insolite ? La mer dans tous ses états !
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insolite ? La mer dans tous ses états !
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Bonjour,
Si tu es amoureux de la mer, des couleurs changeantes sur l'Océan, des furies des vagues, des paysages de bord de mer, des plongées sous-marine, ou des bateaux... C'est ici que je t'invite à poster des photos, images, vidéos !
Je commence par un paysage que j'aime particulièrement, car tout près de chez moi... Larmor-Plage, en Bretagne Sud.
Bonjour,
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Dernière édition par Felipe56 le Mer 28 Fév - 15:41, édité 9 fois
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Livre & Mer. Yann Queffélec sur le pont !
À moins de trois mois de sa 30e édition, le festival Livre & Mer a dévoilé, hier, la liste des ouvrages en compétition pour le prix portant le nom d'Henri Queffélec. Le jury, présidé par son fils Yann Queffélec, entouré de six lecteurs, va se mettre au travail...
Qui va succéder à Roger Taylor, lauréat du prix Henri-Queffélec 2013 ? La réponse sera connue le vendredi 18 avril, jour de l'inauguration du trentième festival Livre & Mer. Une édition très attendue. Yann Queffélec en est le président d'honneur. Il était présent hier soir, au Marinarium, pour la présentation de l'affiche et la sélection 2014.
Le président d'honneur Yann Queffélec entouré des membres du jury et Éliane Gastellier, présidente de l'association.
« Le génie du festival »
L'occasion pour cet amoureux de Concarneau de raconter quelques soirées de jeunesse aux Korrigans et de rappeler son attachement au festival, qu'il connaît depuis les années 80, lorsqu'il se nommait encore Salon du livre maritime. Un rendez-vous créé par son père, Henri, avec d'autres. « C'était une fête du livre et une fête des copains : nous partions à Saint-Nicolas avec les auteurs pour des pique-niques improbables à base de merguez trop froides et de muscadet trop chaud, avant de revenir le lendemain à nos stands, devant les lecteurs », s'est souvenu Yann Queffélec. « Ce qui fait le génie de ce festival, c'est d'être dédié exclusivement à la mer, synonyme d'horizon et donc d'infini : avec elle, on est en contact avec toutes les problématiques humaines », a ajouté l'auteur des « Noces Barbares ». Il va délibérer avec les six autres membres du jury : Jacqueline d'Ornant, Anne Mellac, Pascal Abriat, Willy Bodenes, Jacques Fustec et Pierre-Louis Pini. Six romans sont en lice : « Passager vers l'enfer », de Lionel Camy (Pascal Galodé éditeurs), thriller fantastique sur une plate-forme pétrolière en Thaïlande. « Un Pays qui n'avait pas de port », d'Isabelle Condou (éditions Plon), l'histoire d'un clandestin qui vient contrarier le voyage de trois Européens à bord d'un cargo. « L'Égaré de Lisbonne » de Bruno d'Halluin (éditions Gaïa), sur le cosmographe du roi du Portugal embarqué comme médecin à bord d'une caravelle en quête de la route des Indes. « En Mer », de Toine Heijmans (éditions Christian Bourgois), récit d'une traversée éprouvante d'un navigateur et de sa fille en mer du Nord. « Au bord de la mer violette », d'Alain Jaubert (Gallimard), sur la rencontre, dans le Marseille de 1875, de deux personnages qui allaient devenir légendaires. Enfin, « La Clandestine du voyage de Bougainville », de Michèle Kahn (éditions Le Passage), avec cette jeune femme qui se déguise en homme pour partir sur cette fameuse expédition.
Grande variété d'auteurs
Une sélection de grande qualité, à la hauteur de cette trentième édition. Le Néerlandais Toine Heijmans a ainsi remporté le Prix Médicis étranger 2013 pour « En Mer ». Alain Jaubert, célèbre écrivain et journaliste (on lui doit la série « Palettes » à la télévision), a reçu le Prix Goncourt du premier roman en 2005 avec « Val Paradis ». Il avait aussi remporté le prix Henri-Queffélec cette même année. Bruno d'Halluin est un autre habitué du festival : il avait présenté « Jon l'Islandais » en 2011. Ce sera en revanche une première participation pour Michèle Kahn, figure du monde littéraire, qui est l'auteur de plus de cent romans et a participé à la création de nombreux prix, comme le Prix Joseph Kessel, remis à Saint-Malo au cours des Étonnants Voyageurs. C'est aussi une première aussi pour Isabelle Condou, Grand Prix littéraire du web en 2009, dont la réputation a grandi en quelques livres, et pour Lionel Camy. Et pour cause : le thriller « Passager vers l'enfer » est son premier roman. Si le festival a un coup de coeur, un ou deux livres pourraient encore venir compléter cette sélection.
Renseignements Site du festival : http://www.livremer.org
http://www.letelegramme.fr/local/finistere-sud/quimperle-concarneau/concarneau/livre-mer-yann-queffelec-sur-le-pont-24-01-2014-2379160.php
Qui va succéder à Roger Taylor, lauréat du prix Henri-Queffélec 2013 ? La réponse sera connue le vendredi 18 avril, jour de l'inauguration du trentième festival Livre & Mer. Une édition très attendue. Yann Queffélec en est le président d'honneur. Il était présent hier soir, au Marinarium, pour la présentation de l'affiche et la sélection 2014.
Le président d'honneur Yann Queffélec entouré des membres du jury et Éliane Gastellier, présidente de l'association.
« Le génie du festival »
L'occasion pour cet amoureux de Concarneau de raconter quelques soirées de jeunesse aux Korrigans et de rappeler son attachement au festival, qu'il connaît depuis les années 80, lorsqu'il se nommait encore Salon du livre maritime. Un rendez-vous créé par son père, Henri, avec d'autres. « C'était une fête du livre et une fête des copains : nous partions à Saint-Nicolas avec les auteurs pour des pique-niques improbables à base de merguez trop froides et de muscadet trop chaud, avant de revenir le lendemain à nos stands, devant les lecteurs », s'est souvenu Yann Queffélec. « Ce qui fait le génie de ce festival, c'est d'être dédié exclusivement à la mer, synonyme d'horizon et donc d'infini : avec elle, on est en contact avec toutes les problématiques humaines », a ajouté l'auteur des « Noces Barbares ». Il va délibérer avec les six autres membres du jury : Jacqueline d'Ornant, Anne Mellac, Pascal Abriat, Willy Bodenes, Jacques Fustec et Pierre-Louis Pini. Six romans sont en lice : « Passager vers l'enfer », de Lionel Camy (Pascal Galodé éditeurs), thriller fantastique sur une plate-forme pétrolière en Thaïlande. « Un Pays qui n'avait pas de port », d'Isabelle Condou (éditions Plon), l'histoire d'un clandestin qui vient contrarier le voyage de trois Européens à bord d'un cargo. « L'Égaré de Lisbonne » de Bruno d'Halluin (éditions Gaïa), sur le cosmographe du roi du Portugal embarqué comme médecin à bord d'une caravelle en quête de la route des Indes. « En Mer », de Toine Heijmans (éditions Christian Bourgois), récit d'une traversée éprouvante d'un navigateur et de sa fille en mer du Nord. « Au bord de la mer violette », d'Alain Jaubert (Gallimard), sur la rencontre, dans le Marseille de 1875, de deux personnages qui allaient devenir légendaires. Enfin, « La Clandestine du voyage de Bougainville », de Michèle Kahn (éditions Le Passage), avec cette jeune femme qui se déguise en homme pour partir sur cette fameuse expédition.
Grande variété d'auteurs
Une sélection de grande qualité, à la hauteur de cette trentième édition. Le Néerlandais Toine Heijmans a ainsi remporté le Prix Médicis étranger 2013 pour « En Mer ». Alain Jaubert, célèbre écrivain et journaliste (on lui doit la série « Palettes » à la télévision), a reçu le Prix Goncourt du premier roman en 2005 avec « Val Paradis ». Il avait aussi remporté le prix Henri-Queffélec cette même année. Bruno d'Halluin est un autre habitué du festival : il avait présenté « Jon l'Islandais » en 2011. Ce sera en revanche une première participation pour Michèle Kahn, figure du monde littéraire, qui est l'auteur de plus de cent romans et a participé à la création de nombreux prix, comme le Prix Joseph Kessel, remis à Saint-Malo au cours des Étonnants Voyageurs. C'est aussi une première aussi pour Isabelle Condou, Grand Prix littéraire du web en 2009, dont la réputation a grandi en quelques livres, et pour Lionel Camy. Et pour cause : le thriller « Passager vers l'enfer » est son premier roman. Si le festival a un coup de coeur, un ou deux livres pourraient encore venir compléter cette sélection.
Renseignements Site du festival : http://www.livremer.org
http://www.letelegramme.fr/local/finistere-sud/quimperle-concarneau/concarneau/livre-mer-yann-queffelec-sur-le-pont-24-01-2014-2379160.php
Felipe56- Survivant de Folie
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Corbeau des mers : 45.000 € à trouver pour le restaurer !
Le Corbeau des mers a été l'un des premiers bateaux à répondre à l'appel du 18 juin 1940 du Général de Gaulle. Une restauration de ce langoustier est prévue mais il manque 45.000€ pour boucler le budget.
Élevé au rang de Compagnon de la Libération et reconnu comme Trésor national, le Corbeau des mers, un langoustier construit en 1931, est Monument historique depuis 1991.«C'est un bateau résistant vu son histoire, souligne Pascal Février, conseiller au patrimoine maritime et fluvial de la Fondation du patrimoine. Mais aujourd'hui, il a besoin d'une restauration majeure pour pouvoir continuer à naviguer».
Il manque encore 45.000 € pour compléter la somme nécessaire à la restauration du Corbeau des mers, estimée à 140.000 €
Un chantier à 140.000 €
C'est une enveloppe globale de 140.000 € au minimum qui est nécessaire pour ce vaste chantier, «voire 150.000 €, suivant les réalités de la restauration». Sont prévus des travaux sur la charpente (le plus gros budget, avec environ 80.000 €), le moteur, le gréement, les voiles...La Drac (Direction régionale des affaires culturelles), le conseil régional de Bretagne, le conseil général du Morbihan et Vannes Agglo ont déjà accordé leur aide.«Il manque encore 45.000 € à trouver», précise Pascal Février. C'est pourquoi une souscription publique a été lancée, lundi, par l'association Les amis du Corbeau des Mers, le musée de la Résistance bretonne de Saint-Marcel (56), propriétaire du bateau et la Fondation du patrimoine.Les dons sont attendus, tant des particuliers que des entreprises, sachant «qu'ils sont défiscalisables à hauteur de 66 % pour les individuels et de 60 % pour les sociétés» .Si la souscription attire 50 bienfaiteurs, la Fondation du patrimoine pourra apporter son aide financière, sous forme d'abondement (dotation issue des successions en déshérence). Ce qui permettra au Corbeau des Mers de poursuivre sa vie navale.
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/finistere/corbeau-des-mers-45-000-eur-a-trouver-pour-le-restaurer-10-01-2014-2362820.php
http://corbeau-des-mers.fr/index2_n.html
Élevé au rang de Compagnon de la Libération et reconnu comme Trésor national, le Corbeau des mers, un langoustier construit en 1931, est Monument historique depuis 1991.«C'est un bateau résistant vu son histoire, souligne Pascal Février, conseiller au patrimoine maritime et fluvial de la Fondation du patrimoine. Mais aujourd'hui, il a besoin d'une restauration majeure pour pouvoir continuer à naviguer».
Il manque encore 45.000 € pour compléter la somme nécessaire à la restauration du Corbeau des mers, estimée à 140.000 €
Un chantier à 140.000 €
C'est une enveloppe globale de 140.000 € au minimum qui est nécessaire pour ce vaste chantier, «voire 150.000 €, suivant les réalités de la restauration». Sont prévus des travaux sur la charpente (le plus gros budget, avec environ 80.000 €), le moteur, le gréement, les voiles...La Drac (Direction régionale des affaires culturelles), le conseil régional de Bretagne, le conseil général du Morbihan et Vannes Agglo ont déjà accordé leur aide.«Il manque encore 45.000 € à trouver», précise Pascal Février. C'est pourquoi une souscription publique a été lancée, lundi, par l'association Les amis du Corbeau des Mers, le musée de la Résistance bretonne de Saint-Marcel (56), propriétaire du bateau et la Fondation du patrimoine.Les dons sont attendus, tant des particuliers que des entreprises, sachant «qu'ils sont défiscalisables à hauteur de 66 % pour les individuels et de 60 % pour les sociétés» .Si la souscription attire 50 bienfaiteurs, la Fondation du patrimoine pourra apporter son aide financière, sous forme d'abondement (dotation issue des successions en déshérence). Ce qui permettra au Corbeau des Mers de poursuivre sa vie navale.
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/finistere/corbeau-des-mers-45-000-eur-a-trouver-pour-le-restaurer-10-01-2014-2362820.php
http://corbeau-des-mers.fr/index2_n.html
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LES T.A.A.F
Lever de soleil sur l’île de la Possession, archipel de Crozet – B. Marie
Les TAAF sont, en vertu de la loi du 6 août 1955, un Territoire d’Outre-mer doté de l’autonomie administrative et financière. Le siège de la collectivité est installé depuis 2000 à Saint-Pierre de la Réunion. Les TAAF sont placées sous l’autorité d’un préfet, administrateur supérieur, qui représente l’État français en même temps qu’il remplit les fonctions d’exécutif local en tant qu’administrateur supérieur du territoire. Le territoire est subdivisé en circonscriptions administratives dénommées districts à la tête desquels sont nommés chaque année des chefs de district, qui assurent l’encadrement des équipes ainsi que le suivi et la coordination des actions menées sur place. Les TAAF administrent 2,39 millions de km² de Zones économiques exclusives (ZEE), soit la deuxième ZEE de France après la Polynésie française.
La France exerce sa souveraineté dans 3 contextes différents :
- dans les îles Éparses, par une garnison militaire et une mission météo ;
- dans les Îles Australes (Amsterdam et Saint-Paul, Crozet, Kerguelen), par la présence de bases occupées en permanence et par une surveillance de l’immense zone économique de 200 milles nautiques qui entoure ces îles ;
- sur la Terre Adélie, la souveraineté française s’exerce dans le contexte du Traité international de Washington de 1959 qui a gelé toutes les revendications territoriales et affirmé la liberté de la recherche scientifique sur tout le continent, classé en tant que « réserve naturelle consacrée à la paix et à la science ». Les Terres australes et antarctiques françaises représentent une situation unique pour la France avec la présence de ces territoires extrêmes sur un gradient latitudinal exceptionnel qui s’étend du 13e parallèle sud (les îles Glorieuses) jusqu’au pôle sud : ce gradient couvre plus de 80 % de l’hémisphère Sud !
http://escales-au-bout-du-monde.com/les-taaf/
http://taafproject.files.wordpress.com/2012/10/taaf_2013.jpg?w=1055&h=1553
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La frégate FREMM Mohammed VI livrée au Maroc
A Brest, la marine royale marocaine a réceptionné la Fremm Mohammed VI. Longue de 142 mètres, c'est la première, et pour l'instant, la seule vente d'une frégate Fremm par DCNS à l'export.
La frégate FREMM Mohammed VI Photos DCNS
La cérémonie de transfert de propriété et de pavillon s'est déroulée en présence de Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid El Alaoui, frère de Sa Majesté le Roi du Maroc, de Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, et de Patrick Boissier, Président Directeur Général de DCNS.
Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid El Alaoui etPatrick Boissier, Président Directeur de DCNS DCNS
Initialement, cette frégate, construite à Lorient, devait être remise au Maroc le 25 novembre dernier,mais la cérémonie avait été annulée à la dernière minute pour "des raisons d'agenda". Elle était depuis à quai à Brest.
Systèmes d'armes et d'équipements les plus performants
Cette frégate est le deuxième navire d’une série de douze unités conçues et réalisées par DCNS pour les marines française et marocaine. Elle bénéficie des mêmes innovations technologiques et industrielles que celles destinées à la Marine nationale. La frégate mesure 142 mètres de long, 20 mètres de large. Elle peut atteindre une vitesse maximale de 27 noeuds pour un tonnage de 6000 tonnes. Elle dispose d'une autonomie de 6000 nautiques (plus de 11000 km). Fortement armées, les frégates FREMM mettent en œuvre, sous maîtrise d’œuvre DCNS, les systèmes d’armes et équipements les plus performants, tels que le radar multifonction Héraclès, le Missile de Croisière Naval, les missiles Aster et Exocet MM 40 et les torpilles MU 90.
"Le plus puissant bâtiment de combat de la Marine Royale Marocaine"
"Au-delà de ses performances exceptionnelles, la FREMM Mohammed VI revêt un caractère particulier à nos yeux", souligne Patrick Boissier, PDG de DCNS. "Le Maroc est en effet le premier pays après la France à avoir choisi la FREMM conçue et construite par DCNS. Nous sommes très sensibles à cette confiance, et ce d’autant plus que cette frégate est appelée à devenir le plus grand et le plus puissant bâtiment de combat de la Marine Royale Marocaine".
Douze FREMM au total
Le bâtiment a été réalisé en cinq ans. La découpe de la première tôle a été effectuée le 12 décembre 2008. La mise à flot est intervenue pour sa part le 14 septembre 2011. Plusieurs séries d'essais en mer ont été réalisées depuis le mois d'avril 2013. Des essais réalisés avec une partie du futur équipage marocain.
Pour DCNS, le programme FREMM représente douze unités, soit onze pour la Marine nationale et une pour la Marine Royale du Maroc. (La FREMM Normandie, troisième unité de la série, a effectué ses premiers essais en mer en octobre 2013 et sera livrée à la Marine nationale cette année, la FREMM Provence a été mise à flot au mois de septembre 2013 et les cinquième et sixième frégates de la série sont en cours d’assemblage).
Onze frégates FREMM sont bien prévues pour la Marine nationale mais les dernières de la série pourraient bien être des frégates plus légères en raison des contraintes budgetaires. Les délais de livraison vont être rallongés de 10 à 14 mois, ce qui aura des incidences sur l'emploi à Lorient.
http://www.francebleu.fr/infos/defense/la-fregate-fremm-mohammed-vi-livree-au-maroc-1230122
http://www.maghrebemergent.com/actualite/maghrebine/item/34427-le-maroc-recoit-la-fregate-mohamed-vi-un-opposant-critique-un-couteux-jouet-inutile.html
http://bretagne.france3.fr/2014/01/30/brest-la-fregate-fremm-mohammed-vi-livree-au-maroc-405967.html
La frégate FREMM Mohammed VI Photos DCNS
La cérémonie de transfert de propriété et de pavillon s'est déroulée en présence de Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid El Alaoui, frère de Sa Majesté le Roi du Maroc, de Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, et de Patrick Boissier, Président Directeur Général de DCNS.
Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid El Alaoui etPatrick Boissier, Président Directeur de DCNS DCNS
Initialement, cette frégate, construite à Lorient, devait être remise au Maroc le 25 novembre dernier,mais la cérémonie avait été annulée à la dernière minute pour "des raisons d'agenda". Elle était depuis à quai à Brest.
Systèmes d'armes et d'équipements les plus performants
Cette frégate est le deuxième navire d’une série de douze unités conçues et réalisées par DCNS pour les marines française et marocaine. Elle bénéficie des mêmes innovations technologiques et industrielles que celles destinées à la Marine nationale. La frégate mesure 142 mètres de long, 20 mètres de large. Elle peut atteindre une vitesse maximale de 27 noeuds pour un tonnage de 6000 tonnes. Elle dispose d'une autonomie de 6000 nautiques (plus de 11000 km). Fortement armées, les frégates FREMM mettent en œuvre, sous maîtrise d’œuvre DCNS, les systèmes d’armes et équipements les plus performants, tels que le radar multifonction Héraclès, le Missile de Croisière Naval, les missiles Aster et Exocet MM 40 et les torpilles MU 90.
"Le plus puissant bâtiment de combat de la Marine Royale Marocaine"
"Au-delà de ses performances exceptionnelles, la FREMM Mohammed VI revêt un caractère particulier à nos yeux", souligne Patrick Boissier, PDG de DCNS. "Le Maroc est en effet le premier pays après la France à avoir choisi la FREMM conçue et construite par DCNS. Nous sommes très sensibles à cette confiance, et ce d’autant plus que cette frégate est appelée à devenir le plus grand et le plus puissant bâtiment de combat de la Marine Royale Marocaine".
Douze FREMM au total
Le bâtiment a été réalisé en cinq ans. La découpe de la première tôle a été effectuée le 12 décembre 2008. La mise à flot est intervenue pour sa part le 14 septembre 2011. Plusieurs séries d'essais en mer ont été réalisées depuis le mois d'avril 2013. Des essais réalisés avec une partie du futur équipage marocain.
Pour DCNS, le programme FREMM représente douze unités, soit onze pour la Marine nationale et une pour la Marine Royale du Maroc. (La FREMM Normandie, troisième unité de la série, a effectué ses premiers essais en mer en octobre 2013 et sera livrée à la Marine nationale cette année, la FREMM Provence a été mise à flot au mois de septembre 2013 et les cinquième et sixième frégates de la série sont en cours d’assemblage).
Onze frégates FREMM sont bien prévues pour la Marine nationale mais les dernières de la série pourraient bien être des frégates plus légères en raison des contraintes budgetaires. Les délais de livraison vont être rallongés de 10 à 14 mois, ce qui aura des incidences sur l'emploi à Lorient.
http://www.francebleu.fr/infos/defense/la-fregate-fremm-mohammed-vi-livree-au-maroc-1230122
http://www.maghrebemergent.com/actualite/maghrebine/item/34427-le-maroc-recoit-la-fregate-mohamed-vi-un-opposant-critique-un-couteux-jouet-inutile.html
http://bretagne.france3.fr/2014/01/30/brest-la-fregate-fremm-mohammed-vi-livree-au-maroc-405967.html
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art
D'autres photos sur http://lassy028.centerblog.net/rub-images-paysage-mer-eau-.html?ii=1
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La forte houle du week-end
La forte houle et les vagues géantes qui tapissaient la mer ce samedi 1er février ont offert un spectacle à couper le souffle au large du littoral breton.
Dans cette vidéo tournée d'hélicoptère par Jean-René Kéruzoré, toute la puissance des vagues de plus de 10 mètres de haut s'exprime au travers de ces images. Une mer qui lance ses assauts sur les phares de la pointe bretonne et les recouvre d'une écume envahissante.
Sur cette vidéo vous trouverez le phare de la Jument au large de Ouessant, littéralement recouvert par les vagues, l'île de Sein noyée dans un océan d'écume puis le phare de Tévennec sur son piton rocheux où les vagues géantes viennent se fracasser :
Dans cette vidéo tournée d'hélicoptère par Jean-René Kéruzoré, toute la puissance des vagues de plus de 10 mètres de haut s'exprime au travers de ces images. Une mer qui lance ses assauts sur les phares de la pointe bretonne et les recouvre d'une écume envahissante.
Sur cette vidéo vous trouverez le phare de la Jument au large de Ouessant, littéralement recouvert par les vagues, l'île de Sein noyée dans un océan d'écume puis le phare de Tévennec sur son piton rocheux où les vagues géantes viennent se fracasser :
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Dégâts sur l'île de Sein
L'île de Sein par sa situation géographique est habituée à recevoir à chaque tempête les assauts de la mer. Mais ce samedi soir, Jean-Pierre Kerloc'h, le maire de l'île de Sein a reconnu : « C'est la première fois que je vois une mer comme ça, c'est énorme ». Reportage de Jean-Philippe Tranvouez :
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Penhors (Sud Finsitère) : Une nouvelle fois assailli par la mer
Gros coefficient de marée à 114, vent de sud-ouest et forte houle, les conditions une nouvelle fois réunies, comme le 3 janvier dernier, pour que la mer prennent d’assaut le littoral à Penhors. Les galets ont été charriés sur la route entre le pôle nautique et le bar-restaurant Penn-ar-Bed. La route a été coupée. Par ailleurs, l’étang de Gourinet s’est lui aussi déversé sur la route côtière, la barrière de galets ayant été renversée, la mer s’engouffrait directement dans l’étang.
http://www.letelegramme.fr/finistere/pont-labbe/penhors-une-nouvelle-fois-assailli-par-la-mer-02-02-2014-10017145.php
http://www.alteractu.fr/actus/penhors-une-nouvelle-fois-assailli-par-la-mer_342809/
http://www.bigouden.tv/accueil.php?cx=detactu&detail=big&idact=2663
http://www.letelegramme.fr/finistere/pont-labbe/penhors-une-nouvelle-fois-assailli-par-la-mer-02-02-2014-10017145.php
http://www.alteractu.fr/actus/penhors-une-nouvelle-fois-assailli-par-la-mer_342809/
http://www.bigouden.tv/accueil.php?cx=detactu&detail=big&idact=2663
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Brignogan-Plages après la tempête de ce week-end...
Alors que la Bretagne est de nouveau en vigilance orange pour des vents forts (prévus entre 130 et 140 km/h ce soir...), les communes des 5 départements bretons évaluent les dégâts des tempêtes à répétition combinées avec de forts bourrasques de vent...
Voici un exemple, sur la côte Nord de la Bretagne, dans la petite station balnéaire de Brignogan-Plages (5 000 habitants l'été, 858 le reste de l'année)...Voici ce qu'il reste de l'ex-hôtel Castel Régis :
Voici un exemple, sur la côte Nord de la Bretagne, dans la petite station balnéaire de Brignogan-Plages (5 000 habitants l'été, 858 le reste de l'année)...Voici ce qu'il reste de l'ex-hôtel Castel Régis :
Dernière édition par Felipe56 le Mar 22 Déc - 0:39, édité 1 fois
Felipe56- Survivant de Folie
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Infesté de rats cannibales, à la dérive... On reparle du mystérieux navire Lyubov Orlova !!
L'épave du Lyubov Orlova, dont on a perdu la trace depuis 2013, serait pleine de rats malades et dériverait vers la Grande-Bretagne, rapporte la presse britannique. Une chasse au bateau fantôme a été engagée... mais personne n'arrive à le localiser.
Avec ses 100 mètres de long, il était encore utilisé il n'y a pas si longtemps pour transporter jusqu'à 180 touristes dans les zones polaires. Aujourd'hui, le navire à la dérive est peuplé de "rats cannibales rongés par la maladie" et menace de s'échouer sur les côtes britanniques, rapporte The Sun.
Le Lyubov Orlova, construit en 1976 en Yougoslavie, est saisi en 2010 par la police canadienne pour éponger les dettes de son propriétaire insolvable. Il part trois ans plus tard en République Dominicaine pour être démantelé et vendu en pièces détachées. C'est pendant son remorquage vers l'île caribéenne en février 2013 qu'on perd sa trace. Pris dans une violente tempête pendant le trajet, il a pu couler au fond de l'océan ou partir à la dérive. En tout cas, il a disparu des radars.
Signal de détresse à 1300 km de la Grande-Bretagne ?
Depuis, les rumeurs les plus folles circulent sur ce bateau fantôme. L'analyse des courants marins laisse penser que l'épave qui serait infestée de rats se dirige vers l'Ecosse, l'Angleterre ou l'Irlande, si toutefois elle n'est pas au fond de l'océan. Cette semaine différents médias britanniques ont rapporté qu'un signal de détresse du bateau a été détecté à 700 miles marins (1300 km) des côtes britanniques.
Les gardes-côtes irlandais ont dû démentir cette information, précisant qu'ils n'ont détecté aucun signe du navire depuis l'année dernière, rapporte la BBC sur son site. Quoiqu'il en soit, l'affaire passionne au point qu'un blog dédié au mystérieux navire, intitulé "Where is Lyubov Orlova ?", a fait son apparition sur le web.
http://lci.tf1.fr/monde/europe/un-navire-infeste-de-rats-cannibales-deriverait-vers-la-grande-8353507.html
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Les premières photos d’un requin dévorant un autre requin !
Les chercheurs du Centre d’étude australien sur les récifs coralliens (ARC) ont découvert, alors qu’ils barbotaient sur la Grande Barrière de Corail, un requin-tapis barbu (Eucrossorhinus dasypogon) en train de savourer un autre requin.
Les requins-tapis barbus se trouvent généralement dans l’attente d’un poisson passant ou d’un invertébré sur le plancher océanique afin de le surprendre et le manger. Celui-ci a eu la chance d’attraper un requin à bandes brunes en bambou (Chiloscyllium punctatum), et il était en train de l’avaler en entier, la tête la première. L’appétit des requins-tapis barbu, pour les gros repas, est aidé par leur grande mâchoire qui peut se séparer et des dents pointant vers l’arrière.
Ce type de phénomène est connu d’après les enregistrements de leurs contenus stomacaux (contenant d’autres requins), mais c’est la première fois qu’il a été photographié dans l’action.
13 % des morsures de requins sur l’homme sont causés par de petits requins-tapis. Elles sont généralement le résultat d’une réaction du poisson lorsqu’il est foulé du pied.
http://www.gurumed.org/2012/02/10/la-premire-photo-dun-requin-dvorant-un-autre-requin/
http://link.springer.com/article/10.1007%2Fs00338-012-0878-z/fulltext.html
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Sauvetage périlleux du cargo "Luno", échoué à Anglet
Le navire victime d'une avarie s'est brisé sur une digue, dans les Pyrénées-Atlantiques. Une importante fuite de fioul a été détectée, et le plan Polmar déclenché.
L'accident s'est produit vers 10h10 alors que le cargo Luno, qui se trouvait à l'entrée du port d'Anglet (Pyrénées-Atlantiques), a été victime d'une avarie moteur, en pleine tempête Petra. Le navire de 100 mètres de long battant pavillon espagnol a été projeté sur les rochers, mercredi 5 janvier, et s'est coupé en deux. Le sauvetage était en cours en fin de matinée, alors que les rafales de vent se poursuivaient sur le littoral atlantique.
Un marin a été blessé et l'évacuation par hélitreuillage a été rendue "très difficile" par un vent soufflant à quelque 110 km/h. Onze autres membres d'équipage se trouvaient à bord au moment de l'accident.
Le navire censé transporter des engrais était vide et contenait 127 m3 de fioul, qui s'écoule désormais dans la mer en raison d'une importante fuite. Le plan Polmar de lutte contre la pollution maritime a été déclenché, annonce le maire d'Anglet, Jean Espilondo.
http://www.francetvinfo.fr/meteo/video-sauvetage-perilleux-du-cargo-luno-echoue-a-anglet_522699.html
L'accident s'est produit vers 10h10 alors que le cargo Luno, qui se trouvait à l'entrée du port d'Anglet (Pyrénées-Atlantiques), a été victime d'une avarie moteur, en pleine tempête Petra. Le navire de 100 mètres de long battant pavillon espagnol a été projeté sur les rochers, mercredi 5 janvier, et s'est coupé en deux. Le sauvetage était en cours en fin de matinée, alors que les rafales de vent se poursuivaient sur le littoral atlantique.
Un marin a été blessé et l'évacuation par hélitreuillage a été rendue "très difficile" par un vent soufflant à quelque 110 km/h. Onze autres membres d'équipage se trouvaient à bord au moment de l'accident.
Le navire censé transporter des engrais était vide et contenait 127 m3 de fioul, qui s'écoule désormais dans la mer en raison d'une importante fuite. Le plan Polmar de lutte contre la pollution maritime a été déclenché, annonce le maire d'Anglet, Jean Espilondo.
http://www.francetvinfo.fr/meteo/video-sauvetage-perilleux-du-cargo-luno-echoue-a-anglet_522699.html
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Des chercheurs installent le Wi-Fi sous l’océan pour prévenir les populations de catastrophes naturelles imminentes
Et si un réseau Wi-Fi situé sous l’océan voyait le jour ? C’est justement ce que ces chercheurs américains viennent de tester. Ce système permettrait ainsi d’améliorer la réactivité des autorités en cas d’alertes aux catastrophes naturelles comme les tsunamis. DGS vous en dit plus sur ce nouveau réseau de communication sous-marine.
Une équipe de chercheurs de l’Université de Buffalo, aux Etats-Unis, ont récemment testé un réseau Wi-Fi sous-marin dans l’optique de le développer aux fond de nos océans. Cette simulation aquatique a été menée dans les eaux du lac Erie : les scientifiques ont coulé 2 capteurs de 18kg chacun auxquels ils ont ensuite pu transmettre des données via un ordinateur. Cependant, il existe déjà des kilomètres de câbles Internet subaquatiques : dans ce cas, pourquoi vouloir utiliser la connexion Wi-Fi ?
Contrairement au Wi-Fi que nous connaissons, cette technologie submergée testée par l’équipe de l’Université de Buffalo repose sur l’utilisation d’ondes sonores qui incarnent une meilleure option que les ondes radio traditionnelles, comme en atteste la communication de différentes espèces marines telles que les baleines et les dauphins.
Le but premier des chercheurs est donc de développer une harmonisation des communications sous-marines afin de faciliter les interactions et le partage de données. Actuellement, le problème qui se pose réside dans la différence des systèmes utilisés par les organisations pour communiquer entre elles. Ainsi, l’US National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) utilise les ondes acoustiques pour envoyer les données recueillies par les capteurs tsunamis au fond de l’océan jusqu’aux bouées en surface. Cependant, en raison d’une différence d’infrastructure, ces données ne peuvent être rapidement transmises à l’US Navy, ce qui enraye toute rapidité de réaction.
Selon Tommaso Melodia, à la tête de l’équipe de recherche, « un réseau sans fil submergé nous permettra d’être capable de recueillir des données sur nos océans en temps réel. Ces informations pouvant être accessibles à toute personne possédant un smartphone ou un ordinateur, cela pourrait aider à sauver beaucoup de vie, notamment quand un tsunami se prépare ».
L’équipe de Tommaso Melodia espère donc que ces capteurs Wi-Fi pourraient à terme aider à prévenir et résoudre les catastrophes naturelles : avec un standard unique de communication, différents groupes de chercheurs pourraient ainsi combiner leurs efforts et partager leurs données en temps réel et beaucoup plus facilement. Un projet ambitieux et engagé à suivre de près.
Ce premier pas vers la création d’un réseau sous-marin sans fil est très intéressant. On trouve cela important de pouvoir accroître l’anticipation et la réactivité des gens face à des catastrophes aussi dévastatrices que les tsunamis. C’est sûr que ce serait incroyable de pouvoir communiquer aussi rapidement et ainsi pouvoir prévenir les populations le plus facilement possible.
Que pensez-vous de ce projet innovant ?
http://dailygeekshow.com/2013/10/28/des-chercheurs-installent-le-wi-fi-sous-locean-pour-prevenir-les-populations-de-catastrophes-naturelles-imminentes/
Une équipe de chercheurs de l’Université de Buffalo, aux Etats-Unis, ont récemment testé un réseau Wi-Fi sous-marin dans l’optique de le développer aux fond de nos océans. Cette simulation aquatique a été menée dans les eaux du lac Erie : les scientifiques ont coulé 2 capteurs de 18kg chacun auxquels ils ont ensuite pu transmettre des données via un ordinateur. Cependant, il existe déjà des kilomètres de câbles Internet subaquatiques : dans ce cas, pourquoi vouloir utiliser la connexion Wi-Fi ?
Contrairement au Wi-Fi que nous connaissons, cette technologie submergée testée par l’équipe de l’Université de Buffalo repose sur l’utilisation d’ondes sonores qui incarnent une meilleure option que les ondes radio traditionnelles, comme en atteste la communication de différentes espèces marines telles que les baleines et les dauphins.
Le but premier des chercheurs est donc de développer une harmonisation des communications sous-marines afin de faciliter les interactions et le partage de données. Actuellement, le problème qui se pose réside dans la différence des systèmes utilisés par les organisations pour communiquer entre elles. Ainsi, l’US National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) utilise les ondes acoustiques pour envoyer les données recueillies par les capteurs tsunamis au fond de l’océan jusqu’aux bouées en surface. Cependant, en raison d’une différence d’infrastructure, ces données ne peuvent être rapidement transmises à l’US Navy, ce qui enraye toute rapidité de réaction.
Selon Tommaso Melodia, à la tête de l’équipe de recherche, « un réseau sans fil submergé nous permettra d’être capable de recueillir des données sur nos océans en temps réel. Ces informations pouvant être accessibles à toute personne possédant un smartphone ou un ordinateur, cela pourrait aider à sauver beaucoup de vie, notamment quand un tsunami se prépare ».
L’équipe de Tommaso Melodia espère donc que ces capteurs Wi-Fi pourraient à terme aider à prévenir et résoudre les catastrophes naturelles : avec un standard unique de communication, différents groupes de chercheurs pourraient ainsi combiner leurs efforts et partager leurs données en temps réel et beaucoup plus facilement. Un projet ambitieux et engagé à suivre de près.
Ce premier pas vers la création d’un réseau sous-marin sans fil est très intéressant. On trouve cela important de pouvoir accroître l’anticipation et la réactivité des gens face à des catastrophes aussi dévastatrices que les tsunamis. C’est sûr que ce serait incroyable de pouvoir communiquer aussi rapidement et ainsi pouvoir prévenir les populations le plus facilement possible.
Que pensez-vous de ce projet innovant ?
http://dailygeekshow.com/2013/10/28/des-chercheurs-installent-le-wi-fi-sous-locean-pour-prevenir-les-populations-de-catastrophes-naturelles-imminentes/
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L'image du jour : La grande nacre de Méditerranée
L'homme aime à explorer les fonds marins et y à saisir, au bout de son appareil photo, ce qu'il y a de plus beau. Stéphan Le Gallais a remis, récemment, sa plus belle combinaison de plongée pour aller à la chasse aux images et nous offrir ce superbe tableau de cette grande nacre, croisée au hasard de ses pérégrinations sous-marines.
La Grande Nacre (Pinna nobilis) est un des plus grands mollusques bivalves existant dans le monde (longueur parfois supérieure à 1 m.). Endémique de Méditerranée, souvent décrite dans l'infralittoral entre 0.5 et 50 mètres, cette espèce a grossièrement la forme d'un triangle.
La grande nacre ou Pinna nobilis, vit enfoncée dans le sédiment sur environ le tiers de sa longueur. Inféodée à l'herbier de posidonies (Posidonia oceanica) elle peut vivre également dans la pelouse de cymodocées (Cymodocea nodosa).
Longtemps exploitée par les romains qui tissaient des vêtements à l'aide de son byssus et fabriquaient des boutons avec sa nacre, elle est aujourd'hui menacée par la régression des herbiers de phanérogames marines, par les ancres des bateaux qui brisent sa coquille ou prélevée par les plongeurs amateurs de souvenirs.
Les effectifs régressent également à cause des aménagements de notre littoral (plages artificielles, ports gagnés sur la mer, endigages, etc.) qui détruisent les herbiers et recouvrent les lieux de reproduction par petits fonds.
La pollution, due aux rejets d'eaux usées, tue les larves et limite le recrutement annuel des jeunes.
Quelques spécimens résistent cependant sur les côtes provençales, dans l'archipel des Embiez, les îles d'Hyères, les îles de Lérins, et en Corse.
(Sources : pinnanobilis.free.fr)
http://www.corsenetinfos.fr/L-image-du-jour-La-grande-nacre-de-Mediterranee_a7372.html
La Grande Nacre (Pinna nobilis) est un des plus grands mollusques bivalves existant dans le monde (longueur parfois supérieure à 1 m.). Endémique de Méditerranée, souvent décrite dans l'infralittoral entre 0.5 et 50 mètres, cette espèce a grossièrement la forme d'un triangle.
La grande nacre ou Pinna nobilis, vit enfoncée dans le sédiment sur environ le tiers de sa longueur. Inféodée à l'herbier de posidonies (Posidonia oceanica) elle peut vivre également dans la pelouse de cymodocées (Cymodocea nodosa).
Longtemps exploitée par les romains qui tissaient des vêtements à l'aide de son byssus et fabriquaient des boutons avec sa nacre, elle est aujourd'hui menacée par la régression des herbiers de phanérogames marines, par les ancres des bateaux qui brisent sa coquille ou prélevée par les plongeurs amateurs de souvenirs.
Les effectifs régressent également à cause des aménagements de notre littoral (plages artificielles, ports gagnés sur la mer, endigages, etc.) qui détruisent les herbiers et recouvrent les lieux de reproduction par petits fonds.
La pollution, due aux rejets d'eaux usées, tue les larves et limite le recrutement annuel des jeunes.
Quelques spécimens résistent cependant sur les côtes provençales, dans l'archipel des Embiez, les îles d'Hyères, les îles de Lérins, et en Corse.
(Sources : pinnanobilis.free.fr)
http://www.corsenetinfos.fr/L-image-du-jour-La-grande-nacre-de-Mediterranee_a7372.html
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Hécatombe mystérieuse d'étoiles de mer
La disparition, par millions, de ces invertébrés au cours des derniers mois sur la côte ouest américaine mobilise et inquiète les biologistes marins.
Cette hécatombe semble avoir commencé en juin 2013, selon les premiers cas observés, frappant différentes variétés d'étoiles de mer vivant sur le littoral et en captivité, précise Jonathan Sleeman, directeur du Centre de recherche de la faune sauvage de l'Institut américain de géophysique (USGS), dans une note publiée sur le site Internet de cet organisme fédéral. Les deux espèces les plus touchées sont la Pisaster ochraceus, une étoile de mer de couleur pourpre, et la Pycnopodia helianthoides, aussi appelée Soleil de mer. De couleurs variables, cette dernière est considérée comme la plus grande des étoiles de mer, son diamètre pouvant dépasser un mètre.
Les signes les plus communément observés de ce syndrome de dépérissement sont des lésions superficielles blanches qui s'étendent rapidement, suivies par un ramollissement de l'animal, la perte de ses bras et une désintégration de son corps aboutissant à sa mort quelques jours après l'apparition des symptômes. Des populations entières de ces étoiles de mer ont été décimées dans le détroit de Puget, dans l’État de Washington (nord-ouest des États-Unis), et la mer des Salish en Colombie-Britannique (Canada) ainsi que le long de la côte californienne, indique le document de l'USGS. Le taux de mortalité est estimé à 95%.
Plusieurs hécatombes survenues par le passé
Les scientifiques qui surveillent depuis des décennies les écosystèmes de cette zone de l'estran, partie du littoral située entre les limites des marées, n'ont à ce jour identifié aucune cause de cette mortalité massive. «Nous pensons qu'un élément pathogène comme un parasite, un virus, ou une bactérie pourrait infecter ces étoiles de mer et compromettre leur système immunitaire, ce qui les rendrait vulnérables à des infections bactériennes secondaires responsables des dommages physiques observés», explique Pete Raimondi, professeur de biologie à l'Université de Californie à Santa Cruz, un des principaux scientifiques impliqués dans cette enquête.
Ce phénomène a déjà été observé dans le passé mais il était alors lié à un réchauffement des eaux côtières, ce qui n'a pas été le cas en 2013, ajoute-t-il. Dans ces précédents accès de mortalité nettement moins étendus géographiquement, on avait aussi soupçonné un agent pathogène qui se serait développé à la faveur du réchauffement de l'eau mais sans jamais le confirmer, note encore le biologiste. En 1983, une vague de mortalité sur la côte sud de la Californie avait presque entièrement éliminé l'étoile de mer Pisaster ochraceus du littoral. Une hécatombe plus limitée s'était produite en 1997, attribuée surtout au réchauffement de l'océan résultant du grand courant du Pacifique Sud El Niño. Une mortalité de masse nettement plus réduite de certaines espèces d'étoiles de mer s'est également produite au printemps 2013 sur la côte est des États-Unis.
Élément vital dans la chaîne alimentaire
Les étoiles de mer préfèrent la fraîcheur, expliquent les scientifiques, soulignant que des eaux plus chaudes affectent leur santé et peuvent entraîner une infection des plaies. L'étoile de mer Pisaster ochraceus est «un prédateur clé dans son écosystème côtier», dit le professeur Pete Raimondi. Cet animal se nourrit de crustacés comme les moules, les berniques et les escargots de mer. Si cette espèce venait à disparaître, les populations de ces mollusques augmenteraient considérablement, ce qui pourrait profondément modifier l'écosystème rocheux situé entre le maximum et le minimum des marées, jugent les scientifiques.
Les larves d'étoiles de mer sont aussi un composant important du plancton, la base de la chaîne alimentaire des océans. Les étoiles de mer ont assez peu de prédateurs, qui peuvent être d'autres étoiles de mer, des mouettes et parfois des loutres de mer. Dans leur enquête sur cette dernière vague de mortalité massive d'étoiles de mer, les scientifiques compilent les rapports provenant du public, surveillent certains sites le long de la côte du Pacifique, collectent des spécimens et effectuent des analyses microbiologiques ainsi que des séquençages génétiques pour déterminer s'il s'agit d'un agent infectieux ou toxique et résoudre cette énigme.
http://www.lessentiel.lu/fr/news/monde/story/16196628
http://www.20minutes.fr/planete/1287002-20140201-hecatombe-mysterieuse-etoiles-mer-cote-ouest-americaine
http://tempsreel.nouvelobs.com/planete/20140201.OBS4674/une-mysterieuse-hecatombe-d-etoiles-de-mer.html
Cette hécatombe semble avoir commencé en juin 2013, selon les premiers cas observés, frappant différentes variétés d'étoiles de mer vivant sur le littoral et en captivité, précise Jonathan Sleeman, directeur du Centre de recherche de la faune sauvage de l'Institut américain de géophysique (USGS), dans une note publiée sur le site Internet de cet organisme fédéral. Les deux espèces les plus touchées sont la Pisaster ochraceus, une étoile de mer de couleur pourpre, et la Pycnopodia helianthoides, aussi appelée Soleil de mer. De couleurs variables, cette dernière est considérée comme la plus grande des étoiles de mer, son diamètre pouvant dépasser un mètre.
Les signes les plus communément observés de ce syndrome de dépérissement sont des lésions superficielles blanches qui s'étendent rapidement, suivies par un ramollissement de l'animal, la perte de ses bras et une désintégration de son corps aboutissant à sa mort quelques jours après l'apparition des symptômes. Des populations entières de ces étoiles de mer ont été décimées dans le détroit de Puget, dans l’État de Washington (nord-ouest des États-Unis), et la mer des Salish en Colombie-Britannique (Canada) ainsi que le long de la côte californienne, indique le document de l'USGS. Le taux de mortalité est estimé à 95%.
Plusieurs hécatombes survenues par le passé
Les scientifiques qui surveillent depuis des décennies les écosystèmes de cette zone de l'estran, partie du littoral située entre les limites des marées, n'ont à ce jour identifié aucune cause de cette mortalité massive. «Nous pensons qu'un élément pathogène comme un parasite, un virus, ou une bactérie pourrait infecter ces étoiles de mer et compromettre leur système immunitaire, ce qui les rendrait vulnérables à des infections bactériennes secondaires responsables des dommages physiques observés», explique Pete Raimondi, professeur de biologie à l'Université de Californie à Santa Cruz, un des principaux scientifiques impliqués dans cette enquête.
Ce phénomène a déjà été observé dans le passé mais il était alors lié à un réchauffement des eaux côtières, ce qui n'a pas été le cas en 2013, ajoute-t-il. Dans ces précédents accès de mortalité nettement moins étendus géographiquement, on avait aussi soupçonné un agent pathogène qui se serait développé à la faveur du réchauffement de l'eau mais sans jamais le confirmer, note encore le biologiste. En 1983, une vague de mortalité sur la côte sud de la Californie avait presque entièrement éliminé l'étoile de mer Pisaster ochraceus du littoral. Une hécatombe plus limitée s'était produite en 1997, attribuée surtout au réchauffement de l'océan résultant du grand courant du Pacifique Sud El Niño. Une mortalité de masse nettement plus réduite de certaines espèces d'étoiles de mer s'est également produite au printemps 2013 sur la côte est des États-Unis.
Élément vital dans la chaîne alimentaire
Les étoiles de mer préfèrent la fraîcheur, expliquent les scientifiques, soulignant que des eaux plus chaudes affectent leur santé et peuvent entraîner une infection des plaies. L'étoile de mer Pisaster ochraceus est «un prédateur clé dans son écosystème côtier», dit le professeur Pete Raimondi. Cet animal se nourrit de crustacés comme les moules, les berniques et les escargots de mer. Si cette espèce venait à disparaître, les populations de ces mollusques augmenteraient considérablement, ce qui pourrait profondément modifier l'écosystème rocheux situé entre le maximum et le minimum des marées, jugent les scientifiques.
Les larves d'étoiles de mer sont aussi un composant important du plancton, la base de la chaîne alimentaire des océans. Les étoiles de mer ont assez peu de prédateurs, qui peuvent être d'autres étoiles de mer, des mouettes et parfois des loutres de mer. Dans leur enquête sur cette dernière vague de mortalité massive d'étoiles de mer, les scientifiques compilent les rapports provenant du public, surveillent certains sites le long de la côte du Pacifique, collectent des spécimens et effectuent des analyses microbiologiques ainsi que des séquençages génétiques pour déterminer s'il s'agit d'un agent infectieux ou toxique et résoudre cette énigme.
http://www.lessentiel.lu/fr/news/monde/story/16196628
http://www.20minutes.fr/planete/1287002-20140201-hecatombe-mysterieuse-etoiles-mer-cote-ouest-americaine
http://tempsreel.nouvelobs.com/planete/20140201.OBS4674/une-mysterieuse-hecatombe-d-etoiles-de-mer.html
Felipe56- Survivant de Folie
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Thierry Corbalan : La vie et le sport avant toute chose
Le 19 janvier dernier, Thierry Corbalan sportif bien connu en Corse était au départ de la 34ème Traversée de Lyon à la nage avec monopalme. Cette édition 2014 à connu un record d'affluence avec 281 nageurs au départ. L'épreuve longue de 8 000 mètres s'est effectuée dans le Rhône dans le sens du courant. Pour cette première participation Thierry Corbalan a du composer avec des paramètres inhabituels, tel que le fort courant et les remous qui dévient brusquement la trajectoire en stoppant la progression. Il a tout de même réussi une magnifique prestation en réalisant un chrono de 49'08" se classant 7ème au général et 1er dans la catégorie vétéran 3.
Sa force pour avoir tant d’énergie?
Un mental d’acier, une philosophie que l’on résumera à la citation de Söre Kierkegaard « La vie ne se comprend que par un retour en arrière, mais on ne la vit qu’en avant. »
C’est dans cet état d’esprit que Thierry Corbalan, depuis son accident qui l’amputa de ses deux bras en 1988, s’offre à la vie et aux autres. Il était sportif avant ce jour, il l’est toujours aujourd’hui ! De quelques séries d’abdominaux sur son lit d’hôpital, à des petits footings dans les couloirs du même établissement, il participe près d’un an après aux 20 km de Cannes en avril 1989 qu’il court en 1h30’ puis au marathon de Nice en en octobre 1990 qu’il finit en 3h30’, sans oublier le marathon de Lyon bouclé en 3h04’.
En 2012 il créera son association « Le Dauphin Corse » qui lui fera partager sa passion de la vie, son expérience et surtout afin de venir en aide, par des dons et sa présence sur des évènements sportifs, aux enfants nécessitant un accompagnement financier pour des soins, des hospitalisations….et aux personnes handicapées de façon plus générale.
- Thierry, vous avez participé le 19 janvier dernier à 34ème Traversée de Lyon à la nage en monopalme, vous êtes arrivé 7ème au général sur 281 concurrents à 4mn du vainqueur et 1er de votre catégorie en vétérant3 encore deux exploits à votre actif ?
- Pas vraiment un exploit pas plus que les autres nageurs auxquels je m’identifie.
- Comment se prépare t-on à une épreuve de 8 kms dans une eau à 6 degrés ?
- J'ai cru bon de m'entraîner en eau froide en mer à 13° et en rivière à 8° mais en maillot pour m'habituer à la basse température. La compétition s'effectuant en combinaison je n'ai ressenti aucune sensation de froid même sur le visage et les pieds qui n'étaient pas protégés.
- Considérez-vous cette épreuve comme une des plus difficiles auxquelles vous avez participé?
- Non, certes le courant pose des problèmes d'orientation après chaque pont mais l'épreuve est de courte durée, 49' pour ma part.
- Etiez-vous la seule personne en situation de handicap ?
- Il y avait 281 nageurs mais 560 bras, je n'ai pas vu de handicapé !
- Aujourd’hui ceux qui vous connaissent ne peuvent ignorer votre parcours de vie, mais que diriez-vous aux autres ?
- Que les personnes amputées ne sont pas handicapées, qu'elles sont différentes et doivent re visiter les choses pour y accéder.
- Votre association « Le Dauphin Corse » créé en 2012 a un rôle bien précis. Pouvez-vous nous en parler ?
- J'ai créé cette association dans le but de pouvoir aider des personnes qui ont perdu confiance en elles suite à un accident ou une maladie. J'ai eu la chance de rebondir et de ne pas baisser les bras ! Je suis conscient que ce n'est pas donné à tout le monde. Faire partager son expérience positive peut déclencher un déclic chez une personne fragilisée par une blessure et la relancer dans une vie meilleure. Mes traversées et compétitions ont toujours un but, partager pour faire connaître l'association à travers laquelle j' essaie aussi d' apporter une aide financière.
- Quels ont été vos dernières actions au profit du handicap ?
- Mes dernières actions en 2013 ont été pour aider deux enfants souffrant de maladies et devant subir des soins onéreux pour les familles. La petite Chloé de Propriano âgée de 4 ans et souffrant d'une IMC viens d'être opérée avec succès à Barcelone, elle pourra peut être marcher un jour. L'association a envoyé un don pour aider ses parents dans ce combat. Le petit Evan de Sisco, 2 ans et demi, est atteint d'une leucémie et doit se rendre souvent sur le continent pour les soins, l'association a participé par un don à l'élan de solidarité des habitants du village du Cap Corse, et en tant que citoyen d'honneur de Sisco ce fut un grand plaisir.
- Quelles difficultés rencontrez-vous encore au quotidien ?
- Depuis 26 ans je vis avec un corps que j'ai adopté, depuis 16 ans je vis avec une épouse qui ne me voit pas handicapé, j'ai la chance d' être entouré de belles personnes qui me permettent de vivre à fond ma passion de la nage. J'ai appris à contourner les obstacles quand ils se dressaient devant moi, alors la seule difficulté est de ne pouvoir aider autrui dans certaines circonstances.
- Votre vie privée semble heureuse, je permets d’en parler car vous le faites vous-même sur les réseaux sociaux et les médias. Quels sont les secrets de cet épanouissement ?
- L'Amour, être conscient de ce que l'on a. De ne pas vouloir toujours plus ou mieux mais d'apprécier chaque chose et chaque seconde de la vie. De vivre avec des pensées positives qui sont la meilleures des thérapies. Vouloir c'est déjà Pouvoir.
- Quels conseils, quels encouragements donneriez-vous à ceux qui ont subitement été confrontés au handicap ?
- De ne pas se sentir diminué, le handicap peut devenir une force, l'être humain peut s'adapter à tout s'iil en est conscient. Il ne faut pas s'acharner à vouloir faire les choses comme avant si on n'y arrive pas. Notre nouveau corps doit se mettre en place, il faut lui laisser le temps et il nous guidera vers des activités nouvelles. Ne pas penser à ce que l'on ne peut plus faire, mais à tout ce que l'on peut encore faire. Je ne peux plus faire de judo et je me suis épanoui dans la course à pied puis dans la natation. Ne pas hésiter à contacter rapidement d'autres personnes ayant un handicap pour partager leurs expériences et gagner du temps pour la reconstruction.
http://www.corsenetinfos.fr/Thierry-Corbalan-La-vie-et-le-sport-avant-toute-chose_a7289.html
http://aladecouvertedelyon.blogspot.fr/2014/01/34eme-traversee-de-lyon-la-nage-avec.html
http://ledauphincorse.com/
Sa force pour avoir tant d’énergie?
Un mental d’acier, une philosophie que l’on résumera à la citation de Söre Kierkegaard « La vie ne se comprend que par un retour en arrière, mais on ne la vit qu’en avant. »
C’est dans cet état d’esprit que Thierry Corbalan, depuis son accident qui l’amputa de ses deux bras en 1988, s’offre à la vie et aux autres. Il était sportif avant ce jour, il l’est toujours aujourd’hui ! De quelques séries d’abdominaux sur son lit d’hôpital, à des petits footings dans les couloirs du même établissement, il participe près d’un an après aux 20 km de Cannes en avril 1989 qu’il court en 1h30’ puis au marathon de Nice en en octobre 1990 qu’il finit en 3h30’, sans oublier le marathon de Lyon bouclé en 3h04’.
En 2012 il créera son association « Le Dauphin Corse » qui lui fera partager sa passion de la vie, son expérience et surtout afin de venir en aide, par des dons et sa présence sur des évènements sportifs, aux enfants nécessitant un accompagnement financier pour des soins, des hospitalisations….et aux personnes handicapées de façon plus générale.
- Thierry, vous avez participé le 19 janvier dernier à 34ème Traversée de Lyon à la nage en monopalme, vous êtes arrivé 7ème au général sur 281 concurrents à 4mn du vainqueur et 1er de votre catégorie en vétérant3 encore deux exploits à votre actif ?
- Pas vraiment un exploit pas plus que les autres nageurs auxquels je m’identifie.
- Comment se prépare t-on à une épreuve de 8 kms dans une eau à 6 degrés ?
- J'ai cru bon de m'entraîner en eau froide en mer à 13° et en rivière à 8° mais en maillot pour m'habituer à la basse température. La compétition s'effectuant en combinaison je n'ai ressenti aucune sensation de froid même sur le visage et les pieds qui n'étaient pas protégés.
- Considérez-vous cette épreuve comme une des plus difficiles auxquelles vous avez participé?
- Non, certes le courant pose des problèmes d'orientation après chaque pont mais l'épreuve est de courte durée, 49' pour ma part.
- Etiez-vous la seule personne en situation de handicap ?
- Il y avait 281 nageurs mais 560 bras, je n'ai pas vu de handicapé !
- Aujourd’hui ceux qui vous connaissent ne peuvent ignorer votre parcours de vie, mais que diriez-vous aux autres ?
- Que les personnes amputées ne sont pas handicapées, qu'elles sont différentes et doivent re visiter les choses pour y accéder.
- Votre association « Le Dauphin Corse » créé en 2012 a un rôle bien précis. Pouvez-vous nous en parler ?
- J'ai créé cette association dans le but de pouvoir aider des personnes qui ont perdu confiance en elles suite à un accident ou une maladie. J'ai eu la chance de rebondir et de ne pas baisser les bras ! Je suis conscient que ce n'est pas donné à tout le monde. Faire partager son expérience positive peut déclencher un déclic chez une personne fragilisée par une blessure et la relancer dans une vie meilleure. Mes traversées et compétitions ont toujours un but, partager pour faire connaître l'association à travers laquelle j' essaie aussi d' apporter une aide financière.
- Quels ont été vos dernières actions au profit du handicap ?
- Mes dernières actions en 2013 ont été pour aider deux enfants souffrant de maladies et devant subir des soins onéreux pour les familles. La petite Chloé de Propriano âgée de 4 ans et souffrant d'une IMC viens d'être opérée avec succès à Barcelone, elle pourra peut être marcher un jour. L'association a envoyé un don pour aider ses parents dans ce combat. Le petit Evan de Sisco, 2 ans et demi, est atteint d'une leucémie et doit se rendre souvent sur le continent pour les soins, l'association a participé par un don à l'élan de solidarité des habitants du village du Cap Corse, et en tant que citoyen d'honneur de Sisco ce fut un grand plaisir.
- Quelles difficultés rencontrez-vous encore au quotidien ?
- Depuis 26 ans je vis avec un corps que j'ai adopté, depuis 16 ans je vis avec une épouse qui ne me voit pas handicapé, j'ai la chance d' être entouré de belles personnes qui me permettent de vivre à fond ma passion de la nage. J'ai appris à contourner les obstacles quand ils se dressaient devant moi, alors la seule difficulté est de ne pouvoir aider autrui dans certaines circonstances.
- Votre vie privée semble heureuse, je permets d’en parler car vous le faites vous-même sur les réseaux sociaux et les médias. Quels sont les secrets de cet épanouissement ?
- L'Amour, être conscient de ce que l'on a. De ne pas vouloir toujours plus ou mieux mais d'apprécier chaque chose et chaque seconde de la vie. De vivre avec des pensées positives qui sont la meilleures des thérapies. Vouloir c'est déjà Pouvoir.
- Quels conseils, quels encouragements donneriez-vous à ceux qui ont subitement été confrontés au handicap ?
- De ne pas se sentir diminué, le handicap peut devenir une force, l'être humain peut s'adapter à tout s'iil en est conscient. Il ne faut pas s'acharner à vouloir faire les choses comme avant si on n'y arrive pas. Notre nouveau corps doit se mettre en place, il faut lui laisser le temps et il nous guidera vers des activités nouvelles. Ne pas penser à ce que l'on ne peut plus faire, mais à tout ce que l'on peut encore faire. Je ne peux plus faire de judo et je me suis épanoui dans la course à pied puis dans la natation. Ne pas hésiter à contacter rapidement d'autres personnes ayant un handicap pour partager leurs expériences et gagner du temps pour la reconstruction.
http://www.corsenetinfos.fr/Thierry-Corbalan-La-vie-et-le-sport-avant-toute-chose_a7289.html
http://aladecouvertedelyon.blogspot.fr/2014/01/34eme-traversee-de-lyon-la-nage-avec.html
http://ledauphincorse.com/
Felipe56- Survivant de Folie
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Y a-t-il un océan sous nos pieds ?
Les failles qui traversent le plancher océanique seraient capables de faire transiter l'eau des océans vers les profondeurs de la Terre dans des quantités plus importantes que ce qui était supposé jusqu'ici.
Les failles qui traversent le plancher océanique seraient capables de faire transiter l'eau des océans vers les profondeurs de la Terre dans des quantités plus importantes que ce qui était supposé jusqu'ici. Crédits : Tong et al. 2012, Solid Earth
De grandes quantités d’eau seraient-elles stockées dans les profondeurs de la Terre ? C’est en tout cas la conviction d'une équipe de sismologues britanniques de l'Université de Liverpool. Une thèse qui s'appuie sur des mesures effectuées par leurs soins dans le sous-sol océanique, dont les résultats ont été publiés le 10 janvier 2014 dans la revue Geology.
Selon ces travaux, les failles qui traversent les plaques océaniques seraient capables de transporter de très grandes quantités d'eau en direction du manteau terrestre supérieur (situé sous la croûte terrestre, le manteau terrestre supérieur débute à quelques 35 km de profondeur sous la surface de la Terre). Certes, il est connu depuis longtemps que les failles situées dans les plaques océaniques sont capables de faire transiter l'eau des océans vers la partie supérieure du manteau terrestre. Mais d'après ces scientifiques britanniques, les quantités d'eau concernées seraient beaucoup plus importantes que ce qui était supposé jusqu'ici.
Pour parvenir à ce résultat, les géologues britanniques ont effectué des mesures au nord des côtes japonaises, là où la plaque Pacifique plonge sous la plaque Okhotsk (voir schéma ci-dessus) dans le cadre d'un phénomène dit de « subduction » (il y a subduction lorsque une plaque tectonique chevauche une autre plaque, cette dernière plongeant alors vers les profondeurs terrestres). À cause de ce phénomène de subduction, des séismes se produisent fréquemment sous le plancher océanique de cette zone.
En analysant précisément les caractéristiques des ondes sismiques produites par ces séismes, les géologues britanniques sont arrivés à la conclusion que les failles situées à cet endroit, qui s'enfoncent jusqu'à 150 km sous la surface de la Terre, sont capables de transporter des quantités d'eau beaucoup plus importantes que prévu vers les profondeurs terrestres.
Pour donner une idée plus précise de l'ampleur du phénomène, les géologues britanniques expliquent que les failles qui sont situées dans la fosse océanique d'Izu-Bonin (une fosse océanique est une dépression sous-marine profonde), laquelle fosse est située au sud des côtes japonaises, et dans la fosse des Kouriles (située à l'ouest des côtes japonaises) seraient capables à elles seules de faire transiter en direction du manteau terrestre une quantité d'eau 3.5 fois plus importante que tous les océans actuels réunis, et ce sur une période de quelques 4,5 milliards d'années (soit l'âge de la Terre).
http://www.journaldelascience.fr/environnement/articles/y-t-il-ocean-sous-nos-pieds-3427?fb_action_ids=10152228935542442&fb_action_types=og.likes&fb_ref=.UutXdCQsZYM.like&fb_source=other_multiline&action_object_map=[405921986219830]&action_type_map=[%22og.likes%22]&action_ref_map=[%22.UutXdCQsZYM.like%22]
Les failles qui traversent le plancher océanique seraient capables de faire transiter l'eau des océans vers les profondeurs de la Terre dans des quantités plus importantes que ce qui était supposé jusqu'ici. Crédits : Tong et al. 2012, Solid Earth
De grandes quantités d’eau seraient-elles stockées dans les profondeurs de la Terre ? C’est en tout cas la conviction d'une équipe de sismologues britanniques de l'Université de Liverpool. Une thèse qui s'appuie sur des mesures effectuées par leurs soins dans le sous-sol océanique, dont les résultats ont été publiés le 10 janvier 2014 dans la revue Geology.
Selon ces travaux, les failles qui traversent les plaques océaniques seraient capables de transporter de très grandes quantités d'eau en direction du manteau terrestre supérieur (situé sous la croûte terrestre, le manteau terrestre supérieur débute à quelques 35 km de profondeur sous la surface de la Terre). Certes, il est connu depuis longtemps que les failles situées dans les plaques océaniques sont capables de faire transiter l'eau des océans vers la partie supérieure du manteau terrestre. Mais d'après ces scientifiques britanniques, les quantités d'eau concernées seraient beaucoup plus importantes que ce qui était supposé jusqu'ici.
Pour parvenir à ce résultat, les géologues britanniques ont effectué des mesures au nord des côtes japonaises, là où la plaque Pacifique plonge sous la plaque Okhotsk (voir schéma ci-dessus) dans le cadre d'un phénomène dit de « subduction » (il y a subduction lorsque une plaque tectonique chevauche une autre plaque, cette dernière plongeant alors vers les profondeurs terrestres). À cause de ce phénomène de subduction, des séismes se produisent fréquemment sous le plancher océanique de cette zone.
En analysant précisément les caractéristiques des ondes sismiques produites par ces séismes, les géologues britanniques sont arrivés à la conclusion que les failles situées à cet endroit, qui s'enfoncent jusqu'à 150 km sous la surface de la Terre, sont capables de transporter des quantités d'eau beaucoup plus importantes que prévu vers les profondeurs terrestres.
Pour donner une idée plus précise de l'ampleur du phénomène, les géologues britanniques expliquent que les failles qui sont situées dans la fosse océanique d'Izu-Bonin (une fosse océanique est une dépression sous-marine profonde), laquelle fosse est située au sud des côtes japonaises, et dans la fosse des Kouriles (située à l'ouest des côtes japonaises) seraient capables à elles seules de faire transiter en direction du manteau terrestre une quantité d'eau 3.5 fois plus importante que tous les océans actuels réunis, et ce sur une période de quelques 4,5 milliards d'années (soit l'âge de la Terre).
http://www.journaldelascience.fr/environnement/articles/y-t-il-ocean-sous-nos-pieds-3427?fb_action_ids=10152228935542442&fb_action_types=og.likes&fb_ref=.UutXdCQsZYM.like&fb_source=other_multiline&action_object_map=[405921986219830]&action_type_map=[%22og.likes%22]&action_ref_map=[%22.UutXdCQsZYM.like%22]
Felipe56- Survivant de Folie
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Lorient, premier port de pêche de France en valeur
26 241 tonnes pour une valeur de 73,5 millions d'euros. Ce sont les deux chiffres clés du Port de Lorient Keroman en 2013.
Légère baisse
26 241 tonnes de poisson ont été soumises aux taxes portuaires en 2013. Ce sont 700 tonnes de moins que l'année précédente. La baisse du tonnage est essentiellement due aux bateaux côtiers (5 900 tonnes) qui ont pêché moins de langoustine (- 65 tonnes) et moins d'anchois (-323 tonnes). Par contre, les bateaux du large (10 950 tonnes), en particulier ceux de la Scapêche, qui travaillent au large de l'Écosse, ont capturé 500 tonnes de plus.
Les principales espèces
Lotte : 1 869 tonnes (9,4 millions d'euros). Langoustine : 611 tonnes (7,3 millions). Julienne : 2 604 tonnes (6 millions). Merlu : 2 425 tonnes (5,4 millions). Sabre : 1 244 tonnes (4 millions). Lieu noir : 2 581 tonnes (3,6 millions). Sole : 234 tonnes (2,9 millions). Lingue bleue : 984 tonnes (2,3 millions). Thon : 1 045 tonnes (2,1 millions). Lieu jaune : 532 tonnes (1,9 million).
Importer, aussi
Les apports des bateaux lorientais ne suffisent pas pour alimenter les étals des poissonniers et les lignes de filetage des mareyeurs. Ainsi 5 212 tonnes de poisson (julienne, ânon, etc.) ont été importées par le port lui-même. Il le fait depuis vingt ans. Il va être renforcé d'un troisième agent commercial. Le poisson est acheté auprès d'une trentaine de bateaux écossais et irlandais. « Ce service, c'est le levier pour reconquérir des tonnages », indique Maurice Benoish, président de la Sem Lorient Keroman, qui gère le port de pêche.
Devant Boulogne
Ces tonnages cumulés, vendus sous criée, représentent une valeur de 64 millions d'euros. Il faut y ajouter les débarquements des bateaux espagnols (4 179 tonnes) : leur poisson est vendu en Espagne mais taxé localement. Soit un résultat global de 26 241 tonnes représentant 73,5 millions d'euros. Lorient passe donc au premier rang des ports de pêche français en valeur devant Boulogne.
La modernisation se poursuit
Le plafond de la criée 4 est réparé, la criée 2 va être rénovée, la gare de marée est en cours de travaux, des toitures de criées vont être changées, une étude pour y poser des panneaux photovoltaïques est lancée, une nouvelle zone de stockage des caisses de criée va être créée en lieu et place de Capitaine Houat, etc. Ces divers travaux sont financés par la Sem, le syndicat mixte (associant le conseil général) et la région Bretagne.
http://www.letelegramme.fr/economie/france-lorient-devient-le-premier-port-de-peche-en-valeur-29-01-2014-10011035.php
http://www.entreprises.ouest-france.fr/node/125995
Légère baisse
26 241 tonnes de poisson ont été soumises aux taxes portuaires en 2013. Ce sont 700 tonnes de moins que l'année précédente. La baisse du tonnage est essentiellement due aux bateaux côtiers (5 900 tonnes) qui ont pêché moins de langoustine (- 65 tonnes) et moins d'anchois (-323 tonnes). Par contre, les bateaux du large (10 950 tonnes), en particulier ceux de la Scapêche, qui travaillent au large de l'Écosse, ont capturé 500 tonnes de plus.
Les principales espèces
Lotte : 1 869 tonnes (9,4 millions d'euros). Langoustine : 611 tonnes (7,3 millions). Julienne : 2 604 tonnes (6 millions). Merlu : 2 425 tonnes (5,4 millions). Sabre : 1 244 tonnes (4 millions). Lieu noir : 2 581 tonnes (3,6 millions). Sole : 234 tonnes (2,9 millions). Lingue bleue : 984 tonnes (2,3 millions). Thon : 1 045 tonnes (2,1 millions). Lieu jaune : 532 tonnes (1,9 million).
Importer, aussi
Les apports des bateaux lorientais ne suffisent pas pour alimenter les étals des poissonniers et les lignes de filetage des mareyeurs. Ainsi 5 212 tonnes de poisson (julienne, ânon, etc.) ont été importées par le port lui-même. Il le fait depuis vingt ans. Il va être renforcé d'un troisième agent commercial. Le poisson est acheté auprès d'une trentaine de bateaux écossais et irlandais. « Ce service, c'est le levier pour reconquérir des tonnages », indique Maurice Benoish, président de la Sem Lorient Keroman, qui gère le port de pêche.
Devant Boulogne
Ces tonnages cumulés, vendus sous criée, représentent une valeur de 64 millions d'euros. Il faut y ajouter les débarquements des bateaux espagnols (4 179 tonnes) : leur poisson est vendu en Espagne mais taxé localement. Soit un résultat global de 26 241 tonnes représentant 73,5 millions d'euros. Lorient passe donc au premier rang des ports de pêche français en valeur devant Boulogne.
La modernisation se poursuit
Le plafond de la criée 4 est réparé, la criée 2 va être rénovée, la gare de marée est en cours de travaux, des toitures de criées vont être changées, une étude pour y poser des panneaux photovoltaïques est lancée, une nouvelle zone de stockage des caisses de criée va être créée en lieu et place de Capitaine Houat, etc. Ces divers travaux sont financés par la Sem, le syndicat mixte (associant le conseil général) et la région Bretagne.
http://www.letelegramme.fr/economie/france-lorient-devient-le-premier-port-de-peche-en-valeur-29-01-2014-10011035.php
http://www.entreprises.ouest-france.fr/node/125995
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Tempête PETRA Bretagne Sud le week-end dernier...
Images prises par un ami samedi dernier... du côté de Lomener (proche de Lorient)...
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