment assurés de pouvoir parvenir à Sada avant l’arrivée du mauvais temps, la situation était beaucoup plus critique pour le groupe de tête des bateaux de série, situés à 16h à 90 milles environ de l’entrée de la ria de Sada.
Une fois que tous les bateaux seront en sécurité dans les ports cantabriques, l’organisation prendra les mesures les plus appropriées pour donner au plus vite un nouveau départ à destination de Lanzarote.
http://www.minitransat.fr/actualites/letape-douarnenez-sada-annulee
http://www.lavoixdunord.fr/sports/voilemini-transat-annulation-de-l-etape-douarnenez-sada-ia0b0n1662256
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Mini-transat.-L-etape-Douarnenez-%E2%80%93-Sada-annulee_44096-2244822-fils-tous_filDMA.Htm
http://www.la1ere.fr/2013/10/30/la-mini-transat-va-faire-une-escale-forcee-en-espagne-pour-eviter-un-gros-coup-de-vent-81539.html
http://www.abc.es/vela/noticia/mini-transat-elucubrando-alternativas-para-salir-de-douarnenez/
Felipe56- Survivant de Folie
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Localisation : Breizh Izel
Idée pour le week-end de Toussaint
Pour celles et ceux qui se baladent en Bretagne Sud ce week-end, allez faire un tour au salon Mille Sabords du Crouesty dans le Golfe du Morbihan ! Il a ouvert jeudi dernier et dure jusqu'à demain dimanche 03.
Plus de 800 bateaux d’occasion à voile et à moteur sont mis à la vente dans toutes les gammes de prix et pour tous types de navigation. Du plus petit (dériveur) au plus gros (yacht de luxe), du plus traditionnel (houari breton) au plus récent (voilier de 2012…), de la planche à voile aux semi-rigides en passant par les day-boats pour la pêche ou la promenade, toutes les références et les bonnes affaires sont présentes au Mille Sabords !
Le plus grand salon européen de bateaux d'occasion avec plus de 800 unités à vendre, plus de 65 000 visiteurs attendus, et bien d'autres plus à n'en plus finir !
http://www.lemillesabords.com/
http://bretagne.france3.fr/2013/11/01/le-mille-sabords-le-salon-des-plus-349885.html
Plus de 800 bateaux d’occasion à voile et à moteur sont mis à la vente dans toutes les gammes de prix et pour tous types de navigation. Du plus petit (dériveur) au plus gros (yacht de luxe), du plus traditionnel (houari breton) au plus récent (voilier de 2012…), de la planche à voile aux semi-rigides en passant par les day-boats pour la pêche ou la promenade, toutes les références et les bonnes affaires sont présentes au Mille Sabords !
Le plus grand salon européen de bateaux d'occasion avec plus de 800 unités à vendre, plus de 65 000 visiteurs attendus, et bien d'autres plus à n'en plus finir !
http://www.lemillesabords.com/
http://bretagne.france3.fr/2013/11/01/le-mille-sabords-le-salon-des-plus-349885.html
Felipe56- Survivant de Folie
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Date d'inscription : 19/09/2012
Localisation : Breizh Izel
Stand up paddle à la pointe de la Torche (Finistère)
L'Américaine Izzy Gomez, 13 ans, s'est imposée hier après-midi, dans les vagues de La Torche, lors de la finale de l'épreuve féminine de stand-up paddle (Coupe du monde féminine en stand up paddle vague). Elle entre ainsi dans le top 5 mondial. La vendéenne Caroline Angibaud (Victorieuse en mai 2012 lors de la précédente étape de Coupe du monde à La Torche) s'est hissée sur la deuxième marche du podium. Le titre de championne du monde de stand-up paddle a été remporté par la Brésilienne Nicole Pacelli, malgré sa défaite en quart de finale. Le « Na Kama Kai », épreuve réservée au moins de 16 ans, a quant à lui consacré l'Hawaïen Mo Freitas.
http://www.letelegramme.fr/sports/divers/stand-up-paddle-caroline-angibaud-s-est-fait-croquer-03-11-2013-2290570.php
http://www.letelegramme.fr/local/finistere-sud/ouest-cornouaille/pontlabbe/elle-a-13-ans-elle-est-americaine-izzy-gomez-gagne-a-la-torche-03-11-2013-2290448.php
Felipe56- Survivant de Folie
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